Déblocage et compression
Mon ardeur suprême, mon piédestal en fer...Si la malfique entre du mal et du bonheur existe toujours, elle porte son poids auprès de mon récit, le Sex and CLUB, un cabaret puant le sexe et l'alcool à plein nez, là où les filles se font malaxer les seins et taper les fesses par des inconnus bourrés de malveillance. Il faudrait les voler, se dit-on. C'est un songe comme cette antre. Outre son dépassable business et son patron assoiffé d'argent et d'importance, le glorieux cabaret est d'abord acclamé par la limite de la Renaissance, ni par ses rois ni par ses villlageois. Non, on ne devient pas un pervers ainsi sous des culottes et des jupes rembourrées, non. On devient c'a avec le sang à plein nez. Autrefois parle-t-on d'une prostituée de la Renaissance qui aurait fait naitre le Soleil avec son époux ? Alors cette prostituée est la vedette du strip-club, cette pute du troisième siècle, une noirâtre tâche sur des milliers de roses. La Thérèse, la Florencia, la Bernadette et cette Janet, une américaine-slovaque-russe à la Depardieu. Et se dit-on une question parmis les clients du sexe ? Le patron ? Un gentil homme la journée mort le soir.
La Rolls-Royce de Dieu. Un homme. Un français qui s'indique aux USA pour pouvoir ouvrir son crime Tout-Puissant. Sinon, il ne pourrait pas dans ce Paris impuissant, ce Paris qui nuit sous les projecteurs affamés des gendarmes...
C'est l'patron, CHEF
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