Le premier combat

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Petite note : les dialogues en italique indiquent que les personnages ne parlent pas dans ma meme langue, mais que le protagoniste comprend quand même la langue

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Je courais. Je n'avais que ça à faire pour le reste de la journée, courrir. Pour rejoindre le front des ennemis, il y avait encore environ 80 km, et on m'y envoie à pied, sans resources, donc trouver des ennemis sur mon chemin m'était devenue une obligation, pour au moins leur voler des rations. Mais je ne pouvais pas simplement aller au plus vite, car aller trop vite signifiait s'éppuiser, tout comme je ne pouvais pas y aller doucement, car je n'ai pas la possibilité de me ravitailler. Je n'ai plus d'eau non plus, seulement des armes et un attirail complexe. Cependant cette etrange machine m'était bien utile, je pouvais me propulser un instant pour accelerer sans me fatiguer, malgrès sa difficulté à la controler, cela me permettais ne pas m'arreter.

Le décort ne changeait pas réellement, entre des grands plateaux vides et des bosquets fournis, la route n'était pas linéaire, et je me doutais presque que je n'aurais pas que 80km à faire en la suivant, à cause le la vitesse et de la diffuculté de changer de direction avec l'appareil, je n'avais pas le temps de regarder la paysage montagneux, les seules bribes je voyais semblaient magnifiques, des terrains vallonés à perte de vue, et presque aucune structure humaine visible. Sur la route, parfois le tracé tournait abruptement dan sle vide, et élancée je ne pouvais éviter la chute. J'avais sentie qu'une personne commençait à déscendre en piquet dans ces moments, mais une fois au sol, je repartais immediatement, et cette personne remontait instantanement

Le soleil arrivait à son zeénit, la chaleur du printemps devenait progressivement insupportable, avec la boite dans le dos et contre mon ventre qui chauffait de plus en plus. Mais je ne pouvais toujours pas m'arreter, qu'importe que mes jambes soient douloureuses, qu'importe que je crie famine, qu'importe l'essoufflement grandissant, je ne devais pas m'arreter. Je ne savais même pas où j'étais, et combien de temps il me faudrait encore pour relier mon chemin jusqu'au prochin être humain. Le temps passait, mon energie commençait à sévèrement s'estomper, et c'était un peu avant le coucher du soleil que je croisais mon premier groupe. Leurs habits étaient vert gris, et le courrais en leur direction.

Me voyant arriver, ils ne comprenaient pas, ce qu'il se passait. les plus réactifs d'entre eux avaient plongés dans le bois proche sur ma droite, suivit de tous les autres paniqués. Des humains, j'avais réussi ! Que faire ? Ma première réaction fut de jeter un grenade au groupe, et de me mettre derrière un arbre. Je n'entendais pas la grenade exploser, mais je sentais que plusieurs d'entre eux avaient plongés. des téméraires foncèrent alors sur moi, tentant de me prendre en tenaille. Je ne fit qu'un bond, et il était suffisant pour échapper à leur vigilance. J'étais cachée dans les arbres, c'était ma première pause depuis le matin, et ma respiration ce mit à accelerer de plus en plus, j'avais peur qu'elle ne me trahisse, et je couvrait ma bouche avec ma main pour reduire le bruit. J'avais envie de vomir de fatigue et de stress. Mon corps, de mes jambes à mon esprit commençait à me lâcher, j'étais incapable de bouger de ma branche, et je decidais de récupérer un peu

Je les ecoutaient bourdonner sous mon corps, me cherchant pour me capturer, et ne me voyant plus dans leurs périmètre, il avaient commencés à se regrouper et discuter. Ils parlaient la langue du Nord, ma langue natale, et je les écoutais sans les regarder

"Purée, je sais pas qu c'était mais ce type m'a foutu la frousse!

- Ce type est aussi un peu débile, regardez. il à lancé une grenade, mais il a pas pensé à la dégoupiller.

- En nous voyant il a dû paniquer et n'y a pas pensé !

- Non, ne dites pas que cette personne est débile. Cette personne est folle.

- Je confirme mon lieutenent ! Venir s'attaquer à nous seul c'était de la follie !

- Non. ce n'est pas dans ce sens que je parle de follie. On nous à bien dit qu'a vol d'oiseau les deux bases sont à 100km l'une de l'autre? Depuis hier, notre groupe à fait seulement 20 km, en raison du dénivelé important et de certains d'entre nous n'étant pas habitués à ce genre de marches, et on a fait 20km uniquement sur la route, a vol d'oiseau on est seulement à 15km de la base, à cause le la courbure de la voie. ce qui veut dire plusieurs choses, la moins probable est que les distances sur la carte sont fausses, et on à fait très peu de chemin. Soit une partie de la carte est juste et la zone au centre n'existe pas, et nous sommes déjà proche de la zone de front." je l'entendais tourner en rond "La dernière possibilité, est que depuis hier après midi, La personne à couru toute la distance totale jusqu'ici" de loin je les entendais discuter avec plein d'éttonnement.

" Je viens de calculer, c'est une distance d'environ 130km, sans prendre en compte le dénivellé en se fiant à la carte." Plus un seul bruit ne se fit entendre, ma respiration revenait à la normale, mais mon corps ne faisait plus que de trembler de douleur, l'un d'entre eux commençaient à rire nerveusement.

"C'est une blague, n'est-ce pas mon lieutenant?

- J'ai du mal a y croire aussi, haha... contactez le QG et exposez leurs les fait, je ne comprend plus rien."

Alors qu'ils avaient commencé à faire leur appel, je m'étais redressée sur la branche. Que faire actuelement? ma main se posa naturellement sur une grenade, et je la prit en main. Ayant le temps, je la regardais en détail, une tige métalique avec un anneau se trouvait au milieu. Je la retira, et a ce moment mon instinct me la fit jeter au pein milieu de leur regrouppement. Très peu réagirent, l'explosion emporta une grande partie de la vintaine de personne présentes. J'avais mis un grand coup de pied dans la fourmilière, et toutes les fourmies restantes me cherchaient activement. je pris le fusil, et tenta de tirer avec. J'avais bien pressé le petit bout de metal en bas mais rien ne sortait. en les observant je vit comment faire. j'avais besoin de ces balles, j'avais quelques une dans ma ceinture, et j'en sortais une. J'ouvrais l'encoche, la mit à l'interrieur et referma l'encoche. Je me préparait à tirer, je m'allignais avec ma cible, et je recommençais. Mon corps entier résona. et sans m'en rendre compte, j'étais descendue de l'arbre, le dos au sol.

Tous furent attirés par le son, et commençaient à rejoindre ma position, je suppose que mon fusil ne peut tirer qu'une seule fois avec une balle, je m'en débarasse donc, pour me battre avec quoi? j'ai trop peur que le pistolet te tire pas sans les même balles, me laissant les grenades et le couteau. D'un coté, je n'ai pas vraiment besoin de les affronter, mon but premier est de récupérer de quoi manger et boire. je n'avais pas le temps de penser, il étaient déjà là. Je saisissais le couteau et je fonçais sur le premier venu. un premier coup franc suffit pour le mettre à terre et se rouler en boule. l'entaille ne semblait pas le faire saigner, mais le couteau semble enduit d'une drole de peinture. Un second arriva et tira sans viser. Sans hésiter je le chargeais. Derière un autre avait tiré mais m'avais touché à l'épaule. C'est vraiment douloureux ! On dirait qu'on m'a mis du sel sur une plaie ! Le Second avait eu le temps de l'échapper. Paniquée, j'agrippais une grenade au hazard, le retirait le petit morceau de mela et une fois de plus je la jetais vers celui qui venait de me tirer dessus, et elle explosa dans un grand flash lumineux. Le temps qu'il retrouve la vue, j'avais pris l'arme du premier et l'avait braquée contre lui et lui tira dessus. Il tomba raide au sol. Je recupèra ensuite son arme chargée, et je tirais sur un suivant, qui avait visiblement chargé son pistolet. je lui prit une fois à terre, sous une pluie de balle. J'avais chargé ensuite le tas de sacs, j'en prennais un et je pris une seconde balle dans la jambe. Je serrais les dents et je continuais mon chemin, avant de m'ecrouler au sol. Sans réfléchir lje me retournais et je tirais presque au hazard sur les quelques uns encore debout, touchant trois personnes avec le total de balles compris dedans.

Il ne restait plus grand monde, certaienment quatre ou cinq personnes, Je m'étais retranchée derrière les sacs empilés, et je ne bougeais plus. Je les sentais avancer prudament, Je me concentrais pour savoir leur positions, il n'y avais que quatre personnes debout, une cinquieme ne bougeais pas, mais je sentais qu'elle écrivais. un observateur certainement. Les autres arrivaient vers la pile de sacs, j'attrapais la dernière grenade qui me restait, et je retirais la tige, et je la conserva betement dans la main, avant de me dire que c'était dangereux, et de la jeter derrière moi. l'explosion emporta les derniers ennemis, à mon grand bonheur.

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