Embuscade nocturne

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Je me levais. toujours en ignorant les discutions alentours. je passais près d'un des soldats, et je tentais de lui prendre une grenade. Je faint un désécilibre de fatigue pour créer un contact, pour eviter qu'il sente que sa grenade avait disparue. La pêche a été bonne, je pu en prendre deux en une fois. J'aurais pu retirer la tige métalique au passage, mais m'était trop tôt et j'étais encore trop près. Stuur n'était toujours pas couché, et contunuait de m'observer. Je pouvais le voir tembler de peur. M'avait-il vu voler ? Sait-il mes actions pour ce soir ? Si c'est le cas, pourquoi ne fait-il rien ? Quand j'aurais commencé, il sera trop tard. Ou aller maintenant ? Dans la tente? Ou les bois? Si je je vais dans la tente, et que le lieutenant me tend une embuscade, j'aurais du mal à bouger, et je risquerais de me faire avoir. Dans les bois je pourais fuir à ma convenance. Maintenant, comment m'y prendre ? Il me faut une solution simple et rapide.

Premièrement, il me fallait me débarrasser de la feuille morte. Une fois de plus la tente est la meilleure solution, mais la plus risquée. une seconde serait de me diriger dans les bois, et de defaire mon pentalon juste avant de disparaitre. S'il est poli comme je le pense, il n'osera pas me déranger. à ce moment, je devrais aller vite. et jeter plusieurs grenades rapidement, jusqu'a dans les mondres recoins, mais cette stratégie ne les aura pas tous. Je devrais finir le reste rapidement au pistolet. Je me fixais sur cette idée, et je me dirigeais vers les bois. peu avant d'arriver au buisson, j'effectuais l'action que j'avais pensée, et je disparut de sa vue.

Je sortais de mon dos les objets volés, et j'accrochais l'une d'entre elle à ma ceinture par la tige, et je gardais la seconde dans la main. Je remettais tout en ordre, et au moment où je sortais du buisson, le lieutenant Stuur m'attendais.

" Soldat Donn. Non. Qui es-tu ?

- Félicitation. vous avez enfin eu le courage de me demander Lieutenant " j'étais devenue heureuse sans raison autres que : quelqu'un à vu à travers mon rôle. " Que comptez vous faire ?"

- Rend-toi, et laisse toutes les armes que tu as sur toi au sol. Sinon, je t'abatterais sans sommation " Je lisais la méfiance totale en lui, il n'avais toujours pas d'arme en main. Que pensait-il? que j'allais abandoner juste parce qu'on me l'a demandé ? En réponse, je retirais la tige, et la pierre explosive vola au milieu des Soldats dormant dehors.

"Atention ! " Avait-il crié. Mais avant que sa voix ne puisse porter, la grenade explosa. Et j'envoyais la suivante et une autre au milieu de tous. Les pertes étaient colossales, et je le vit tomber à genoux, impuissant, alors que j'étais à portée de tir. Mon visage s'illuminait, je n'en pouvais plus de jouer le soldat Donn, et voir les gens s'agiter ainsi me plaisais. Je ne le vit pas prendre son arme, et tira une première balle imprecise au niveau du col. Précipitée par le danger direct, je ripostait et lui toucha le bras, l'empechant de tenir son arme. Mes bras étaient douloureux du choc de l'arme, et je tremblais légèrement. Ensuite, je me retournais vers le feu, les soldats commençaient à me mettre en joue. Je leur jeta une nouvelle grenade, déstabilisant leur organisation précipitée, touchant une bonne partie des restants.

Je profitais du chaos naissant pour les charger, très peu étaient capable de garder leur calme, certains fuyaient avant mon arrivée. J'enjambais l'un des corps au sol, et tirais sur la première personne de mon champ de vision. Mes bras m'aimaient toujours pas le choc, et je sentais mon esprit s'embrumer. Un autre essayait de m'atteindre avec son fusil, et je me désinterressais totalement de lui, en sachant qu'il était aussi novice dans le magniment d'armes à feu, j'avais le temps de l'ignorer avant qu'il ne me tire une fois de plus dessus. d'autres essayaient de m'avoir aussi, mais par la panique, au mieux leurs tirs échouaient, au pire le projectile touchait un de leurs alliés.

J'avais fait presque entièrement place nette en quelques instants. le prélevais des ceintures de grenades sur plusieurs personnes à terre, certaines d'entre elles avaient des pistolets chargé, bien que je ne sentais plus mes bras à force d'utiliser le mien. Je jetais les explosifs directement dans chacune des tentes. devant l'une d'entre elle un tir fut effectué à travers la toile et manquait de me toucher. Je m'empressais de lancer l'objet à travers l'ouverture, et Le soldat Firrm me passa devant. Sans lui laisser le temps de reflechir, j'avais saisi une arme et j'avais commencé à tirer avant que la grenade n'explose. Mes coups manquaient de précision, et mon corps entier ne supportais plus les chocs des tirs, et je fini par vomir.

" Alors tu es celle qui à fait ce carnage? " Elle me dominait par son arme prête à l'emploi en ma direction.

" Pourquoi avoir fait ça ? Que t'arrives-t-il ? Dis moi ! " Je n'arrivais plus à parler, par un mélange de nausée et d'essouflement. Je ne suportais pas la situation, et je decidais de braquer à mon tour et tirer. La balle se logea contre son abdomen.

" Alors c'est comme ça. Tu n'es qu'une traitresse."

Pendant qu'elle s'éfondrais, je me relevais avec un regard froid et fatigué. Je ne savais pas qui il restait, ni leur position, ni s'ils s'apprêtaient à me tirer dessus. mon esprit est lourd. Je me tenais dans un champ de carnage, d'un combat unilatéral où j'étais la seule victorieuse. Je me mis à rire, calmement, puis de plus en plus frénétiquement. Je n'étais pas vraiment heureuse, mais j'étais encore vivante. Un tir éclata, et ma jambe me fit défaut. Firrm était l'expeditrice, et me fixait d'un air revanchard. J'étais furieuse et je vidais ce pistolet dans son corps. Je ne regradais plus cette personne, et lui jetais l'objet vide dessus. Du peu de force qu'il me restait je m'assurais que personne ne puisse me tirer dessus. Personne n'était proche et je pensais finir de rammasser des objets au sol.

Un tir persa le calme de la forêt, et m'atteinit à l'épaule. je ne savais pas d'ou il provenais, et cette perspective m'affraya. D'un bref coup d'oeil, je vis que le lieutenant n'était plus là ou je l'avais laissé, et un second tir siffla proche des mes oreilles. je ne pouvais pas rester ici. il me fallait un abri, et trouver qui me joue cette farce. Ma jambe était raide, j'appliquais alors une bulle d'eau pour retirer la peinture, et je pouvais bouger à nouveau, bien qu'un sensation de crampe me prenais. mon premier réflèxe fur de partir dans le bosquet, et y trouver refuge. Malheureusement pour moi, une fois les premiers buissons passés, un soldat me mettais en joue. J'y echappais de peu en me baissant.

Il semblerait que les soldats les plus alertes avaient compris que les bois étaient le meilleur choix pour m'avoir, et ils étaient une bonne dizaine à m'encercler. je ne pus pas échaper à tous les tirs, et j'étais plutot amochée mais pas immobile. Je ne cherchais plus à comprendre, je devais fuire. Le plus vite, le plus loin, et ne jamais revenir en arrière. Je bondiçais dans un arbre ma mon corps ne tenait plus l'equilibre, et je chuta. Un soldat m'attendait au sol, et bien que surpris, sa réponse fut breve, il me plaça un coup de poing dans les côtes, et je volais. Il était revenu à mon niveau et m'attrapa par les cheveux, puis il frappa. Une fois, deux fois, trois fois. Je n'arrivais plus a respirer, mais j'avais assez de force pour lacher une grenade. Il ne vit pas que je n'avais pas retiré la tige et parti loin de moi,me laissant le temps de créer une bulle d'eau, lavant toutes les plaies de peinture. Mon corps entier me faisait mal, mais je ne paniquais pas. Je reprit un peu mon souffle et je m'enfonçais dans les bois, titubante.

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