Ode à l'étreinte
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En souriant on se tombe dans les bras,
Et soudain le monde se fait silence,
Murmure alors la tendre délivrance,
De deux cœurs chantant d’une même voix.
De parfums exotiques en musiques jolies,
Un univers vient chatouiller nos sens,
Encore tout émerveillés de l’innocence,
Des corps rompus aux solitudes accomplies.
Soulagé, on soupire à la douce chaleur,
Qu’irradie ce corps que l’on étreint,
Et qui chasse de nos âmes les chagrins,
D’une vie où déambulent les malheurs.
Alors nos bras serrent un peu plus fort,
Craignant de lâcher prématurément,
Ce trésor de tendresse rassurant,
Qui pare nos cœurs de la lueur de l’or.
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