Dans ma conscience injure des mornes mésanges

Aux formes déplumées, rachitiques et fânées

Où s'étiolent les tuiles, au bout des années

Folles, folles, volent au delà des louanges

La mort est mon état, j'en vins chaud et

J'aigris la nuit d'un pinceau.

J'écris le monde d'un berçeau.

Je chante le vif

Le temps s'élite et spirale jusqu'au fond

Des terres meubles, la boue sacrée

S'arrache les nerfs et souffle

La pluie

La sibylle érable nous enracine

Vous galvanisez la foudre en perles de son

Qui fondent au fond du verre en éclats de diamant

Les secrets du monde