Prologue : Martin
Alors qu’elle continuait à se stimuler pour s’offrir un second moment d’extase, la réalité revient au galop, lui rappelant que Martin est sans doute en train d’attendre au portail…
Elle se relève, va chercher son soutif qui a glissé sous le fauteuil… Mon dieu, heureusement que personne ne la voit, à 4 pattes, nue, cambrée, le visage au sol, cette croupe, mon dieu, quelle invitation !
*Dring Dring*
Plus elle se presse, moins elle gagne du temps, n’arrivant pas à remettre son soutif correctement, elle enfile sa culotte et son short si serré, réajuste ses cheveux et va pour ouvrir, retrouvant son sourire ravageur en voyant son ami attendre, tout sourire au portail, levant de son bras musclé un pack de bière.
“Hey mon chou ! J’ai des munitions !”
“Hey mon gros ! Entre, c’est ouvert !”
Il pousse le portail et se fige avant de pouvoir faire la bise à sa BFF.
“Quoi, j’ai de la merde dans les cheveux ? Pourquoi tu me fixes comme ça ?”
“Je… T’es pas réveillée toi ! Ton bikini, il est à l’envers espèce de tarte !”
Et c’est en fixant la poitrine de son amie qu’il lui fait comprendre que le soutif, remis à la hâte était à l’envers, les coutures visibles, les seins mal positionnés, noué à l’arrache…
“Aaaaah c’est pour ça que j’en chiais à l’attacher ! Je suis trop conne !”
“Tu attendais ton styliste préféré pour qu’il t’aide à t’habiller avoue ! p’tite princesse va !”
Et il approche en riant, pour faire la bise à la jolie Justine, dont les joues rosissent, un peu honteuse de ne pas être apprêtée correctement pour son ami de toujours.
Tout naturellement, il se place derrière elle, l’aidant à remettre dans le bon sens ce soutif, et même si l’envie de découvrir les seins dénudés de son amie est très forte, il reste sage, derrière elle, le temps qu’elle remette ce bout de tissu correctement pour qu’il enveloppe à nouveau parfaitement le galbe de sa jolie poitrine.
Elle ne lui racontera évidemment pas ce que le livreur lui a fait, ce qu’elle lui a fait en retour, et encore moins l’état d’excitation dans lequel il l’a mise et ce qu’elle a fait pour assouvir tout ça…
“Regarde, j’ai mon premier cadeau !”
“Wahou ! va falloir attendre 1 semaine pour l’ouvrir ! héhé !”
“Oué, je sais même pas de qui ça vient…”
“Tu veux que je regarde dedans pour voir qui est l'expéditeur ?”
“Non non ! ça sera la surprise !”
“Ca me fait penser que je t’ai toujours rien trouvé;”
“Quoi ?? t’as pas de cadeau ??”
“Si bien sûr ! un gros bisous !”
Et il lui vole un baiser au raz de ses lèvres, Justine reste figée, les joues rougissantes.
“Ah mince, je te l’ai déjà offert du coup… va falloir que je trouve autre chose !”
“Débile ! aller vient ! on va se baigner !”
“Bah attends, je vais me mettre en maillot, t’as pris de l’avance !”
Il dit cela en voyant son amie jeter sur le canapé son joli petit short, dévoilant son petit cul qui a absorbé en son centre le tissu de sa culotte, qu’elle va chercher négligemment à l’aide de deux doigts qui viennent, à regrets pour le jeune homme, remettre en place le tissu, recouvrant ce petit fessier rebondi.
Il se dirige vers la buanderie où il sait que le maillot qu’il a laissé la dernière fois doit encore sécher.
Il se dénude, voyant sa verge déjà un peu gonflée suite à ce début d’aprem trop sexy pour que tout reste sagement au repos… Il tente de caler tout son paquet le plus discrètement possible dans son boxer moulant de natation, prend une serviette pour cacher tout ça le temps d’aller rejoindre son amie dans l’eau.
Il plonge et commence à s’amuser à chercher les pieds de Justine pour la couler à répétition.
Des rires, des éclaboussures, ponctuent ce début d’après-midi.
Martin, bien que fidèle ami et confident, n’a de cesse d'admirer le corps délicat de Justine...
Justine, bien que fidèle amie et confidente, n’a de cesse d’admirer le regard pétillant de Martin…
Mais ni l’un ni l’autre ne souhaite briser cette ambiguïté qui a construit, qui a tissé leur amitié, plus forte que tout.
Au bout d’une heure de jeux, de quelques mains curieuses, les deux jeunes gens se calment pour retrouver le bord et discuter plus sérieusement autour d’une bière fraîche. Justine lui raconte ce qu’elle avait surpris dans la nuit, qu’elle est trop gênée d'entendre ça. Martin se marre en la rassurant qu’il n’y a rien de grave, que lui, il a même vu ses parents baiser, que ça fait bizarre, mais qu’il a appris des choses !
Justine fait sa choquée, mais intérieurement, elle s’imagine déjà aller fouiner la prochaine fois…
Rien que de discuter de ça, elle sent que ça la titille entre les cuisses, et décide d’aller se calmer avec une séance de bronzette. Martin sourit en regardant son amie, l’eau ruisselant sur sa peau dorée se diriger en chaloupant le bassin vers les transats.
Il l’imite et s’allonge sur le ventre, espérant pouvoir calmer son érection naissante.
“Tu fais bronzer ton dos, car tu as peur que je découvre que le fait d’avoir parlé de maman à 4 pattes a fait grossir ton petit oiseau ?”
“Pfff t’es conne ! Toi, tu peux mouiller tranquille en imaginant la bite de mon père sans que je remarque rien, profite !”
Ils rient ensemble de leurs bêtises, tout en regardant en coin, curieux, l’entrejambe de l’autre.
Le silence du repos bien mérité laisse place aux gazouillis des oiseaux environnants.
Et…
“Aaaaaaaaaah putain !!!!!”
Justine qui s’était assoupie hurle alors qu’un seau d’eau froide lui recouvre le corps brûlant par la chaleur du soleil.
Martin explose de rire et se barre en courant pour ne pas que Justine lui assène sa vengeance furieuse.
Mais il aura beau se réfugier dans la cuisine, Justine le rejoindra rapidement pour lui sauter dessus, s'agrippant à lui, les jambes entourant la taille du jeune homme, le serrant plus fort que jamais en lui frappant dans le dos, ne se rendant pas compte que l’eau fraîche a fait pointer ses jolis tétons plus que de raison, et que dans cette position, elle se les frotte dans le cou de son ami.
Martin, sous la puissance de ce bond qu’elle fait sur lui, tombe à la renverse, le cul sur le carrelage, son amie l'entourant pour finalement le chevaucher en le frappant de toutes ses forces, jusqu’à marquer même le dos et le torse du garçon.
Mais dans cette position, elle glisse petit à petit pour se retrouver assise sur l’entrejambe de son ami, et à force de bouger, la réaction naturelle ne restera pas invisible longtemps.
Tout en continuant de le frapper en criant et en riant, son bassin commence à se frotter. Lui, se laisse faire, essayant de parer quelques coups, mais en réalité, il profite des mouvements de hanches qui le font durcir comme jamais.
C’est la première fois que les deux amis se retrouvent dans une telle situation, quasi nus, en position plus qu’explicite et avec une excitation non dissimulée, car en effet, Martin bande maintenant raide comme un bâton qui coulisse contre le tissu de la culotte moulante de Justine.
Ni l’un ni l’autre ne fais de remarque, ni ne cesse ces mouvements, au risque que ça puisse dégénérer en quelque chose qu’ils se sont toujours refusés à faire.
Au bout de quelques minutes, Justine se relève, saisie la carafe d’eau sur le plan de travail, se recule et la verse en intégralité sur l’entrejambe de Martin qui hurle de ce contact glacé sur sa queue si chaude.
“Ca calmera tes ardeurs de gros pervers !”
Et sans lui laisser le temps de la retenir, Justine s’enfuit dehors en riant, laissant le jeune homme, gêné par l’état de son engin, mais quelque peu content du plaisir qu’il a pu avoir sans que ça n’ait dérapé…
Il se dirige aux toilettes pour se soulager, libère son sexe dressé et décalotté à souhait, l’empoigne et commence à se branler vigoureusement, sans savoir que quelques heures auparavant, dans ces mêmes wc, c’était son amie qui faisait coulisser ses doigts dans sa fente en pleine nuit…
Il ne met pas longtemps à jouir de belles salves épaisses qu’il nettoie avant de se rhabiller, le coeur encore palpitant de toutes ces émotions !
C’est à ce moment là que les parents de Justine ont décidé de faire leur apparition dans le hall d’entrée. Martin les salue poliment et file rejoindre Justine qui bronze, l’air de rien, semblant d’une sagesse incroyable.
“T’es vraiment une garce toi !”
“Oui, mais tu sais que tu l’adores cette garce pas vrai ?”
Il se penche en souriant, embrassant avec douceur le front de cette effrontée.
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