Quatrième mission: l'oublie de Madly.

2 minutes de lecture

Madly avait décidé de faire équipe avec Sweety, ce qui fait un duo assez étrange en vu de leur représentation. La première était la folie tandis que la seconde était la bienveillance de Lavril. De plus, la mission était de retirer le broyeur de Madly qu’elle avait laissé en plein de la place de la République. Il faudrait mieux qu’elles trouvent rapidement cet engin, car la grise l’a inventé pour qu’il broie tout et n’importe quoi, de plus elle en a oublié la sécurité…

« Donc… Tu as laissé ton truc en pleine ville, cela peut tuer des personnes et en plus cela est devenu une mission… Bravo, Madly. Mais sinon c’est quoi ce collant violets avec des étoiles ?

  • Mon truc est broyeur toute matière… Ah ça, j’ai trouvé ça mignon donc je les ai tirés du placard de Lavy. Elle laisse ses placards ouverts aussi, c’est de sa faute. Non c’est de ma faute, je suis une voleuse, pardon. Non je ne m’excuse pas. Pauvre tâche !»

Madly était partie dans son délire au grand drame de Sweety. Même si la blanche était l’une des sœurs de l’autre, elle avait parfois du mal à la cerner. Quoiqu’il en soit, il faut retrouver la machine. Elles continuèrent leur chemin en direction de la place, mais Madly fut distraite par un mouton qui semblait s’échapper de son enclos. Peu importe, Madly lui grimpa dessus pour faire sa sieste, ce qui énerva la bête qui sautillait partout. La blanche lui courut après avant d’abandonner et de partir seule vers leur destination.

Une heure plus tard, Madly rejoignit sa frangine devant l’énorme appareil. Elle se mit à sauter sur place en répétant qu’elle était un mouton.

« Madly, faudrait trouver une solution pour ta broyeuse…

  • Bêê, je propose de mettre des passants dedans pour voir il a rien.
  • On ne va tuer personne, essayons un objet, n’importe lequel.»

Madly commença à regarder de droite à gauche pour y trouver autre chose qu’un être vivant. Elle fut attirée par un violon que son propriétaire gardait derrière lui dans les escaliers menant à la banque. Sans demander la permission, elle prit l’instrument qu’elle lança dans la broyeuse avant de l’activer. Satisfaite, elle se gratta le dos avec l’archet qu’elle garda pour Complexy.

« Bêê, pauvre tâche !! Cela fonctionne. Je suis heureuse, même si je m’en moque. On rentre ? J’ai faim et je veux pas que Coco mange ma glace.

  • Allons, je dois d’abord acheter du fils pour mes coutures. Comment je fais pour vos vêtements d’hiver ?
  • Ah je sais pas, ils sont moches tes vêtements, mais non ils sont chauds. Pff je sais pas.
  • Je sais que tu les aimes bien, tu as toujours des étoiles dans les yeux quand je t’offre un vêtement. Ah… voilà l’homme que tu as volé…
  • Pauvre tâche !! Je vais l’étrangler jusqu’à ce que sa tête se retire comme un lego !! Non Dame Joy n'apprécierait pas. Je vais la corrompre avec une gaterie… »

Sweety s’excusa auprès du jeune monsieur pour son instrument. Il lui expliqua qu’elle ne savait pas encore tout ce qu’elle pouvait faire et ne pas faire tel un enfant. Elle demanda même le prix du violon pour rembourser le brun. Devant tant de générosité, il ne savait plus faire, surtout quand la blanche lui donna un billet de 100 euros. Il voulait lui rendre mais Sweety était déjà reparti vers Madly qui avait téléporté son appareil. La blanche lui prit la main avant de traverser le portail argenté.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 3 versions.

Vous aimez lire Lavril Tamashi ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0