Chapitre 189

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Giulia me propose de m'arrêter pour admirer le magnifique coucher de soleil colorer le ciel de Liverdun. La voiture tournée vers la vue sur le village, nous profitons de ce magnifique panorama en nous embrassant avec beaucoup de passion. Cette fille fait battre mon coeur et j'en suis très amoureux.

Les yeux de ma chérie se font gourmands, je ne peux m'empêcher d'admirer sa beauté et de suivre du regard sa petite langue qui passe entre ses lèvres. Je me demande bien à quoi peut-elle penser à cet instant précis ?

Sa force me surprend lorsque sa main m'attrape avec fermeté par le poignet pour remonter mon bras le long du repose tête qui se trouve derrière moi pour l'entraver d'un lien qu'elle improvise avec son écharpe plaid à carreaux, je la laisse me prendre le second poignet pour l'attacher. Le tissu se resserre bien, Giulia pousse l'avancée de mon siège en arrière pour m'éloigner du volant puis se pose sur mes cuisses pour venir goûter à mes lèvres. Sa bouche est humide j'imagine alors qu'elle doit l'être tout autant beaucoup plus bas juste dans son Mont de Vénus. Les liens me rappellent à l'ordre lorsque je veux poser mes mains à plat sur les hanches de Giulia, elle se met à rire en me disant que je suis prisonnier et tout à elle. Ma chérie se cambre bien reculant ses fesses en arrière et revient m'enlacer le cou pour me donner un baiser très langoureux. Elle se donne à coeur joie de me taquiner en roulant sa langue autour de la mienne, j'ai un peu de mal à suivre le rythme et cette fougue me donne très chaud. Je sens la couture de mon jean se tendre de plus en plus, mon attribut est en train de se gorger de sang avec ma belle je me sens bien. Giulia fait descendre ses yeux en direction de mon entrejambe et secoue la tête avec un petit sourire amusé de voir qu'elle me fait bander rien qu'en me roulant une pelle. Elle vient m'embêter en se frottant contre la bosse formée sous le jean mais cela semble bien lui donner envie vu comment elle se tortille en me chevauchant. Un à un elle défait les boutons de ma chemise bleue ciel pour dénuder mon torse et ses doigts fins effleurent toute la partie découverte dans un glissement très sensuel, j'halète plus fortement lorsqu'elle fait tourner ses pouces sur mes tétons. Mon souffle est court, dans mon regard elle peut largement lire le désir que j'ai pour elle et à quel point elle m'excite en m'ayant mis dans une situation inhabituelle. Ses longs cheveux rouges foncés me chatouillent la nuque et le haut du torse, elle goûte à mon cou en alternant les baisers avec ses lèvres et avec la pointe de sa langue sans omettre de me caresser la joue et le bras avec la main dont elle ne se servait pas jusqu'à maintenant. Le rebondit de sa poitrine se love contre mes pectoraux, elle se débarrasse de sa veste avant de reprendre ce qu'elle me faisait s'attaquant à présent à mon lobe d'oreille.

  • Haaaan ! (Je gémis un râle rauque ne m'étant pas préparé à ce pic d'excitation).

  • Chéri, ça te plait ce que je fais ? Ça t'excite même ? Hum tu es si beau, si sensuel et vraiment très musclé j'adore ton corps et je crois bien que c'est moi qui ai très envie de toi !

Giulia bloque ma bouche avec la sienne, ses mains circulent toujours sur mon torse qui est une zone plutôt sensible aux caresses. Son bassin s'avance d'avant en arrière ce qui appuie sur mon sexe en érection créant un picotement très intense juste en dessous des abdominaux.

  • Mais que c'est dur pour moi de ne pas ... (Je m'interromps quelques secondes en constatant que ma jolie petite femme est en train de défaire ma ceinture et la braguette de mon jean). Pouvoir te... Toucher.

Giulia ne se prive pas de carrément sortir ma verge de mon pantalon pour l'entourer de ses doigts pour la branler dans de grands coulissements. Mon humidité perle au bout de ma lance, cela m'encourage à me relâcher tout comme les soupirs que je pousse. Ses doigts sont magiques, tout electrisants et très stimulant. Avec son pouce elle récupère la bave visqueuse de mon attribut pour le lubrifier sur toute sa longueur, ça a le don de bien me chauffer je ressens l'envie monter jusqu'à dans mon coeur qui accélère de lui même ses battements. Pris dans ma concentration, sa chevelure flamboyante me chatouille la hampe je comprends alors que sa bouche est toute proche de ma virilité. C'est sa langue qui vient d'abord m'offrir la plus douce des tortures en remontant ma hampe raidie de désir envers elle. Je frissonne contre mon siège ayant du mal à me contenir, mes abdos se crispent dessinant leurs lignes dans le moindre détail et je pousse quelques râles discrets pour lui montrer à quel point elle est douée avec sa bouche et la chaleur qui s'en dégage. Son visage est tout détendu et ses yeux clos appréciant ce qu'elle me fait, elle met un peu plus de volonté dans ses gestes en me masturbant avec un brin d'énergie supplémentaire.

Elle est d'une douceur dans ses gestes mais elle sait appliquer toute la fermeté suffisante pour m'exciter. Sa langue chaude me caresse le pourtour du gland puis le dessus avec insistance avant de redescendre lécher mon frein en poussant quelques gloussements. L'embrasement irradie tout mon corps d'une source réconfortante et chaude m'apaisant de plus en plus, je sens mes épaules se relâcher et mes cuisses s'écarter. Ses mains libèrent ma queue pour venir masser avec le bout des doigts mes couilles fermes dans des petits gestes circulaires avant de faire déraper sa langue dessus. Mes pectoraux ont perdu le rythme normal, ils se soulèvent en petites saccades tout comme ma respiration bruyante qui résonne dans l'habitacle.

Giulia est merveilleuse, penchée sur la base de mon sexe elle me donne une magnifique vision sur son décolleté dans son débardeur moulant sous lequel je remarque qu'elle ne porte rien grâce à ses tétons qui sont bien dessinés sous le tissu. Plus elle se penche, plus j'en vois davantage.

Lorsqu'elle relève la tête pour venir m'embrasser un long filet de liquide séminal coule de sa bouche, elle l'essuie hâtivement pour ensuite se jeter sur moi pour me prendre d'assaut en me pinçant la lèvre inférieure. Mon coeur et ma respiration se donnent le mot pour s'emballer dans un rythme effreiné. Je ne peux retenir un gémissement rauque lorsqu'elle me lèche le téton en faisant bien le tour avec sa langue, elle renouvelle l'opération ce qui me provoque un grand soubresaut me décollant le dos du siège.

Giulia me caresse le haut des cuisses avec la pulpe de ses doigts, mon corps est frisson, mon cerveau enuagé par un plaisir proche du paroxysme. Mon inexpérience y est pour beaucoup, je ne pratique pas assez souvent pour garder le contrôle autant que je le voudrai.

Je râle dans l'habitacle lorsqu'elle me reprend avec gourmandise allant bien en profondeur dans le fond de sa gorge. Ma petite femme me fait trembler, suffoquer, je m'essouffle encore plus à chaque fois qu'elle remonte le long de ma tige avec la pointe de sa langue combinée à l'enserremment de ses lèvres. Energiquement elle s'amuse à faire monter ma sève à un point de non retour en me branlant, je pousse un gémissement presque plaintif tellement c'est bon !

Giulia pousse elle aussi des petits bruitages les joues bien remplies par mon sexe au bord de la rupture. Elle me pompe avec envie, je commence à avoir de gros fourmillements dans mon membre et le sperme est en train de prendre le chemin vers la sortie.

  • Aaaaahhhhmmmmmmm putain Giu !

Elle m'adresse un beau sourire en faisant pointer sa langue sur mon champignon bombé, je vibre tout entier en resserrant mes mains sur le repose tête ayant que ça pour m'agripper. La langue de la petite italienne est tapissée de mon sperme blanc, elle poursuit ses baisers et coups de langue sur mon sexe afin de tout récupéré puis elle avale fièrement.

  • Je t'aime murmure t-elle en m'embrassant. Tu sais que j'ai envie de toi là tout de suite mais vu que tu viens de jouir il va bien falloir que je te remette en condition !

Giulia reste assise sur mes cuisses en plantant ses yeux dans les miens tout en retirant son débardeur. Je reste admiratif à contempler sa silhouette flatteuse. Provocatrice, elle descend ses mains sur sa poitrine pour la caresser avec une grande tendresse. J'observe comment elle fait pour se caresser afin de m'en resservir plus tard dès que j'en aurai l'occasion. Sa petite main passe sous son bonnet pour pétrir son sein du bout des doigts, l'entrebâillement de son soutien-gorge m'offre la vue quasi complète sur son autre sein.

  • Hummm chéri j'ai les tétons tout durs c'est très plaisant toutes ces caresses que je me donne ! J'imagine que c'est tes mains dessus ou ta petite langue, hummmmmmmm ffff fffffffff j'adore ! Tu sais que de t'avoir fait giclé mon coeur ça ma rendue vraiment très mouillée plus bas ... J'adore faire l'amour avec toi c'est débordant de sensualité ! Aucun regret d'avoir attendu.

  • Hum Giulia tu es magnifique, un vrai petit canon ma puce. Moi aussi je t'aime hum continues de te toucher ça me plait grave ! Oserais-tu retirer ton soutif ma chérie ? J'ai envie d'admirer ta poitrine...

Giu regarde autour de nous pour être sûre de ne pas être remarquée puis elle passe ses mains dans son dos pour dégrafer sa lingerie qu'elle s'amuse à me balancer au visage. Je la dégage en secouant la tête en poussant un ''grrrr '' un peu sauvage ce qui la fait sourire et même rire.

  • Je ne te brusque pas trop en t'attachant ? Me demande t-elle à l'écoute, c'est la première fois qu'elle me le fait.

  • Ben non écoute, ça me fait kiffer. C'est très émoustillant d'être ligoté et j'ai confiance en toi Giu je sais que ce n'est qu'un jeu.

  • Tant mieux, je préfère être sûre que tu sois bien consentant car tu es quand même plutôt timide je n'ai pas envie de griller des étapes ou même franchir tes limites.

  • Bébé, franchement continue tu es en train de m'exciter.

Giulia se soulève pour rapprocher ses seins de mon visage. Doucement je pose ma bouche dessus pour embrasser en premier leur volume ferme. Elle se met à haleter alors que je ne fais pas grand chose pour le moment puis quelques minutes après mes baisers sont plus endiablés je fais même le tour de ses aréoles bombées avec le bout de ma langue avant de lécher vivement ses tétons durcis naturellement. Ma puce se met à gémir et à remuer son corps contre le mien et moi je bande de nouveau avec encore un petit peu de faiblesse.

Ce que je fais ne la laisse pas insensible bien au contraire, je perçois son excitation durcir au maximum entre mes dents que je ne plante pas. Je libère ses seins puis elle se démmerde pour ôter son legging afin de se retrouver assise en string toujours sur mes genoux. Lorsqu'elle écarte les bords de son string je peux remarquer la présence d'une toison brune et entretenue dans laquelle semble avoir collé sa cyprine. Giulia se cambre en arrière et commence à titiller son clitoris dans un rythme déjà plutôt dynamique, elle pousse des petits bruitages qui me chauffent bien me donnant très envie de me planter en elle. Ses cuisses tremblent et ont du mal à rester grandes ouvertes, elle se doigte aussi avec majeur et annulaire. Sa poitrine s'agite avec les coups de poignets qu'elle donne pour se faire du bien, ça s'entend aux doux clapotements de son intimité.

  • Rrrrr je meurs d'envie de te faire l'amour mon chéri !!!

  • Pourtant j'aimerai encore te regarder t'occuper de toi... Je ne m'en lasse pas.

  • Deux minutes pas plus grogne t-elle essoufflée. Pas plus Ayden, je vais bientôt jouir et je veux que ce soit toi qui me fasse exploser !

Je lui souris en laissant mes yeux bleus la caresser. Giulia descend son autre main pour exercer une pression plus forte par dessus la main qui la masturbe. La petite italienne se caresse la petite étoile avec un doigt libre en tournant dessus, je l'entends gémir complètement perdue dans un plaisir très fort vu les mimiques qu'elle fait.

  • Préservatif Giu, il y en a dans ma saccoche... Dans la petite poche interne... (Elle fait une mine déçue, tout comme moi elle rêverait de me faire l'amour sans barrière mais pour moi c'est trop tôt. Je le ferai lorsque je la connaitrais mieux). Je sais ma puce que tu aimerais me sentir réellement en toi mais je ne suis pas prêt, je suis plus tranquille d'utiliser les capotes.

Giulia me l'installe avec délicatesse sans l'accrocher avec ses grands ongles. Elle m'attrape par le cou avec un bras et se serre de l'autre pour venir saisir ma verge avec sa main pour s'aider à s'empaler dessus. Nous nous embrassons longuement pendant qu'elle coulisse mon attribut en elle, le plus profond possible jusqu'à être assise à califourchon sur ma base. Je suçote ses lèvres à la fin de chaque baiser voir même je passe ma langue pour caresser sa bouche pulpeuse à l'idéal. Giulia m'attrape la nuque pour être plus entreprenante, nous restons dans l'immobilité seuls nos visages peuvent remuer.

La tension sexuelle grimpe en flèche, je ressens quelques petites contractions involontaires de son vagin autour de ma queue. J'entrouvre la bouche pour faire passer ma langue dans la sienne, sa langue rejoint la mienne pour s'enlacer. Ce contact me chauffe un peu puisque j'halète bruyamment et Giulia continue sciemment pour me donner très envie d'elle. Ses caresses sur mon torse font que l'envie de remuer mon bassin me devient insupportable, l'impatience me gagne. De ma voix grave je me sens obligé de la supplier et quelque part dans cette position je suis soumis plus ou moins à elle.

Ma chérie hoche la tête pour me donner le feu vert, je soulève mon bassin pour la pilonner et ma petite femme remue le sien d'avant en arrière et de haut en bas selon ses désirs.

  • Hummm haaaaan ouiii haaaaannnn oui t'es bien planté en moi, je te sens si dur ça fait trop du bien !

  • Hummm oui vas-y rebondis c'est trop bien ma chérie... Haaan putain tu m'excites quand tu avances ton bassin comme ça, dommage que je ne puisse pas poser mes mains sur tes fesses pour donner le rythme. T'es sublime !

Giulia s'essouffle en se faisant du bien sur mon sexe, je gonfle mon pubis vers le haut pour l'émoustiller encore plus pour étaler sa mouille sur son clitoris et le masser à chaque mouvement que l'on fait.

Elle m'enlace le cou et rive ses yeux dans le fond de mes iris. Il n'y a que nos regards qui s'enflamment, on ne se quitte pas des yeux. Sa bouche se pince par moment et elle m'adresse ses gémissements à chaque balayement de mes hanches. J'avance ma tête pour l'embrasser avant de replonger mes yeux dans les siens, cela rend l'acte encore plus beau. J'aime la regarder lorsque l'on fait l'amour. Giulia se cambre d'une certaine façon qui amplifie toutes mes sensations.

  • Haaaaaan ma puce, haaaaaaaa punaise c'est tellement bon et sensuel tout ce que l'on fait je suis très très excité. Haaaaan mmmmm oui.

  • Ayden, j'en peux plus... Tu me fais un effet pas possible quand tu râles de plaisir ! J'ai le minou en feu, tu m'as terriblement bien stimulée... Haaaa ouiii chériii encore ! Ouiiii encore ! Ne t'arrêtes surtout pas !

  • Qu'est-ce que j'aime te faire l'amour.... Fffff j'ai le souffle court, mon coeur va exploser ma chérie.

Giulia a toujours les bras autour de mon cou mais elle se penche en arrière. Je la sens bouleversée de plaisir, elle ne sait plus où donner de la tête et me laisse quasiment mener la danse.

  • Giu, ne lâche rien bébé. Fais moi l'amour je vais bientôt déclarer forfait ! J'ai encore un peu de forces pour t'offrir le bouquet final !

  • Montres moi ce dont tu es capable ! Je veux un magnifique feu d'artifice ! Haaaan ouiiiiiii encore ouiiiiii ohhhhhhh haaaaaaaaaaaaaaaaaan j'adore j'adore ! Oh hihihihi vas-y un peu plus sauvage j'adore t'es trop bon Ayden !!!! Ohhhhhhhhhhhhhhh Ayden !!!!!!!!!!!! Haaaaaaaaaaaaaaaaaaa !

Giulia enchaîne les cris et les gémissements, mon sexe fait de grands va et vient secs au fond de son intimité. Je pousse moi aussi des râles puissants complétement tétanisé de plaisir. Mon corps tout entier se raidit, je n'arrive plus à bouger à part mon sexe dans le préservatif qui s'agite pour cracher mon sperme durant mon orgasme à l'unisson avec ma petite femme dont le vagin se contracte autour de ma hampe.

La belle italienne pousse un grand soupir presque de soulagement et elle prend soin de me détacher avec délicatesse pour ne pas me faire mal. Je pousse un petit rire nerveux en lui précisant que c'était trop bien de la prendre dans la voiture. Avec précaution j'enlève mon préservatif pour ne pas tâcher le siège.

Nous retrouvons une tenue plus décente pour prendre le chemin du retour. Lorsque je gare la voiture de mes parents dans la cour, je retrouve tout l'énervement que j'avais emmagaziné juste après le rendez-vous avec le lieutenant Thorel.

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