Bill était au volant près de Carole. Cette dernière, surprise, sortie du vehicule pour m'admirer.

Carole - Tu es magnifique !

Moi - Tu as surtout bon goût en matière de fringue.

Carole - C'est toi qui la porte comme un gant. Je suis contente qu'elle te vas si bien. Allez, il faut vite y aller. Il ne faudrait pas être en retard. Monte avec les garçons, vous serez mieux entre vous.

Heureusement Bryan s'était déja installé à l'avant.

Bryan - Tu es bien attaché, princesse ?

Moi - Oui sir, nous pouvons décoller !

Nathan me fixa dans le retroviseur avant de démarrer. Que ce serait-il passé si Bryan n'était pas entré ? Cette question me tournait en tête et je m'imaginais d'inombrables scènes qui me fît rougir.

Nathan - Tout va bien ? Un leger rictus se dessina sur le bord de ses lèvres quand il me posa cette question. Question, qu'il savait sans doute déjà la réponse.

J'acquiesca avant de regarder à travers la vitre. Les arbres filaient à toute vitesse et même si j'étais touché par cette journée, dans des moments de silences comme celui-ci je me retrouvais toujours en train de parler avec mon père et parfois ma mère. Sans même m'en rendre compte nous étions deja arrivé.

Un resto chic assez loin de la ville. Nathan m'ouvrit la portière et j'étais subjugué par les lieux. Au loin j'aperçu mon père mais après quelques secondes je reconnu mon oncle.

Moi - Oncle John !

John - Ma cher nièce, tu es très en beauté.

Moi - Merci. Ton voyage c'est il bien passé ?

John - Oui. D'ailleurs si je suis venu ce soir c'est dejà pour te souhaiter ton anniversaire et aussi te remettre cette lettre. Tu as 18 ans et comme tu dois le savoir, tu hérite de tous ce que possédaient tes parents. Bref, ce rendez-vous concerne donc ton héritage et il est important que tu sois présente Jeudi prochain pour la lecture du testament.

Corole - John si nous discutions de cela plus tard ?!

Heureusement qu'elle s'en ai mêlé car je ne souhaitais pas parler de ça pour le moment.

Nathan - Ton oncle est un peu maladroit, mais c'est lui qui a payer le resto et l'opera de ce soir. Il tient à toi.

Moi - Je sais. Chuchotai-je en souriant.

Mon oncle faisait toujours tout dans le grandiose, les énormes fêtes, les grands resto. Mais il s'était retenu pour une fois et j'ai supposé que c'était grace à Carole.

Carole - Tu est contente ?

Moi - Oui. Merci d'avoir dissuader oncle John de faire une enorme fête.

Carole - Tu es maligne. Mais cela te convient ?

Moi - Je ne souhaitais pas plus tu sais.

La presence de mon oncle dura jusqu'au dessert car après un appel important du bureau il decida de partir. Il me donna une paire de boucles d'oreilles en diamant posé dans un petit écrin noir et n'étant pourtant pas sentimental il m'offrit également une photo de ma mère dans un cadre en argent que je déballa sur le chemin du retour.