Elberon la Grande

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Elberon la Grande au bout du chemin

Elberon la Grande où rien n’est à demain

Frénétique au travail, sûr des actions

Les gens sont fous à ma faible vision

Le labeur heureux et aucun repos

Je chante ainsi vite et au trot

Les plaines sont riches et les mines vastes

La ville vit comme une bourrasque

Les gens sont-ils heureux ? On me dit oui

Les corps sont-ils heureux ? On me dit oui

Si cette vie de travail convient

Non, je ne dirai rien

Mais mon art se créé par distraction

Et je change comme passe d’inaction

Vous voulez que je fasse plus vite ?

Vous voulez que je parle plus vite ?

Ah ! Elberon la Grande. Grande vaillance !

Ton peuple prospère et avance

Elberon la Grande, j’en garderai bon souvenir

Malgré ce monde de travailleurs sans me convenir

Parce que tout le monde travaille ici-bas

Aucune exclusion, pas de barrière, ni de débats

Un cœur uni et qui bat au rythme

De ces carrières et de ces plaines en hymne.

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