Sonate à l’aurore, coQ S’il te plait, fait silencE.

Un soir de plus, j’ai bU… Il m’offrait ces lèvreS

Rêvées, et j’en rougI ; Lui sait mon secreT.

Lui est mon autoMNe et toi mon requieM.

Entre vous, supplicE, Elles caressent mA

Folie d’un opiuM Fantômatique, fautiF.

Il sait : je suis déchU. Un fil tranchant de crI

Luit sur la terrE Tourbe de mon chemiN…

Délaissant ce traîtrE, Désirées de ce maîtrE,

Elles m’entourent eN Etant mon châtimenT,

Ma peine. Elles m’eMMènent dans leur desseiN

Elu qui m’enchantE En quête d’absolU…

Silence menteuseS Sensations ! C’est qu’iL

Est seul à s’être exemPTé de vous : fil du rêvE

Nu. Mets fin au duO Unique des envieS :

Vivre cette règlE… Est fatal. Ce couP

Insinue son noM Unissant au fadO

Emouvant ta plaintE Roque d’être luI.

Sans lui, tu le saiS, Sans doute il faut mouriR.