Karine aimait être soumise à Olivier, mais surtout Karine aimait que Sophie soit soumise à Olivier.

Et, le temps avançant, au fil des jeu, Sophie aimant follement Karine et Olivier, elle avait elle aussi aimé se soumettre à lui.

La suite s’était déroulée dans des clubs plus spécialisés. Des lieux où l’on pouvait trouver des croix de Saint-André, des poulies aux plafonds, des chaines, des piloris, des menottes…

Des lieux où l’on entendait autant les soupirs ravis, les cris d’extases, que les coups de cravaches où de martinets.

Olivier, ou plutôt Maitre Olivier, tel qu’il aimait que Karine et Sophie le nomme. Maitre Olivier donc, ne prenait pas plaisir à infliger de la douleur à ses soumises, ni même à les voir se faire torturer. Il aimait juste l’ambiance de ces lieux.

Il aimait par contre y voir l’une ou l’autre, ou parfois les deux, offertes en cadeau à certains hommes, ou à certaines femmes.

Il aimait voir Sophie se faire prendre par deux hommes alors qu’elle donnait du plaisir à Karine.

Il aimait voir Karine et Sophie donner ensemble du plaisir à plusieurs hommes, agenouillées à leurs pieds.

Mais il aimait par-dessus tout savoir qu’elles le faisaient pour lui.

Et si parfois, par jeu, il ne se disais pas satisfait, il aimait offrir celle qui l’avait déçu à la fessée. Avec ou sans instruments, mais toujours en public.

Au fil du temps, la soumission de Sophie était devenue plus qu’un plaisir pour elle, c’était devenu un besoin. Olivier, et avec lui Karine, étaient d’abord devenus les organisateurs de ses plaisirs, puis de son quotidien.

Olivier décidait de ses tenues pour sortir, souvent très sexy, voire carrément sexe. Olivier refusait qu’elle porte une culotte, dans leurs jeux, puis au travail. Olivier avait peu à peu banni les pantalons de sa garde-robe.

Jusqu’au jour où il y eu cette annonce dans le journal local :

Peintre amateur recherche modèle pour portrait et nus. Ecrire au journal qui transmettra.

Maitre Olivier avait écrit au journal, et Karine avait était au casting du peintre.