Eptyhaveri
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Des quelques vérités que gens m'ont laissé voir
J'ai crû apercevoir un brin d'éternité
Dans la nuit plus noire que le songe le plus lourd
Dans le sourd lent espoir des grands sourires d'atour
Dans les fastes enduits des paroles factuelles
Dans les chastes réduits des regards décibels
Dans ma zeste parlante, je pourfends le néant
Dans mon angoisse avachie, je blanchie le séant
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