Je n'arrive pas à y croire… Sam a finalement réussi à m’embarquer dans l’une de ses soirées estudiantines… Je ne m’y sens pas du tout à ma place ! Le thème du jour : le Japon ! Avec mon prénom… difficile de ne pas y participer… Ma mère a toujours été fan du pays nippon… Lorsque je suis né, aucune hésitation ! Mon père n’a pas eu son mot à dire, le prénom était tout vu : Tatsumi.

Me voilà donc affublé d’un costume du célèbre renard à neuf queues au milieu d’autres personnages de manga que je connais plus ou moins, un verre d’un cocktail détonnant à la main, à me demander ce que je fais là. Sam m’a complètement oublié et enchaîne les verres et les pelles avec le plus de filles possible . Je me trouve une place sur un canapé et m’assois en soupirant. Je vide mon verre : quitte à être ici autant que ça serve à quelque chose…J’aperçois du coin de l'œil une bouteille de vodka et du jus de pomme… Qu’à cela ne tienne…

Au moment où je pose ma main sur la bouteille, une patte de chat l’attrape en même temps. Je lève les yeux sur une jeune fille déguisée en écolière japonaise avec un masque de kitsune sur les yeux laissant apparaître une bouche pulpeuse à souhait rehaussée d’un rouge à lèvre carmin. Sa chemise ouverte aux trois quart et éclaboussée (de quoi? d’eau? d'alcool?) laisse voir une poitrine généreuse sans aucun sous vêtement. Ses tétons pointent allègrement sous le fin tissu.

Absorbé par cette vision, je lâche la bouteille. Les yeux de la jeune fille sont roses, certainement à cause de lentilles de contact : elle se passe la langue sur ses lèvres d’une façon si provocatrice que ma queue a un soubresaut malgré moi. Je déglutis. Ravie de son petit effet, elle s’assois à califourchon sur moi, en soulevant exprès sa petite jupe de sorte que je puisse apercevoir sa petite culotte en dentelle rose qui recouvre à peine son sexe. Je n’ose pas bouger : qu’à cela ne tienne, elle enroule ses bras autour de moi, s’approche doucement avant de fourrer sa langue dans ma bouche et de caresser la mienne d’une manière experte. Je ne fais que la suivre : c’est Mlle Kitsune qui mène la danse.

Assise sur moi, sa bouche collée à la mienne, elle se met à se frotter contre moi langoureusement, étouffant un petit cri de surprise avec sa langue délicieuse. Je ne peux retenir mon érection : elle se détache de moi et ses lèvres s’arrondissent en un petit O de surprise quand elle sent ma queue durcir entre ses cuisses. Elle baisse les yeux sur la bosse qui s’est formée sous mes vêtements et à nouveau passe sa langue cette fois sur ses dents blanches parfaitement alignées d’une manière très gourmande.

Elle se colle à moi un peu plus et saisit ma main pour la diriger vers son entrejambe. Les lèvres de son sexe sont si humides et si lisses que je peux me frayer un chemin vers son intimité sans aucun problème. Elle se cambre un peu pour mieux sentir ma caresse, qui est loin d’être experte. Elle enlève ma main. Je suis haletant. Cette petite scène totalement improbable s’est passée au milieu du salon au vu et au su de tous. Mais personne ne semble l’avoir remarqué.

Mlle Kitsune se lève, en frottant ses fesses sur ma queue puis en me la caressant de ses petites mains et me fait signe de la suivre. Je me lève, complètement hypnotisé par ses yeux roses et cette bouche carmin. Elle m’emmène dans l’une des chambres de la maison. Je n’avais pas remarqué jusqu’alors mais elle porte tout l’attirail du petit renard : les gants, le masque, les oreilles et … la queue… dont l’embout est fiché entre ses jolies fesses rondes à travers un petit trou fait dans la mini jupe à cet effet. Lorsque je m’aperçois de ce détail, mon érection est si dure qu’elle me fait mal.

Elle me pousse à l’intérieur et entre à son tour. Je l’entends verrouiller la porte derrière elle. Elle m’enlève le masque puis mon costume : je suis face à elle, vêtu uniquement de mon boxer qui à l’instant me semble beaucoup trop serré. Face à la grandeur de ma queue, ses yeux expriment une certaine surprise et je l’entends murmurer : “ Mmmmhh… Elle a l’air si grosse…”, d’une voix pleine de gourmandise. Je déglutis.

Elle enlève son chemisier. Ses seins pointent fièrement vers le haut et ses tétons sont durcis sous l’effet du désir. Elle les prend à pleine main et en titillent les pointes sous mes yeux extasiés tout en poussant des petits râles de plaisirs…

Qu’est-ce j’aimerai faire la même chose…

Comme si elle lisait dans mes pensées, elle se retourne, colle son dos à moi avant d’attraper mes mains et de les poser sur sa poitrine : je les malaxe doucement. Ils sont chauds et si tendres... Elle prend mes pouces pour les guider vers ses tétons : j’effectue des petits cercles concentriques autour d’eux. Elle se cambre en poussant un petit “oui” de plaisir et presse ses fesses contre mon érection. Je gémis à mon tour.

Ma main droite descend malgré moi au sud, vers son intimité, tandis que la gauche continue de maltraiter son sein. Je passe l’élastique de sa jupe et sens la dentelle de sa petite culotte. Je presse mes doigts sur ses lèvres déjà gonflées avant de caresser son clitoris de l’index : elle gémit plus fort. Comme pour ses tétons, je dessine des ronds autour de son clitoris de plus en plus vite. Elle ne gémit plus mais commence à pousser de véritable râles rauques. Son sexe devient de plus en plus humide et le mien de plus en plus dur sur ses fesses qui ne cessent de se frotter contre ma virilité.

Elle finit par se cambrer et de prononcer un “oui” plus long et plus rauque que tous les autres. L’épais liquide chaud qui s’écoule dans ma main me fait comprendre que Mlle Kitsune a atteint l’extase grâce à mes doigts. Je m’étonne moi-même… Elle se retourne vers moi, légèrement essoufflée, une lueur délicieuse dans le regard. Elle me pousse vers le lit pour que je m’y assoie. Lorsque je veux m’allonger, elle me fait non de la tête, avant d’enlever sa jupe et sa culotte. Elle n’est vêtue que de son costume de Kitsune. Elle se met à quatre pattes et s’avance vers moi de façon féline en miaulant. Ce spectacle est à couper le souffle, je déglutis.

Avec sa langue, elle trace un chemin à partir de mon pied et remonte lentement le long de ma jambe, tout en mordillant à certains endroits. C’est exquis. Je peine pour ne pas m’allonger. Elle arrive à mon entre-jambe. A travers mon boxer, elle empoigne ma queue avant de la caresser doucement : c’est tellement bon. Elle l’enlève, regarde mon érection et se passe la langue sur les lèvres, un sourire satisfait scotché dessus. Elle me tend la main, je la prends : elle m’amène juste sur le bord du lit. Là, se met à quatre pattes et pose un délicat baiser sur le bout de ma queue. Une petite perle de liquide s’écoule déjà : elle la cueille d’un coup de langue qui me fait frissonner.

Soudain, elle le prend dans sa bouche sans crier gare. Je sens ma queue cogner le fond sa gorge. Elle entame des va et vient frénétiques, gainant ses dents de ses jolies lèvres. De temps en temps, je sens sa langue venir caresser le bout de mon gland de façon très sensuelle. Mon plaisir monte de plus en plus, je ne vais pas tarder à jouir. Pris dans mon plaisir, je ne sais pas si je dois la prévenir. Il me semble qu’elle le sente car elle s’est mise à me sucer de plus en plus fort, de plus en plus vite. Je me laisse aller dans sa bouche : elle avale tout mon sperme. Elle se recule, une lueur de fierté dans les yeux.

Elle se lève, minaude devant moi avant de s’allonger sur le lit, à côté de moi. Je me place à sa hauteur. Elle se met sur dos et commence à se caresser : en partant de son cou, elle glisse sa main vers son sein qu’elle palpe allègrement avant de la descendre vers son intimité. Je n’en crois pas mes yeux : le spectacle est… saisissant. Elle se cambre sous l’effet de ses propres caresses. Je salive et me colle à elle. Elle sent mon érection contre son flanc et sourit d’un air salace avant de basculer sur moi.

Comme dans le salon, elle est assise à califourchon sur mes cuisses. Elle prend ma queue dans sa main et commence à me caresser. Je pousse des râles de plaisir. Tout en la gardant, elle s’allonge sur moi, frottant ses superbes seins sur mon torse imberbe et lentement frotte mon gland contre son clitoris inondé de plaisir. La sensation est tellement agréable, je me cambre à mon tour. Je n’ai qu’une envie c’est de la pénétrer enfin.

Elle exauce mon souhait : d’un coup de rein elle enfonce ma queue en elle. Elle est si chaude, si humide : c’est un véritable délice. Je regarde la fille qui est en train de me baiser : son visage est toujours à moitié caché par mon masque et ses cheveux blonds sont à peine maintenus par son cercle à oreille de renard. Elle se mord la lèvre inférieure et commence à bouger d’avant en arrière. Mon sexe à l’intérieur d’elle s’en donne à coeur joie : le fait qu’elle ait pris les commande décuple mon plaisir de la prendre enfin. J’arque mon corps à chaque coup de rein afin de la remplir entièrement. C’est tellement bon que j’en oublie où l’on est : ce n’est plus des râles de plaisir que nous poussons mais bel et bien des cris rauques. Son sexe est tellement humide que ma queue glisse toute seule sans aucun effort. A nouveau, je sens mon plaisir monter, je jouis en elle, incapable de me contenir. Je la sens se serrer autour de ma queue, ces spasmes m’indiquent qu’elle aussi a atteint l’extase de même que le cri de délivrance qu’elle pousse.

Elle s’allonge contre moi, complètement essoufflée. Je suis en nage, je colle. Elle ne m’a pas retiré d’elle. Bien que j’ai jouis deux fois même pas en l’espace d’une heure, le simple fait de sentir les parois de son sexe autour du mien ne le fait pas redescendre. Je l’entends rire doucement contre mon épaule. Elle me donne un coup de rein qui me fait gémir.

- Gourmand va…

- Je n’ai rien dit…

- Ta queue qui grossit au fond de moi me laisse penser le contraire…

Je déglutis : juste l’entendre dire ces mots et j’ai encore envie de la prendre. Mais pas sûr que Mlle Kitsune soit d’accord. En effet, elle me retire d’elle, me sourit et se lève. J’en fais de même de l’autre côté du lit. Je réalise que je ne connais ni son nom, ni son visage. Je vais pour ramasser mes vêtements, lorsque je l’entends miauler dans mon dos. Je me retourne et là… Le spectacle est édifiant…

Mlle Kitsune est de dos, à moitié allongé sur le lit, les jambes écartées, la petite queue de renard fichée entre ses fesses relevée sur son dos : elle me présente son sexe ouvert de manière si évidente que ma queue se dresse immédiatement. Les restes de mon sperme dégoulinent encore entre ses lèvres lisses et roses. Je m’approche et ne peux m’empêcher d’y passer ma langue. Elle gémit. Je glisse un doigt en elle : elle est si chaude. J’en mets un deuxième, elle hocquette mais bascule pour les enfoncer encore plus. J’accélère mes va et vient et en insère un troisième. Dieu qu’elle est humide ! J’enlève mes doigts et les suce fort volontairement pour qu’elle entende le bruit de succion. Je me penche pour passer ma langue sur ses lèvres gonflées, la torturant un peu. Je la glisse vers son clitoris que je lèche avec gourmandise : son goût sucré est électrisant.

Incapable d’attendre plus, je me positionne derrière elle. Je vais la pénétrer lorsqu’elle me stoppe. Elle tourne sa tête vers moi...

- Pas ici… Mais là… me glisse-t-elle en enlevant la queue de renard d’entre ses jolies fesses.

Ce sera une nouveauté pour moi : je n’ai jamais enculé quelqu’un. Je ne demande pas mieux pour une première fois : ses yeux se font suppliants et sa bouche entrouverte laisse s’échapper un petit filet de bave avide. Je me positionne derrière elle, elle se cambre un peu plus me présentant ainsi son anus bien ouvert. Je frotte mon gland entre les lèvres de son sexe et va pour humidifier un peu son anus. Je ne vais pas en avoir besoin de plus : elle est tellement humide que même entre ses fesses je glisse facilement.

Je la pénètre doucement : c’est si étroit et si bon. Je l’entends pousser un cri : de plaisir ? De douleur ? Difficile à dire… Je l’enfonce un peu plus. Nouveau cri. Les parois sont si serrées autour de ma queue… Je me délecte. Je la sens mouiller un peu plus.

C’est qu’elle aime ça alors.

Ultime coup de boutoir. Son cri rauque ne laisse plus de place à l’hésitation : c’est bel et bien un cri de plaisir. Je suis entièrement dans son anus : je profite du spectacle. Ses fesses autour de ma queue, son corps cambré sous moi, son dos à la peau si blanche. Elle tourne légèrement sa tête vers moi… ses yeux sont remplis de désir et de plaisir. Une vraie tête de cochonne… J’entame des mouvements de va et vient lent : son anus est si serré que mon plaisir n’est que plus fort. Plus je vais, plus son col se délâche. Je la baise par derrière.

J’agrippe ses hanches pour m’enfoncer encore plus en elle : je ne la ménage pas, après tout c’est elle qui l’a demandé. Elle hurle de plaisir et des “encore, encore, plus fort”. J’exauce son souhait : je m’allonge sur elle tout en continuant de la prendre et passe ma main en dessous pour titiller son clitoris. Mes doigts l’encerclent et le caresse sans ménagement. Ma queue s’enfonce dans son cul allègrement. Elle gémit de plus en plus fort, sous mon poids elle ne peut plus bouger et est à ma merci.

Je jouis entre ses fesses : c’est tellement bon. Je sais qu’elle n’a pas encore atteint l’extase et j’en veux encore. Je la retourne un peu violemment et entre en elle d’un seul coup : elle crie et d’emblée noue ses jambes autour de moi pour me mettre encore plus profond. Je ne la laisse pas le temps de comprendre que je la baise encore une fois. Je prends ses mains et les emprisonne au-dessus de sa tête. Je lui donne des coups de rein frénétiques de plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle hurle de plaisir et moi aussi. Je sens son corps se contracter autour de moi. Ca y est elle explose… Son corps délicieux se cambre contre le mien et je me laisse à nouveau aller en elle.

Je retombe sur elle, épuisé. Cette fille m’a fait connaître toutes les jouissances en seule fois. Et je ne sais même pas comment elle s’appelle. Je ne connais même pas son visage. Je me retire d’elle et elle pousse un petit cri, cette fois de douleur.

Merde.

Elle pose un doigt sur mes lèvres m’intimant de me taire. Elle s’allonge sur mon torse, sa respiration se calme. Je crois qu’elle s’est endormie. J’en fais de même.

A mon réveil, elle n’était plus là.