Chapitre 7

2 minutes de lecture

Je voudrais la repousser, cette fille est toxique, mais elle est dotée d'un sex appeal indéniable, je suis un homme, même si je voulais résister, je n'y arriverais pas, m'en blâmez-vous ?

Alors bêtement, je me laisse faire... euh, la je ne peux plus réfléchir, excusez-moi, je ne vous demande pas de comprendre...

Et juste au moment où, ces des belles fesses bien rondes et bien douces dans les mains, j'allais enfin finaliser ma soirée pizza, un grand bruit fit vibrer les murs.


  • Mais il va péter la porte, hurla-t-elle, Juju j'ai appelé les flics avant de partir
  • Sors de là ou je vous découpe au sabre japonais, tu sais celui que tu m'as offert pour mon anniversaire.
  • Juju, que veux-tu à la fin , pleura-t-elle en essayant machinalement de caresser ma virilité qui se carapatait

Puis se tournant vers moi, la belle aux yeux de feu miaula, feula plutôt :


  • Roo, je vais te la transformer en barre à mine, ta barre chocolatée, me susurra-t-elle en s'agrippant à mes hanches alors que je ne rêvais plus que de quitter cet hôtel minable au volant de ma voiture. Que tu es donc impressionnable toi comme mec, quelques coups un peu forts sur la porte de la chambre te déconcentrent

Elle en avait de bonne elle, les fondations de l'hôtel lui-même vibraient sous les coups de bélier de son mec, il devait taper sur la porte blindée à la masse, elle comme si de rien n’était aurait voulu qu'on continue. Elle devait être malade, cette nana, j'étais tombé sur une folle, il n'y avait qu'a moi que ça arrivait ce genre de truc


  • Moi, dit elle, en réussissant à rendre mon machin à demi dur à force de le malaxer, ça m'excite encore plus le danger, allez profite mon bel inconnu de la pizzéria de Carnon, demain nous serons peut être morts... Roo, meuh non; je plaisante, Juju n'est qu'un mouton, crois-moi, dans ma vie, j'en ai vu des plus durs que lui... et que toi en ce moment.

oh miracle, le bruit de la porte avait cessé, elle avait raison, il n'était pas si méchant que ça son juju. Enfin je pus profiter de ma...


  • Jennifer, je m'appelle Jennifer, appelle-moi Jennyiiii, me jeta-t-elle dans l'oreille, et je n'ai aucune envie de te laisser dormir mon coco.

Moi non plus, je n'avais plus aucune envie de dormir, ma Loulouttre était une joueuse, une coquine. Jennifer, elle, c'était un bâton de dynamite, une machine de guerre, un ouragan.

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