Chapitre 28

2 minutes de lecture

Pierrot euh Casimir euh ...appelez moi Pierrot, tout simplement

J'avais bien dormi, non, trés bien dormi, Loulouttre, enfin jocelyne, il fallait que je m'habitue à ce prénom, avait bien essayée de me caresser un peu... Devant mon peu d'enthousiasme elle y avait renoncée, hier au soir... Je m'étais alors endormi comme une masse.

Un coq ou un son de cloche m'avait réveillé, a moins que ce ne soit les bruits de bol qu'on entrechoque et l'odeur du café qui allait avec. Jocelyne dormait encore, je n'avait plus sommeil je me suis levé. Ce n'est qu'arrivé en bas de l'escalier, dans la cuisine salle à manger oû on avait étés acceuillis, hier au soir, que je réalisait l'heure qu'il était, Cinq heures trente, ces gens là étaient donc déja debout, Le pére qui apparement avait déjà bu son café et visiblement s'appretait à quitter la table, me salua et s'installa à nouveau, reprenant un grand bol de café pour m'accompagner me dit il ! le rire au lêvre, il me demanda :

  • Elle t'as déjà foutue à la porte ou tu es tombé du lit !

Sa soeur avait arborée son plus beau sourire, au saut du lit , pas encore maquillée elle était mignone à croquer, elle répondit a son paternel :

  • Ne l'écoute pas, il est un peu lourd, mais il adore sa fille, la marmotte est un autre de ses surnom, Ne l'écoutes pas, vient t'assoir prés de moi, ma soeur est une sacré cachottiére, tu va me raconter...

Ausssitot assis, elle envahit mon espace vital, me fouttant ses cheveux dans ma figure et collant sa cuisse droite contre la mienne. Je me servis un grand bol de café, comme tout le monde ici. les parents de Loulouttre me vovoyaient, sa mére demanda si je prenais du lait le matin, je lui répondis que non je n'en buvait pas, que le café noir m'allait bien, et que sa confiture apparement maison était exellente.

J'étais obligé de regarder droit devant moi, si je tournais mon regard, ce dernier tombait dans le déccolleté de ma charmante voisinne qui ne cachait nullement sa belle poitrinne. Je priais pour que Jocelyne enfin se réveille, je ne me sentais pas du tout à mon aise à coté de la petite soeur qui me bombardait de question et me caressait comme si de rien était à tout bout de champs.

Elle m'avait déjà racontée la moitié de sa vie alors que je ne répondais à ses question que du bout des lêvre, par onomatopées. Loulouttre devait dormir comme une marmotte, car je n'entendais aucuns bruits à l'étage, j'aurais bien aimé qu'elle vienne à mon secours, je ne savais comment me débarasser de ma génante voisinne qui ne me laissait pas indifférent.

Alors qu'elle aurait pu se lever et faire le tour pour récupérer un pot de miel à l'autre bout de la table, elle se coucha pratiquement sur moi en tendant le bras pour le récupérer en s'etirant le plus possible pour bien me montrer sa lune... nue et rose et ronde . Elle me provoquait, j'en étais certain, voulait elle me tester ou bien...

Ouf, ça y était, Jocelyne enfin était debout, mon martyre allait enfin cesser.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 3 versions.

Vous aimez lire Etienne Ycart ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0