110 - langoureux baiser d’amour

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Finalement, on se fait vraiment notre plan à 6 mais sous forme de brunch où l’on reste chastes sachant que même à cette heure matinale on a toutes au moins joui une fois aujourd’hui avec nos compagnes respectives, ou autres. On doit donc reprendre des forces.

  • On est comme une famille.
  • Une communauté plutôt.
  • Une secte.
  • Un nouvel Ordre.
  • L’Ordre des Suburbs.
  • Non, il s’agit ici d’un nouveau paradigme.

Bri et Izzy rentrent chez elles. Mischa demande à Victoria de l’aider au jardin pour choisir et goûter des fruits dans la serre, soit-disant. Avec Greta, on en profite pour allaiter Elin, chacune son tour, face à face, on met le bébé entre nous qui a le choix entre quatre possibilité. Vite rassasiée, on la repose dans son berceau pour un gros dodo. Greta ne referme pas son chemisier et me regarde avec intensité :

  • Tu veux goûter au mien ?
  • Le tien est fécond, tomber enceinte n’est plus recommandé de nos jours. Mais toi, tu peux goûter au mien sans risque, si tu veux.
  • Je le veux.

Son petit visage se colle à ma poitrine, elle est très délicate avec sa langue, si soyeuse. Je relève son visage pour y goûter, de mon lait dans sa bouche. Finalement, je me penche et je prends le risque de laisser couler en moi la semence lactée de cette lignée terrienne de la deuxième vague. Elle est sucrée. Je descends encore plus bas, encore plus loin jusqu’à son anatomie de planète 3. Là, elle est salée. Finalement on se mélange entièrement à côté du berceau où Elin dort profondément sans que nos gémissement la réveille. Après une petite sieste, j’accompagne Greta aux toilettes, elle a besoin de se vider le ventre. On passe ensuite sous la douche où on se lave l’une l’autre avec délicatesse avant de se sécher et de s’habiller avant de jouer avec nos cheveux, je lui fais une grosse natte que je soulève pour embrasser sa nuque. Elle semble fondre sur moi dans une plainte de plaisir que j’accompagne de quelques caresses bien placées. Elle exulte de phéromones odorantes, je la ressens comme un bijou de petit bout de femme forte et fragile, sensible et sensuelle. Quand je la renifle, c’est comme si je plongeais mon visage dans un bouquet de roses soyeuses. Je caresse sa joue, elle me regarde avec passion et on s’embrasse dans un langoureux baiser d’amour.

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