La Perversion de mon Frère
Je vais vous parler plus en détail de Xavier. Il a trois ans de plus que moi et fait environ un mètre 80, pour environ 80 kilos. Je dis environ, car j'en sais rien et que je m'en moquais pas mal à cette époque.
Il est brun, cheveux courts et pas coiffés, avec une barbe pas entretenue très courte, style barbe de deux jours. À croire qu'il se rasait exprès comme ça, car je l'ai toujours vu ainsi, ou il est imberbe et ça pousse pas bien.
Bref, il est fin et franchement, même si je n'étais pas sa sœur, je ne le trouverais pas très séduisant.
Enfin voilà, après sa passion pour le porno et sa non-gêne à l'assumer, vous le savez déjà.
Donc, c'est arrivé un week-end, je revenais chez moi un week-end sur 2, celui-ci était particulièrement difficile. J'avais passé une semaine de merde et en arrivant, je fus accueillie par une méga dispute entre ma mère et mon père, qui était complètement bourré, au point de ne presque pas tenir debout, mais suffisamment pour gueuler et l'entendre de dehors comme si on était à côté de lui.
J'arrivais donc en plein milieu de l'engueulade et ne fis pas long feu dans l'entrée, allai directement dans ma chambre et y restai jusqu'à ce qu'ils se calment, ce qui veut dire deux bonnes heures.
Je descendis pour le repas en même temps que Xavier qui, étrangement, était silencieux mais avait le sourire, ça me surprenait venant de lui. Normalement il parle quand il est content, on peut plus l'arrêter, même si les parents se sont gueulés dessus. Mais ce soir là, rien.
Le repas fut lugubre, on a presque pas parlé, juste des « passe moi le sel s'il-te-plaît » et autre politesse d'usage, mais aucune conversation. Juste le bruit des couverts et des respirations. Ho, je regrettais presque la mauvaise bouffe de l'internat, au moins là-bas il y avait toujours de l'ambiance, même si c'était en gueulant.
À la fin du repas, Xavier partit le premier dans sa chambre, mon père fut le deuxième, il alla sur le canapé et alluma la télé. Moi j'aidais ma mère a ranger la vaisselle dans la machine, quand je reçus un message de Xavier, c'était une vidéo de moi en train de me masturber sur mon lit, prise avec son portable dans l'embrasure de ma porte. Et quand je me masturbe évidemment je n'y vais pas doucement.
Je suis devenue rouge en voyant ça, surtout envoyé par mon frère, mais ça ne s'est pas arrêté là, juste après il m'a envoyé une autre vidéo d'un autre soir et encore une autre, facilement une dizaine de vidéos de moi en train de me masturber, dans différentes positions et avec différents godes.
Devenant rouge de plus en plus, ma mère finit par le voir, surtout en me voyant regarder mon portable toutes les dix secondes.
- « Quelque chose ne va pas chérie ? » Me demanda-t-elle.
- « Hein ? Euh si tout va bien, je suis juste un peu fatiguée, c'est tout. »
- « Tu es toute rouge et tu regardes ton portable toutes les vingt secondes, qu'est-ce qui se passe ? »
Elle est juste trop bonne ma mère, Attention pas bonne dans le sens je veux d'elle, même si elle est grave belle, mais bonne dans le sens de... Ho et puis merde vous m'avez comprise.
Elle a directement deviné que quelque chose n'allait pas, mais j'essayais quand même de lui mentir, non pas qu'elle se doute que je me masturbe, mais surtout qu'il y ait autant de vidéo et que ça soit Xavier qui les a toutes enregistrées.
- « Je dois juste avoir chaud, c'est tout et puis c'est juste mes jeux qui font vibrer mon portable, j'ai juste l'habitude de le regarder à chaque fois qu'il vibre c'est tout, ne t'inquiète pas maman, tout va bien. »
- « Tu me rassures, en tout cas merci pour la vaisselle, c'est gentil »
- « Mais ce n'est rien maman, voyons. »
Je reçus un autre message de Xavier, mais différent cette fois, il était écrit :
- « Demande à maman si elle baise encore avec papa, sinon j'envoie toutes ces vidéos que tu viens de voir sur le net et tout le monde te verra en train de te masturber comme la salope insatiable que tu es. Et n'essaye pas de me mentir, je sais ce que tu fais, je vois et j'entends tout.
Je savais que mon frère était un pervers et un enfoiré, mais pas à ce point là ! J'avoue que pendant un moment je ne le croyais pas, mais je savais qu'il était un homme de parole. Et contre mon gré j'essayais de parler de ça avec ma mère. Mon dieu que je me sentais conne, mais l'occasion se présenta.
- « ... Et il est vrai qu'on passe de moins en moins de temps ensemble, mais ne t'inquiète pas ça va s'arranger. » Me dit ma mère le plus sincèrement possible. Je me sentais coupable, c'était horrible.
- « Tu passe moins de temps avec lui ? Ça veut dire que vous ne couchez plus ensemble aussi ? »
- « On... Il est vrai que ça fait un moment qu'on ne le fait plus, c'est dû à l'alcool surtout, mais... » Elle s'approcha de moi et me murmura à l'oreille. « Je soupçonne une autre femme de draguer ton père et je n'espère pas, même de coucher avec lui. »
- « Non ! Tu veux dire que tu le soupçonnes de te tromper ? » Lui dis-je également en chuchotant.
- « Il ne me regarde presque plus, il ne bande plus quand je suis nue devant lui et l'alcool ne change rien à cela, je... Il ne me désire plus et doit fantasmer sur une autre, c'est certain. »
- « Mais non maman, il y a forcément une autre raison. »
J'essayais de réconforter ma mère, après l'avoir fait parler de ça contre mon gré, je pensais que c'était fini, mais ça ne faisait que commencer, malheureusement.
Je reçus un message de Xavier.
- « Va t'assoir à côté de papa et regarde la télé avec lui, puis enlève ton t-shirt et colle-toi à lui, de manière à ce que tes seins le touchent bien comme il faut. »
Je n'en croyais pas mes yeux, mais quel enculé !
Ma mère était très fatiguée et allait pas tarder à pleurer, si on continuait la conversation, donc je lui ai dit d'aller se doucher et de se coucher et que tout s'arrangera demain. Elle le fit en m'embrassant le front et me disant qu'elle m'aimait.
Puis je fis ce que m'avait ordonné Xavier, mais juste avant de m'asseoir, je reçus un dernier message, une vidéo... Mais celle-là était bien pire que les autres. C'était moi en train de baiser avec le demi-frère de mon père durant le nouvel an.
Il... Il nous a vus... Il... Il nous a filmés et n'a rien dit et maintenant me fait du chantage. Je... Je...
Je reçus un message.
- « Maintenant tu devines ce qui se passera si papa apprend ça, alors dépêche toi, je lui envoie dans cinq minutes. »
Fils de pute ! Pardon maman, mais ton fils est vraiment une ordure finie, faire ça à sa sœur ! Faire ça tout court d'ailleurs !
Je m'exécutais et m'asseyais à côté de mon père.
- « Qu'est-ce que tu regardes ? »
- « Tu ne Tueras point. »
- « Ha, ça fait longtemps que je ne l'ai pas vu, il est super bien en plus. »
- « Ouais. » Il essayait de se calmer de l'engueulade d'avant le repas, mais étant encore bourré, il n'arrivait à rien, à part à broyer du noir devant le film.
Je regardais mon portable et vis :
- « Trois minutes, dépêche-toi. »
Ne sachant comment faire, je ne réfléchis plus, je devais le faire, même si je ne portais pas de soutien-gorge, je devais le faire.
- « Oh je sais pas toi mais j'ai grave chaud ici, ça doit être le four ou je sais pas quoi. » Disais-je d'une manière pas du tout naturelle, tout en enlevant mon t-shirt et le posant sur lui.
- « Fais gaffe, je suis pas un porte-manteau. »
- « Oups, pardon papa. »
Je le repris et me posai contre lui de la manière dont voulait Xavier.
- « Euh... Tu m'expliques ce que tu fais là ? » Me demanda-t-il timidement et gêné par ce que je faisais et ayant vu que j'avais les seins à l'air.
- « Bah quoi ? Je me pose pour mater le film, ça te dérange que je fasse ça ? Je peux m'enlever si tu veux ? »
- « Non non, je m'y attendais pas, c'est tout. »
On passa de longues minutes à regarder le film dans cette position pas du tout confortable pour moi.
Après une bonne demi-heure, mon père se leva subitement et rapidement.
- « Excuse-moi, je dois aller aux toilettes. »
Il partit rapidement et je crus remarquer une bosse à... Non j'ai dû rêver, à quoi je pense moi sérieux.
Un nouveau message de Xavier.
- « Bravo tu as réussi, maintenant viens dans ma chambre. Ha oui et il serait préférable pour toi que tu rentre entièrement nue, si tu ne veux pas avoir de problème, tu vois ce que je veux dire. »
Là c'était trop, je lui répondis sèchement.
- « Putain par contre là t'exagères merde, pourquoi tu me fais ça à la fin ? Sérieux, explique-moi merde ! »
- « Viens dans ma chambre entièrement nue et peut-être que tu le sauras et ne me réponds pas, sinon je l'envoie sur le champ. »
J'étais tiraillée entre la peur, le doute et, même si j'avais du mal à le croire, l'excitation. Je me demandais vraiment comment je pouvais être excitée dans une telle situation.
- « Papa, je monte me coucher, bonne nuit. »
- « Ouais, bonne nuit ma chérie, dors bien. » Me répondit-il des toilettes.
Je me suis levée et j'ai commencé à monter et analyser la situation dans laquelle je me trouvais.
J'étais en train de me faire contrôler par chantage par mon grand frère, qui m'a filmée en train de me masturber et baiser et il me menace d'envoyer ça aux parents ou sur le net si je ne fais pas ce qu'il demande, qui sont des choses pas plaisantes du tout et encore moins de me mettre nue devant lui.
J'arrivai devant sa chambre, j'avais mon t-shirt à la main, il me restait que ma culotte et j'étais nue, comme il le voulait. Mais j'avais mis beaucoup trop longtemps pour aller jusqu'à sa chambre, j'enlevai donc ma culotte rapidement et ouvris la porte, rentrant avant que mes parents ne me voient faire.
Xavier était là, entièrement habillé en train de me reluquer de bas en haut, assis sur son lit avec son portable à côté de lui.
- « Tu en as mis du temps, dis-moi. »
- « Je t'emmerde pauvre con, supprime tout de suite toutes les vidéos que tu as de moi ! Maintenant ! »
- « Hoo du calme. Déjà ici c'est moi qui donne les ordres, pas toi, puis, même si je les supprimais de mon portable, j'ai des doubles dans plusieurs endroits différents dont tu ignores même l'existence. Donc tu es désormais à ma botte et tout ce que je te demande de faire, tu le fais, sinon, ta vie deviendra un cauchemar. »
Ce qu'il ne savait pas, c'est que c'était déjà le cas pour moi, devoir demander ça à ma mère, faire ça à mon père et me retrouver entièrement nue devant lui, je ne pouvais pas savoir ce qui pouvait m'arriver de pire et pourtant, ça allait arriver.
- « Suce-moi. »
- « Quoi ? »
- « Vas-y, viens, mets-toi à genoux devant moi, sort ma bite et suce moi. »
- « Même pas en rêve. »
Il prit son portable et s'apprêta à envoyer la vidéo.
- « Non arrête ! »
- « Fais-le ! Maintenant ! »
Je m'approchais donc de lui et me mis à genoux entre ses jambes écartées. Je n'arrivais pas à le croire, moi, entre les jambes de mon frère, en train de sortir sa bite de son pantalon pour la mettre dans ma bouche. Quel cauchemar.
J'ouvris sa braguette et mis ma main dedans pour attraper sa bite, il ne portait pas de slip, donc je la touchais directement et la sortis.
Elle n'était pas si grosse que ce à quoi je m'attendais, il veut devenir acteur X ? Tu m'étonnes qu'il se soit fait recaler à chaque fois.
- « Suce ! » M'ordonna-t-il.
Je commençais par le masturber et sortis ma langue pour lui lécher la queue, mais il ne voulait pas de ça, il attrapa ma tête et mit sa bite sur mes lèvres.
- « Je n'ai pas dit lèche sale pute ! J'ai dit, Suce ! » Me dit-il, juste avant de l'enfoncer au fond de ma gorge.
Il lâcha ma tête et je le suçai avec énergie, pour en finir rapidement avec ça, mais même si sa queue était moins grosse, il était très résistant et je n'arrivais pas à le faire jouir.
Après de longues minutes interminables, où il n'hésita pas à me toucher les seins et m'enfoncer sa bite plus profondément dans ma gorge d'un seul coup, il m'attrapa les cheveux et me recula la tête pour la faire sortir.
- « Bien, maintenant tu vas te mettre face au miroir là-bas, poser tes deux mains dans ton dos et bien écarter les jambes, de manière à ce que je voie bien tout.
- « Sale enfoiré tu... » Il ne me laissa pas le temps de finir de parler et remit sa bite dans ma bouche, pour me faire taire.
- « Ah oui, une dernière chose. Ferme ta gueule ! »
Il me projeta en direction du bureau et du miroir, me retrouvant par terre je me relevais, pendant que lui se déshabillait.
- « Pourquoi tu fais ça ? Je suis ta sœur bordel, c'est de l'inceste, c'est mal. »
- « En quoi c'est mal de fantasmer sur sa salope de sœur, qui s'envoie en l'air tous les jours avec tous les mecs de Grenoble hein ?! »
Il m'attrapa les cheveux et les tira vers le haut pour me relever.
- « Eh je t'avais dit de la fermer ! »
Il me jeta contre le bureau. Une fois devant le miroir, je mis mes mains dans le dos et écartai les jambes, n'ayant pas le choix, mais également trouvant ça terriblement excitant, malgré le fait que c'était mon frère et qu'il allait me violer.
J'entendis un drôle de bruit, même avec le miroir je ne vis pas ce qu'il me préparait. Soudain il attrapa mes mains et les menotta.
- « Hé ! »
Une corde passa autour de mon cou et m'étrangla soudainement, surprise, je poussai un petit cri avant que cela ne m'étrangle.
- « Je t'ai dit quoi bordel de merde, tu n'es qu'une sale chienne désobéissante, je vais te dresser moi. »
Il posa son sexe contre l'entrée de mon anus. Je pensais qu'il voulait juste me baiser, mais non il voulait me prendre par le cul.
Aussi surprenant que ça puisse être, je ne l'avais encore jamais fait par là, plusieurs mecs me l'ont demandé mais je refusais à chaque fois.
Ne voulant pas de sa bite dans mon cul, je me débattais et réussis, je ne sais pas comment, à le faire lâcher la corde qui m'étouffait.
- « Non ! Ne fais pas ça, je ne l'ai jamais fait auparavant ! Arrête ! »
- « Sérieusement ? Une salope comme toi qui ne pratique pas la sodomie ? Je ne te crois pas une seule seconde. »
Il commença à m'enfoncer son sexe dans mon cul. lLes sensations étaient bien différentes que quand on me baise dans la chatte. Ça faisait mal, très mal, beaucoup trop mal, je poussais des cris à chaque poussée. Commençant à trop en faire et trop fort, Xavier attrapa un bâillon-boule et me le mit en une fraction de seconde. J'étais prise au piège, j'allais me faire enculer par mon frère. J'avais les mains attachées dans le dos et j'étais bâillonnée, je ne pouvais plus que supporter ce viol.
Il enfonçait sa bite de plus en plus, je poussais des cris étouffés par le bâillon.
Se rendant compte que ça ne rentrerait pas, il cracha sur mon cul et me le doigta quelques instants, pour le dilater un peu. Toute ces sensations étaient douloureuses mais me faisaient mouiller comme une folle, pour des raisons que j'ignorais.
Après m'avoir bien mouillé et dilaté l'anus, il remit sa queue et l'enfonça de quart d'un seul coup, je me cambrai en arrière sous la douleur et la surprise, en criant.
Le pire, c'était que même si mes parents m'entendaient crier, ils penseraient qu'il regardait encore un film de cul, du coup ils ne rentreraient pas et ne pourraient pas me sauver de cette situation.
Il m'attrapa par les épaules et poussa d'un coup sec, pour faire rentrer les derniers centimètres qu'il restait, d'un coup des plus sadique et puissant.
Sous cette douleur que cela me provoqua, je tombai sur le bureau. Mais il ne me laissa pas de répit et se mit à me baiser le cul frénétiquement.
- « Hoo Putain ! Ton cul est merveilleux sœurette, tu as vraiment un corps fait pour le sexe et un cul pour la sodomie hard. Je vais te baiser jusqu'à être rassasié et que tu deviennes accro au sexe anal. »
C'est en voyant mon visage dans le miroir que je compris qu'il avait déjà gagné, la bave coulant du bâillon et mon visage exprimant l'inverse de ce que je pensais. J'étais énervée et apeurée, ne voulant pas me faire violer par mon propre frère, mais mon visage lui, prouvait à mon frère que je kiffais ça et que j'étais déjà devenue accro à l'anal.
Que voulez-vous, j'aimais le sexe et il venait de me faire découvrir autre chose. La sensation procurée par une première fois est indescriptible, même si c'était mon frère, je kiffais toutes ces sensations de douleur et de plaisir mélangées.
Il me baisa le cul pendant facilement une bonne heure, avant de jouir au fond de celui-ci.
Puis il me détacha les mains et la bouche.
Je savais qu'il avait prit des photos pendant qu'il me sodomisait, donc je ne pouvais faire comme si rien ne s'était passé. Il avait de nouvelles preuves qu'il pouvait envoyer à n'importe qui.
- - « Haaa, putain ce que tu es bonne sœurette, cela me fait plaisir que tu deviennes mon esclave sexuelle. Vraiment, ça ne fera que renforcer nos liens, tu ne penses pas ? »
- « Je t'emmerde Xavier. »
- « Bonne nuit sœurette. »
Je sortis de la chambre morte de honte et allai rapidement me coucher dans ma chambre, tout en sachant que cela se reproduirait et bien plus rapidement que je ne l'aurais voulu.
Après m'être couchée, je pensais mon calvaire terminé, mais j'étais loin de m'attendre à ce qui allait m'arriver.
J'entendis ma porte s'ouvrir et des bruits de pas s'approcher de mon lit.
Étant presque endormie je n'y prêtais pas attention, je sentis un courant d'air sur mon corps. Je n'avais pas ma couverture ? Si pourtant. L'ai-je enlevée sans le savoir ? Je ressens une présence. On me touche, plus précisément on écarte mes jambes.
J'ouvris les yeux et vis... Mon père ! Il était entièrement nu, le sexe tendu et gonflé à deux centimètres de mon intimité.
J'allais crier mais il mit sa main sur ma bouche et posa le bout de son sexe sur mes lèvres basses.
Non pas ça ! Pas avec mon père ! Non ! NON PAS ÇA !
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