Prologue : Justine
“Han putain oui ! Han han oui ! Ooooh putain mmmmmh !”
“Ca te manquait hein ! Moi, il m’a manqué ton joli cul en tout cas !”
“Haaaaa oui haaaan attends je… oui… je.. non attends, oui comme ça haaaaaaaaan”
“Putain t’es toujours aussi bonne à 4 pattes ! Han han prend ça bébé !”
Justine, chancelante, s’est levée trop vite de son lit pour une envie pressante, sa tête tourne un peu, ses oreilles rougissent à ces bruits explicites… Dans le couloir sombre de la maison familiale, elle tâtonne pour trouver la poignée des wc.
Le bois du cadre du lit martèle le mur à un rythme bruyant et régulier…
Ca s’accélère, Justine grimace, écoutant malgré elle...
“AAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaah Ooooouiiiiiiiiiii !”
“Haaaaaaaaaaaan”
“C’était vraiment trop bon mon chéri.”
“Je suis… épuisé…. A demain…”
“Chéri ? tu m’en as mis pa… “
La voix devient inaudible, mais Justine imagine déjà la scène...
Fébrile, son imagination au travail, elle se fige en actionnant la poignée, sentant qu’une humidité souille son petit shorty de pyjama. Honteuse de réagir de la sorte en se disant :
“Ah oui, papa est revenu de déplacement ce soir, je ne l’ai même pas entendu rentrer, et comme d’habitude... Elle a du bol avec tout ce qu’elle a pris maman !”
Elle allume la lumière des wc et après avoir baissé ce shorty humide, s'assoit pour assouvir ce pourquoi elle avait dû se lever en pleine nuit… Mais une fois sa vessie vidée, un nouveau besoin se fait sentir, et c’est en s’essuyant que délicatement, le papier tombe dans la cuvette alors que ses doigts restent entre ses cuisses fines pour dénicher ce petit bouton gonflé de désir et d’envie.
Honteuse, Justine se caresse, sa seconde main vient tout naturellement se saisir de sa petite poitrine, la malaxant, les yeux fermés, deux doigts frottent et pénètrent cette fente délicate et bouillante. Elle se cambre, gémissante, discrète, les images de ses parents en pleine action se chevauchent avec les images de quelques beaux garçons de la fac.
Justine écarte ses cuisses, ouvrant son intimité à ses doigts, se libérant complètement de ce shorty encombrant, par la même occasion, son t-shirt tombe à cheval sur la cuvette, libérant sa poitrine excitée.
Nue, cambrée, sa petite chatte brûlante, bombée, dépourvue de toute pilosité, dont les doigts écartent les lèvres trempées, son bassin bouge sur le même tempo, offrant un ballet de vibration et d’ondulation sublime. Son ventre se gonfle et se creuse au rythme des souffles que la jeune femme étouffe pour ne pas éveiller de soupçons. Elle se malaxe, tire sur ses tétons dressés, grimace de plaisir, son corps entier bouillonne de plaisir.
Toute cambrée, les doigts trempés, des bruits de pas se font entendre, et une voix encore essoufflée :
“Ma puce ? C’est toi ? Que… que fais-tu debout à cette heure ?”
Justine se fige, deux doigts en elle, les tétons dressés, un sein pétrit vulgairement, balbutie un très ambiguë...
“Je… j’avais envie… Et toi… tu dors pas ?”
“Je… non, je… j’avais envie… aussi…”
Cette conversation malaisante entre une mère et sa fille, en pleine nuit, au travers d’une porte close, l’une trempée et au bord de l’orgasme, l’autre essoufflée de son récent orgasme et souillée du sperme gluant de son mari s'arrêtera ici… La porte de la salle de bain se ferme, verrou y compris, laissant la mère à son nettoyage, et la fille à son plaisir…
Au petit matin, ou plutôt en fin de matinée, Justine se lève après une nuit entrecoupée de petits moments humides… Ce n’était pas la première fois qu’elle entendait ses parents en plein labour, surtout lorsque son père revenait de déplacement, mais depuis quelque temps, le dégoût et la honte d’imaginer ses parents tels des animaux se transforment de plus en plus en un besoin irrépressible de sexe…
Elle sort de sa chambre en pyjama, ce petit shorty serré et un t-shirt trop grand pour elle, vestige d’un ex cher à son coeur. Cet ex qui a eu l’honneur il y a quelques années de déflorer l’adolescente de l’époque. Alors que dans le coeur de Justine, il est toujours resté une certaine nostalgie de ce bellâtre, alors que lui, une fois sa besogne effectuée, a su habilement la laisser tomber pour des raisons aussi fumeuses que subtiles, ne blessant alors que le temps de la rupture, le coeur innocent de la jeune fille.
Tout ça pour dire que ce t-shirt trop ample pour elle, auquel elle a su déchirer avec style les manches, lui servait de pyjama depuis cette nuit initiatrice. Le tissu est détendu, l'encolure s’ouvre largement sur le buste de Justine, dévoilant subtilement ses épaules, et même parfois un peu plus, lorsque celle-ci venait à se pencher. Si un regard curieux s’y laissait prendre, il pourrait profiter de la vue exquise de la rondeur ses deux petites pêches fermes.
Ce matin là, Justine, ses cheveux blonds ébouriffés par la nuit, entre dans la cuisine où son père boit son café, accompagné des dernières actualités sur son smartphone subtilement en équilibre entre le couvercle du pot de Nutella et la cuillère de la confiture.
“Bonjour mon coeur ! Tu as bien dormi ?”
“Oui oui, comme un bébé !”
Occultant bien entendu de dire dans quel état d’excitation il avait réussi à la mettre juste en jouissant sur sa mère…
“Tu es ravissante coiffée comme ça ! C’est à la mode ? Je suis vraiment pas à jour !”
Moqueur de celle qui ne cesse de relever les mèches vagabondes et emmêlées qui viennent lui chatouiller les joues...
“T’es bien comique de bon matin toi hein ! Avec tes chaussures à gland, tu devrais mieux te tenir au courant de ce qui est à la mode !”
Lui tirant la langue, enfantine avant d’aller chercher un bol pour son chocolat chaud.
“De bon matin… il est 11h passé… Je sais que tu es en weekend, mais tu exagères un peu…”
Il se retourne en disant cela et découvre, gêné, sa fille penchée dans le placard, offrant le spectacle alléchant de ses petites fesses à peine recouvertes de son shorty.
“Il est 11h ma puce ! T’es encore en pyjama ?! C’est pas une tenue décente ! Dépêche toi de t’habiller !”
Voilà sa mère qui débarque et sermonne sa fille, sans doute pour faire cesser les œillades du papa qui fixait ce petit fessier… Et oui, sa petite fi-fille a bien grandi !
“Vous êtes relou merde ! Si je me lève à 11h, est-ce que c’est pas à cause du boucan que mes pervers de parents font à baiser comme des sauvages toute la nuit ??”
Elle hurle ça sans réfléchir, mettant ses parents dans l’embarras, surtout quand Justine, énervée de tant de remontrances, commence même à mimer des coups de bassin dans le vide face à eux.
Pris en porte-à-faux, son père, rouge de honte, ne voit qu’une réaction à avoir :
“File dans ta chambre, petite effrontée !”
Des hurlements, une porte qui claque, un silence de malaise…
Après quelques discussions et un brin de culpabilité, ses parents se dirigent vers la chambre de Justine pour s’excuser, la musique bat son plein, après avoir frappé à plusieurs reprises, sa mère ouvre doucement la porte suivie de son père...
“Ma puce ?”
“Mon coeur ?”
Stupéfaction, Justine est de dos, nue, en train de se déhancher sur la musique qui envahit cette pièce, sans avoir ni vu ni entendu la présence de ses parents, gênés de la voir ainsi, leur toute petite fille, plus si petite que ça…
Elle se déhanche, son petit cul ferme et bien rond semble exquis, ses hanches bien dessinées sont un appel au sexe, sa cambrure prononcée augure des positions d’une souplesse à faire bander plus d’un homme… Elle se déhanche, mimant une chorégraphie endiablée, bouge la tête, fait voler ses cheveux, par moment, sa jeune poitrine se dévoile, nue, ferme, de profil, ses mains glissent sur son corps entier, allant de sa nuque, glissant sur ses seins qu’elle malaxe sans relâche, prononçant une cambrure des plus obscène lorsqu’elle se penche en empoignant les deux globes de ses fesses blanches. Toujours dans le rythme de la musique qui résonne dans cette chambre, les doigts glissent dans cette raie exhibée, glissant d’un orifice à l’autre, dévoilant aux voyeurs circonspects, une petite chatte toute bombée…
D’un coup, Justine se jette à terre, en furie, chantant à tue-tête, à 4 pattes, cambrée comme jamais, sa croupe offerte, mimant une levrette des plus explicite…
Les parents de la jeune femme tremblent de stupeur et poussent la porte en silence pour disparaître, et éviter un nouveau scandale, très gênés d’avoir surpris leur progéniture dans son intimité...
“Nous avons engendré une traînée…”
Sa mère, les larmes aux yeux, s'enfuit dans sa chambre, suivie par son mari, encore sous le choc des visions précédentes, perdu entre l’homme excité et le père inquiet…
Il va rassurer sa femme, lui expliquant par des mots doux que leur fille est adulte désormais, que ses hormones battent à plein régime, que c’est bien naturel qu’elle apprenne et découvre le sexe…
Tout se terminera en câlin, alors que l’heure du déjeuner arrive, où toute la famille se retrouvera sans faire la moindre allusion à ce début de journée mouvementé !
“Martin vient cet aprem pour réviser.”
Annotations
Versions