CHAPITRE 7 : MURMURES D’UN PASSÉ BRISÉ

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La pluie tombe doucement sur Suzhou, traçant des sillons sur les fenêtres du lycée. Chaque goutte semble porter un fragment d’un murmure, une vérité chuchotée que le vent emporte avant qu’elle ne soit entendue. Dans l’intimité des pensées des personnages, les non-dits résonnent comme des échos. Les ombres qui se sont tissées jusque-là commencent à s’épaissir, menaçant d’éclater dans la lumière crue de la révélation.

Deng Shen : Un cœur en guerre

Deng Shen est assise seule dans une salle d’art vide, son carnet ouvert devant elle. Mais aujourd’hui, ses mains restent immobiles, incapables de donner vie à ses pensées tourmentées. Elle fixe la page blanche, ses propres murmures intérieurs devenant de plus en plus insistants.

« Pourquoi ai-je laissé cela m’envahir ? Pourquoi mes sentiments se sont-ils transformés en poison ? » se demande-t-elle en silence.

Elle repense à cet instant précis où elle a pris sa décision irréversible. Ce moment où la jalousie et la colère ont noyé son jugement. Chaque fois qu’elle pense à Yang Li, une vague de culpabilité la traverse, mais elle est rapidement étouffée par une peur plus grande : « S’il venait à découvrir la vérité, que resterait-il de moi ? »

Alors que la pluie tambourine doucement sur le toit, Deng Shen murmure, presque inaudible : « Si seulement je pouvais revenir en arrière… »

Yang Li : Les éclats d’une amitié

De son côté, Yang Li marche dans la cour du lycée, la pluie glissant sur ses cheveux et ses vêtements. Il tient son carnet dans une main, mais ses pensées sont ailleurs. Il repense aux dernières conversations qu’il a eues avec Deng Shen, à la distance qui semble s’être creusée entre eux.

« Pourquoi ai-je l’impression qu’elle me cache quelque chose ? » s’interroge-t-il. Mais malgré ses doutes, il ne peut nier la tendresse qu’il ressent pour elle, une amitié profonde qu’il valorise plus que tout.

Il s’arrête sous un arbre, feuilletant les pages de son carnet, où il a tenté de capturer ses pensées confuses. Une phrase attire son attention, écrite la veille : « Les silences que nous portons peuvent devenir des murs, ou des ponts, selon ce que nous choisissons d’en faire. »

Yang Li soupire, levant les yeux vers le ciel. « Peut-être que je dois briser ce silence. Mais est-ce que j’en ai le courage ? »


Huang Lei : Une scène au-delà des rires

Pendant ce temps, Huang Lei observe ses camarades depuis la fenêtre d’une salle vide. Les gouttes de pluie déforment les images devant lui, créant un kaléidoscope d’émotions qu’il ne parvient pas à nommer. Derrière son masque de sourire habituel, il sent une tristesse qu’il ne peut plus ignorer.

« Pourquoi est-ce que je ressens tout ça ? » murmure-t-il pour lui-même. Mais en lui, il sait la réponse : il est fatigué d’être celui qui porte la légèreté des autres sans jamais pouvoir poser ses propres fardeaux.

Un professeur entre dans la salle, surprenant Huang Lei dans ses pensées. « Lei, tout va bien ? »

Huang Lei se redresse rapidement, son sourire réapparaissant comme une armure. « Oui, tout va bien. Juste… un peu perdu dans mes pensées. »

Mais même en disant ces mots, il sent qu’il ne peut plus continuer à jouer ce rôle indéfiniment.

Chen Bo : Le poids du silence

Dans un coin du gymnase, Chen Bo s’entraîne seul, le bruit des ballons rebondissant contre le sol se mêlant à celui de la pluie. Mais malgré l’intensité de ses mouvements, il ne parvient pas à chasser l’agitation qui gronde en lui.

Il s’arrête un instant, essuyant la sueur de son front. « Pourquoi est-ce que je ressens ce vide, même quand je réussis ? »se demande-t-il.

Sun Jie, passant près du gymnase, l’aperçoit et entre. « Bo, tu es encore ici ? Tu sais qu’il pleut, non ? »

Chen Bo esquisse un sourire fatigué. « La pluie n’a jamais arrêté personne, non ? »

Sun Jie s’assoit sur un banc, le regard sérieux. « Peut-être, mais parfois, tu n’as pas besoin de courir sous la pluie. Parfois, tu peux juste l’écouter. »

Ces paroles frappent Chen Bo, qui reste silencieux. Pour la première fois, il se demande si son obsession pour le basket est une passion ou une fuite.


La pluie continue de tomber, couvrant le lycée d’un voile mélancolique. Les murmures du passé, les non-dits et les regrets commencent à s’entrelacer dans l’esprit de chaque personnage, construisant une tension qui ne demande qu’à éclater. Les fragments brisés de leurs émotions s’accumulent, dessinant les contours d’une vérité qui ne peut plus être ignorée.

La pluie continue de tomber sur Suzhou, transformant la ville en une symphonie liquide, un murmure constant qui semble refléter les tourments des personnages. Dans cette atmosphère, un souvenir refait surface chez Deng Shen, un instant où tout aurait pu basculer différemment, mais où elle avait choisi l’irréversible.

FLASHBACK:

L’occasion fatidique

Deng Shen se souvient de cette soirée où elle avait eu l’occasion parfaite pour passer à l’acte. C’était lors d’un petit événement organisé par le club de littérature au lycée, un moment où chacun avait apporté de quoi manger ou boire pour partager avec les autres. Les rires emplissaient la salle, les discussions réchauffaient l’atmosphère, mais Deng Shen, bien que présente physiquement, sentait son esprit ailleurs, happé par une ombre grandissante.

Yang Li, comme toujours, était au centre de l’attention. Il avait captivé son public avec un poème qu’il venait d’écrire, une ode à l’éphémère et à la beauté des instants partagés. Chaque mot qu’il prononçait était comme une lame qui s’enfonçait doucement dans le cœur de Deng Shen, réveillant cette jalousie qu’elle essayait de contenir depuis trop longtemps.

Elle s’était retrouvée seule près de la table où étaient disposées les boissons, son regard fixant la tasse que Yang Li avait utilisée pour son thé. C’était un simple geste, un moment où personne ne la regardait, qui avait tout changé. Tremblante mais résolue, elle avait ajouté une petite dose d’un poison qu’elle avait récupéré dans une pharmacie, un produit discret, presque inoffensif à faible dose, mais qui, combiné avec d’autres éléments, pouvait provoquer un effet insidieux.

L’hésitation

Pourtant, au moment précis où elle posait la tasse à sa place, elle avait ressenti un frisson glacial. Sa main était restée un instant immobile, son esprit tiraillé entre deux forces opposées. Une part d’elle savait que cet acte la poursuivrait à jamais, mais une autre, submergée par des mois de jalousie et de colère, murmurait que c’était la seule manière de retrouver une paix intérieure.

Elle se souvenait des mots qu’elle avait murmurés à ce moment-là, comme une prière inversée : « Ce n’est pas un adieu… C’est un choix que je fais pour me libérer. »

Et puis, Yang Li était revenu, son sourire toujours aussi désarmant. « Merci, Shen, » lui avait-il dit avec cette chaleur qui le caractérisait. Il avait pris la tasse sans aucune méfiance, portant le liquide à ses lèvres comme il l’avait fait tant de fois auparavant.

Le poids de l’instant

Mais cet instant qui aurait dû lui apporter une satisfaction froide ne lui avait laissé qu’un vide plus grand encore. Alors que Yang Li reprenait sa place et continuait à discuter avec les autres, Deng Shen était restée figée, le bruit environnant se transformant en un bourdonnement lointain.

Elle se souvenait avoir quitté la salle peu de temps après, incapable de rester dans cette atmosphère. Sous la pluie qui s’était abattue ce soir-là, elle avait marché sans but, ses pensées en boucle : « Et si ? Et si je pouvais tout changer ? »

Mais elle savait que ce qui était fait ne pouvait être défait.



La pluie continue de battre les toits du lycée et les rues de Suzhou, une toile sonore qui semble amplifier les tourments des âmes qui s’y trouvent. Tandis que Deng Shen demeure prisonnière de ses souvenirs et de sa culpabilité, les autres personnages, sans connaître la vérité, ressentent inconsciemment les échos de cette fracture. Ce chapitre devient une danse silencieuse de doutes, d’émotions et de mystères.


Yang Li : Les premiers signes

Assis à une table, dans un coin de la bibliothèque du lycée, Yang Li ressent une étrange fatigue. Depuis quelques jours, une faiblesse insidieuse semble ralentir ses pas et embrouiller ses pensées. Ce n’est rien de concret, juste une sensation d’épuisement qu’il ne parvient pas à expliquer. Il repense à cette soirée du club de littérature, aux rires et à la chaleur qui remplissaient la salle. Tout semblait si parfait, pourtant quelque chose de cette soirée le laisse perplexe, comme un détail qu’il aurait manqué.

Il pose son stylo, s’appuyant contre le dossier de la chaise. « Pourquoi est-ce que je me sens aussi... vidé ? Est-ce la fatigue des révisions ou quelque chose de plus profond ? »

Sa main se porte instinctivement à son carnet, où il griffonne une phrase qui traduit son état intérieur :
« Comme une fleur sous la pluie, je tiens, mais à quel prix ? »

Yang Li ne sait pas encore que ce qu’il ressent est le résultat des actions de Deng Shen, que l’insidieuse substance qu’il a ingérée commence à affecter son corps sans qu’il n’en comprenne la cause.


Chen Bo : Les liens invisibles

Dans le gymnase, où la pluie tambourine légèrement contre les fenêtres, Chen Bo s’entraîne seul une fois de plus. Ses tirs, d’habitude si précis, manquent aujourd’hui leur cible. Son esprit est ailleurs, hanté par un sentiment qu’il ne parvient pas à identifier.

Il se rappelle les moments passés avec Yang Li et Deng Shen, les éclats de rire partagés, les discussions légères entre deux cours. Mais récemment, il a remarqué une tension étrange entre eux. « Est-ce que quelque chose s’est brisé, sans qu’on le voie ? »se demande-t-il en s’appuyant contre le mur, le ballon de basket roulant doucement à ses pieds.

Dans le silence du gymnase, une pensée lui traverse l’esprit, à la fois simple et profonde : « Les liens qu’on croit solides sont parfois les plus fragiles. »



Li Mei : L’intuition d’un cœur attentif

Li Mei, de son côté, observe Yang Li de loin, dans la bibliothèque. Elle note son air fatigué, sa concentration moins vive qu’à l’accoutumée. Bien qu’elle n’ose pas lui parler directement, une inquiétude naît en elle.

Elle ouvre son carnet et commence à écrire, comme pour traduire ce qu’elle ressent :
« Les âmes fortes vacillent aussi, mais elles ne le montrent jamais. Les plus beaux sourires sont souvent ceux qui cachent une douleur silencieuse.»

Li Mei est troublée par ses propres mots. Elle n’a pas de preuves, mais son instinct lui dit que quelque chose ne va pas, quelque chose qui dépasse la simple fatigue d’un élève studieux.



Deng Shen : Le poids du regret

Deng Shen est de retour dans la salle d’art vide, seule face à son carnet. Le souvenir de cette soirée, du poison qu’elle avait versé dans la tasse de Yang Li, la hante plus intensément que jamais. Elle ferme les yeux, essayant de chasser les images, mais elles reviennent avec une clarté déchirante.

« Est-ce que je vais devoir porter ce fardeau pour le reste de ma vie ? » pense-t-elle, le cœur lourd. Pour la première fois, elle se demande si son acte n’a pas détruit plus qu’elle ne le pensait, si ce n’est pas elle-même qu’elle a empoisonnée en premier.

Elle griffonne sur une page blanche, presque inconsciemment :
« La jalousie est une épine qui pousse dans le cœur, mais c’est le cœur lui-même qu’elle déchire en premier. »

Ces mots restent devant elle, un écho de sa propre vérité qu’elle n’ose encore affronter pleinement.

Huang Lei : Une lumière vacillante

Huang Lei, qui semblait d’ordinaire si léger, traverse les couloirs du lycée avec une expression pensive. Il observe chacun de ses amis, remarquant les silences, les regards absents, les gestes inhabituels. C’est comme si une ombre collective avait enveloppé leur groupe, une ombre qu’il ne parvient pas à comprendre.

Sous le porche du lycée, il s’arrête et regarde la pluie tomber. « Pourquoi est-ce qu’on s’effondre en silence, sans jamais demander d’aide ? » murmure-t-il pour lui-même.

Mais même en prononçant ces mots, il sent une résolution naître en lui : « Peut-être que si personne n’ose briser ce silence, je devrais être celui qui commence. »



Deng Shen est seule dans une salle d’art plongée dans la pénombre. Dehors, la pluie continue de tomber, traçant des sillons sur les vitres comme si le ciel partageait son chagrin. Assise sur une chaise, le visage enfoui dans ses mains, elle laisse enfin les larmes qu’elle retenait éclater, une cascade de douleur et de regrets.

Les pleurs d’un cœur brisé

Ses sanglots résonnent doucement dans la pièce vide, mêlés au bruit de la pluie. Chaque larme qui coule semble porter une part de son fardeau, mais la lourdeur dans son cœur ne fait que grandir. Elle tremble, ses pensées déferlant comme un torrent incontrôlable.

« Pourquoi ai-je fait ça ? » murmure-t-elle, sa voix brisée. « Qu’est-ce qui est arrivé à la personne que je croyais être ? »

Elle se redresse légèrement, le regard vague et les yeux rougis. Le souvenir de Yang Li, buvant innocemment cette tasse empoisonnée, lui revient encore et encore. Chaque détail lui semble gravé dans son esprit : son sourire, son insouciance, et cette confiance qu’il avait en elle, une confiance qu’elle a trahie.


Le serment d’un cœur repentant

Se levant finalement de sa chaise, Deng Shen s’approche de la fenêtre, posant une main tremblante contre la vitre froide. La pluie continue de tomber, brouillant le paysage au-dehors, comme un reflet de son propre chaos intérieur. Mais au milieu de cette tempête, une pensée émerge, claire et déterminée.

Elle pose une main sur son cœur, ses doigts se resserrant sur le tissu de son pull. « Je ne peux pas effacer ce que j’ai fait, » murmure-t-elle, « mais je peux essayer de réparer. Peu importe à quel point cela semble impossible, je ne peux pas laisser mes actes définir qui je suis. »

Sa voix, bien qu’étouffée par l’émotion, devient plus ferme : « Yang Li ne saura jamais ce que j’ai fait, mais je lui dois ma vie. Pas seulement des excuses, mais des actions, des choix qui prouvent que je peux être meilleure. »


Un éclat d’espoir dans les ténèbres

Dans le silence de la salle, Deng Shen fait un pas en avant, comme si ce geste symbolisait sa volonté de sortir de cette ombre qu’elle a créée. Elle sait que son chemin sera long, rempli d’obstacles et de doutes, mais une flamme, aussi fragile soit-elle, s’allume dans son esprit.

Elle murmure pour elle-même, en essuyant ses larmes d’une main maladroite :
« Le poids de mes actes est une montagne, mais chaque pierre que je déplace peut créer un sentier. Je n’abandonnerai pas. »

Ses yeux, bien que toujours rougis, reflètent une détermination nouvelle. Pour la première fois depuis longtemps, elle sent qu’elle peut agir, qu’elle peut transformer ce regret en une force, même si cela lui semble une bataille perdue d’avance.

Deng Shen est toujours dans la salle d’art, où le silence n’est rompu que par le martèlement régulier de la pluie. Les couleurs des tableaux accrochés aux murs semblent se ternir sous son regard, reflet de son propre état d’esprit. Sa jalousie, sa colère, son manque de maîtrise... tout ce qu’elle a ressenti l’a conduite à cet instant, à cet abîme émotionnel.

Elle se rappelle les moments où elle admirait Yang Li, sa force tranquille, son sourire qui apaisait même les pires tempêtes en elle. Et pourtant, cette admiration s’était tordue, se transformant en une jalousie qu’elle n’avait jamais pu contrôler. Mais maintenant, au milieu de ses regrets, elle s’accroche à un espoir fragile : celui d’un pardon qu’elle n’est pas sûre de mériter.

Elle se met en chanter une chanson triste concernant la jalousie et les mauvaises décisions


Couplet 1
Sous l’ombre d’un cœur enflammé,
La jalousie a planté ses racines,
Un feu qui brûle sans jamais s’éteindre,
Transformant l’admiration en ruines.

J’ai voulu briller là où tu éclaires,
Mais ton éclat m’a fait m’éteindre.
Dans la brume de mes colères,
J’ai perdu ma lumière intérieure.


Refrain
Oh, pardon, mon ami que j’admire,
Dans le reflet de toi, j’ai vu mes délires.
Mes choix ont tissé une toile obscure,
Mais mon cœur espère encore ta blessure… se guérir.


Couplet 2
Le manque de maîtrise était mon fardeau,
Une tempête que je ne pouvais contenir.
Chaque sourire que tu lançais haut,
Était un miroir de tout mon désir.

Mais j’ai trahi ce lien fragile,
Par un acte que je ne peux défaire.
Et maintenant, sous cette pluie subtile,
Je pleure des larmes que le temps espère.

Pont
Et si mes gestes pouvaient parler,
Ils chanteraient des mots sincères,
Une mélodie pour réparer,
Ce que j’ai brisé dans tes éclairs.


Refrain
Oh, pardon, mon ami que j’admire,
Dans le reflet de toi, j’ai vu mes délires.
Mes choix ont tissé une toile obscure,
Mais mon cœur espère encore ta blessure… se guérir.


Outro
Alors sous cette pluie qui lave l’instant,
Je jure de renaître, de m’élever doucement.
Bien que le pardon semble hors de portée,
Je marcherai vers toi, pour essayer d’aimer… et me racheter.



Dans cette dernière partie, Deng Shen est au plus bas mais commence à trouver les mots et les émotions pour exprimer ses regrets à travers une introspection poétique. La chanson, à la fois douce et empreinte de douleur, exprime son désir de se racheter et d’être pardonnée par Yang Li, qu’elle admire plus que tout. Ce chapitre se termine sur une note mélancolique mais avec une lueur d’espoir, laissant place à la suite de son cheminement.

Dans ce chapitre, la pluie devient une toile de fond mélancolique, reflétant les émotions intérieures de chaque personnage. Deng Shen est au cœur du récit, accablée par le poids de la jalousie et de ses décisions irréversibles. Elle se remémore avec douleur l’instant où elle a empoisonné Yang Li et s’enfonce dans des regrets intenses. Pleine de tristesse et de culpabilité, elle jure de se racheter par ses actions, même si cette voie semble impossible.

Yang Li, quant à lui, commence à ressentir les effets insidieux du poison, bien qu’il ignore tout de ce qui se trame. Ses amis, comme Chen Bo, Li Mei et Huang Lei, perçoivent des fissures dans leur groupe et dans l’attitude de Yang Li, sans en comprendre la source. Une atmosphère de tension et de mystère enveloppe l’histoire, tandis que Deng Shen lutte pour donner un sens à son acte et envisage un chemin vers la rédemption. Le chapitre se termine sur une note pleine de douleur, mais teintée d’un faible espoir, où chaque personnage s’avance sans savoir ce que le futur réserve .

Quand la culpabilité s’écrase sous le poids des attentes, et que les liens fragiles menacent de se rompre, peut-on tenir les promesses faites aux autres sans trahir celles que l’on se fait à soi-même ?





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