Chapitre 31
Le soleil se levait à peine et j'avais espoir de m'endormir au moins jusqu'à ce moment, mais rien n'y fait même si mon corps à besoin de repos ma tête elle, n'a fait que penser durant toute la nuit.
Nathan - Tu es bien matinal !
Moi - Bien epuisé surtout. Je n'en peux vraiment plus, je n'arrive pas à trouver le sommeil depuis des jours !
Nathan - Le depart de tes amis à dû perturber ton rytme de sommeil. Quoi qu'il en sois, moi je dois aller au boulot.
Il se leva, enleva son t-shirt et se dirigea vert la salle de bain. Ouf, je me retenais de réagir à chaque fois qu'il faisait ça. Je me suis dis qu'au bout d'un moment j'allais m'y abituer, mais ça à fait l'effet inverse, j'en redemandais ! Ce qui à la base ne me ressemble pas du tout. La porte de la salle de bain fini ensuite par s'ouvrire et comme dans un rêve Nathan en sortit dans un nuage de fumé. Son parfum floral avec une pointe d'amertume m'a fais literalement fondre et n'en parlons pas de l'homme, il avait un pantalon en lin blanc et une chemise a col remonté assortit, il n'allait s'en doute pas s'occuper des vaches !
Bryan - Tu devrais fermer la bouche. On pourrait croir que tu le mangerais tout cru si tu le pouvais.
Moi - Qu'est ce que tu raconte ? Et toi, tu n'a rien à faire ?
Nathan - Tu n'es pas encore prêt ? Je te l'ai dis pourtant, avant 6h et il est ...
Bryan - À peine 5h30.
Visiblement ceci l'amusait.
Moi - Et vous allez où ? Enfin si ce n'est pas indiscret.
Nathan - En ville.
Je m'attendais à une réponse un peu plus developpé mais visiblement c'est tous ce que j'aurais.
♥♥♥
Le vent soufflait si fort que je pouvais entendre les volets se heurter contre les murs de la maison. Star était tant cas elle impatiente de dejeuner. Le vent souflait et je me demandais si je perdais la tête à entendre des voix à peine audible.
- Toi et moi . . .
Je m'arrêta pour être sur de comprendre ce chuchotement.
- Toi et moi pour toujours et à jamais . . .
Je pouvais l'entendre plus clairement.
- Toi et moi pour toujours et à jamais mon amour.
Ce qui me fit monter les larmes aux yeux. Je devrais partir en courant, je devrais mourrir de peure. Mais au contraire je restais là à attendre je ne sais quoi, à chercher ce qu'il n'y avait pas et je pleurais, je ne pouvais m'empecher de pleurer toute les larmes de mon corps, jusqu'à ce qu'une bourasque de vent s'ampara de moi, j'étais comme transporté dans le temps. Comme-ci mes pensées étaient en accord avec ce qui m'entourais, j'étais entière . . .
Annotations