Turban, cornet, peinture
Le gît des airs
Dans l’ombre de la nuit,
Les rues aux pavés nives
Où se fondent parjures,
Attendait l’aventure une trogne et son baluchon.
L’Être au turban devant
Les fentes comme feux
Les feux comme en peinture
Sa voix de secret luit des grésils d’Intrigue et Trésor
« Pars quester le Levant
Là où les nues sont rives,
Et le crépuscule vœu
Tu trouveras les Dieux qui n’ont que Bravoure pour nom »
Lors le petit s’élance.
Sous couvert des lueurs
Dans le vaste horizon.
Ne connaît pas la peur qui se bat pour des pièces d’or.
L’épée haut, son credo
Sous les ailes électriques
Il souffle du cornet
Pour repousser Tonnerre, Marées de verts et de bleus
Vient son combat dernier,
Face au gardien de l’heur,
L’heure lui porte chance,
Et puis porte ses fruits.
Dans l’ultime albédo…
Subit échec critique !
Il lui fallait du stuff pour vaincre le champion des lieux.
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