Chapitre 194

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Le sommeil est impossible à trouver, je change de position à intervalles réguliers mais aucune ne me convient pour l'instant. J'ai quelques bouffées de chaleur et le boxer qui se soulève formant un beau chapiteau, cette excitation ne parvient pas à redescendre et elle est d'autant plus embarrassante d'avoir été causée par le sexe en érection d'un autre mec. Les flash comblent ma vision dans l'obscurité je revois parfaitement les gestes d'Ilan qui faisait coulisser sa main sur son engin dont le champignon perlait de liquide séminal. Mais aussi le magnifique corps de Naëlyne qui au passage est très bien foutue, un beau minou idéal à caresser, de beaux seins à longer et une taille fine un peu plus large au niveau de ses hanches féminines, un cul de rêves ! Elle a tout pour elle cette femme. Je pousse un profond soupir espérant faire disparaite mes rêveries mais cela entraine les battements de mon coeur à s'intensifier, je me retrouve presque à haleter pour reprendre mon oxygène. Des picotements titillent mon gland et la chaleur de mes testicules s'intensifie les faisant remonter. Je lutte pour ne pas poser les mains sur mon corps mais l'envie de me branler y est. Mon impatience gagne du terrain mes doigts effleurent sensuellement le centre de mon torse en passant à travers mes poils bruns jusqu'à mon nombril. Je resserre les dents en basculant la tête en arrière sentant l'envie grimper crescendo. Je cajole le tour de mes tétons, des sursauts soulèvent mon dos d'une façon très saccadée et mes jambes s'ouvrent naturellement. Ils durcissent tout comme mon souffle qui se raccourcit faisant surélever mes pectoraux d'une manière désordonnée. Jamais mon corps n'a autant pris le dessus en si peu de temps, des signaux électrisent toute ma zone intime allant jusqu'à m'envoyer des spasmes. Mon humidité est flagrante, le tissu de mon boxer vient même à m'émoustiller lorsque je me tourne sur le côté gauche avant de me repositionner sur le dos. Et si jamais j'étais en train de devenir pédé ? Je ne veux pas croire ça et pourtant c'est à la queue d'Ilan que je pense depuis que je suis rentré à la maison et c'est cette merveilleuse queue qui m'appelle à l'aide. Je tremble en passant ma main à l'intérieur de la cuisse, puis la seconde qui remonte de l'autre côté. Vraiment ça me taquine beaucoup ces petits passages et ses pensées cachées. L'attribut d'Ilan est toujours dressé et trempé comme ce que j'ai vu dans l'après-midi, cela me donne envie de me caresser en même temps que lui. Je me mets à fantasmer sur ces images érotiques et ma main commence à perdre de l'altitude je pousse un râle lorsqu'elle glisse sur le dessus de ma verge avant de masser mes testicules. Mon autre main applique un geste appuyé sur ma hampe à travers le tissu de mon boxer, mon bas ventre reçoit de fortes sensations à ce moment là ce qui me fait lâcher un gémissement rauque. Lorsque je baisse mon boxer, mes mains collent déjà beaucoup et celui-ci est innondé de mon liquide séminal, l'état dans lequel je me trouve est second. Je pose mon ordinateur dans le lit et un casque audio sur mes oreilles pour accompagner mon plaisir solitaire par quelques vidéos pornographiques. Je me paluche lentement les yeux rivés sur l'écran de mon pc où deux magnifiques blondes aux gros seins s'embrassent avec passion avant de se mettre en soixante-neuf pour se brouter le gazon. Je les encourage par des chuchotements en coulissant ma main un peu plus rapidement le long de ma tige ce qui fait entrer et sortir mon gland à multiples reprises. Des hommes semblent les applaudir et être spectateurs de ces deux créatures de branlette, puis ils interviennent en se plaçant dans le cadre pour s'embrasser tout en laissant leurs mains découvrir leur corps ce qui attire mon attention, ce n'est plus la verge de ces messieurs que je visualise en gros plan mais celle d'Ilan. J'essaye de caler mes mouvements sur le rythme de ceux qu'il exerce sur son attribut. Mon attribut est fièrement tendu, je crois que je ne l'avais jamais remarqué aussi imposant, bien gonflé avec les veines qui sont plutôt très apparentes ce soir. Mon gland brille et je vois des gouttes apparaitre lorsque mon pouce vient le frictionner pendant quelques secondes puis je recommence les coulissements. Mon ventre se contracte jusqu'à aspirer mon nombril, je souffle bruyamment en agitant ma verge de haut en bas tout en me massant les valseuses. Les deux hommes sont en train de se pomper à tour de rôle rigolant de bon coeur, leurs gestes sont très précis et celui qui est allongé se laisse doigter l'anus. Mes poils bruns sont hisurtes et bien dressés sur tout mon corps, que de frissons tout ça. Je me penche vers ma table de nuit pour sortir mon tube de lubrifiant et fais couler une grosse quantité sur ma queue bien droite que je branle sur toute sa longueur. Je m'installe à genoux après avoir récupérer mon masturbateur masculin et tendrement je le cale contre ma montagne d'oreillers que j'imagine être le derrière d'un homme. Mes cuisses tremblent, j'oriente mon pénis tout près de l'entrée du masturbateur et d'un petit coup de rein j'entre dans son fourreau étroit en enclenchant la vitesse de va et vient. Je sens ma verge se comprimer à l'intérieur et un bien-être très intense dans tout mon sexe. Je m'imagine en train de baiser un beau mâle bien monté et qu'après ce sera mon tour. Je bascule mes hanches d'avant en arrière pour le pilonner en me tenant bien droit, les doigts s'enfonçant dans le tissu moelleux des oreillers comme si c'était dans les hanches de mon partenaire. Mon corps est secoué par des spasmes, j'accélère nettement mes mouvements et commence à dégouliner de transpiration.

  • Haaaaannnnnn bordel ! Mais qu'est-ce que c'est bon ça ! Hum oui !!!!!! (Je pousse un cri bestial). Hum oui c'est bon ça ! D'être dans ton cul ! Haaaan putain ça presse ma bite ! Hummmmm vas-y remues ton petit cul !!!

Mes pectoraux se soulèvent et je fais des ondulations super sensuelles avec un mouvement contrôlé qui se veut plus sec à la fin de chaque tempo. Mon bas ventre reçoit de grosses décharges de plaisir, j'ai même l'impression que mes couilles sont encore en train de grossir et la chaleur de mon liquide séminal combinée au lubrifiant est juste terrible et excitante surtout lorsque mon gland s'écrase dans le fond de mon jouet. Mes fesses se contractent à chaque impulsion et mes doigts serrent fortement les oreillers, je m'entends m'essouffler et je sens que mon sperme circule à l'intérieur de mon attribut. Je croise les bras derrière la tête en fermant les yeux afin de mieux ressentir les mouvements du masturbateur sur mon engin, celui-ci agite mes jumelles et c'est la verge d'Ilan qui revient combler ma vision. Je m'imagine être pris par cet homme plus mature que moi et que cela me procure de l'extase. Les petits fourmillements sur l'extrémité de mon sexe m'amène tout proche de l'éjaculation, bien que je sois concentré, je sais que je ne pourrai pas tenir sur du long terme. Mon coeur palpite, j'intensifie mes gestes allant le plus en profondeur possible les cuisses bien ouvertes. Mon plaisir est soudain et aigü à la racine de ma verge je la vois se redresser encore plus qu'elle ne l'était déjà. Tous mes muscles viennent se contracter et de grands frissons me traversent arcboutant mon corps tout entier poussant des gémissements rauques. Mon attribut s'agite très vivement, je râle en continu en sentant mon gland pousser mon sperme à l'intérieur de mon sextoy. Ce que je ressens c'est un grand soulagement et un état de plénitude, vidé mais heureux. Je me retire la queue pleine de sperme tout comme l'intérieur du fourreau et je viens m'étaler à plat ventre dans mon lit sombrant dans un sommeil profond.

Mon réveil me fait sursauter, je dois me préparer pour recevoir ma petite femme. Je me trouve dans l'inconfort et ma culpabilité se fait proéminente. Je me sens mal d'avoir surpris mes parents en plein extase et surtout de m'être branlé sans avoir pensé une seule seconde à Iléana... Le pire dans tout ça c'est que j'ai pris un pied incroyable en m'imaginant faire des choses avec une autre queue !

Mon regard est fuyant lorsque je croise mes parents dans la cuisine, c'est à peine si je réponds à leur bonjour en prenant place à table avec mon bol de céréales trempées dans du lait. Tous les deux se lancent un regard et demeurent silencieux. C'est très pesant comme atmosphère. Je ne reste pas longtemps en leur présence et me décide de prendre ma douche. Je n'ai pas l'habitude de pleurer mais très vite les larmes me montent aux yeux, l'eau cascade sur mes épaules et camouflent mes sanglots accompagnés de reniflements.

Si Iléana savait ça... Mon dieu j'ai l'impression de la tromper par la pensée. J'ai tellement de chance de l'avoir cette fille et je me permets d'avoir des pensées homosexuelles lorsque je me masturbe. J'ai vraiment honte de moi, de ce que j'ai fait !

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