Chapitre 3
18 Decembre 1867, je ne sais toujours pas pourquoi l'armée Française m'a envoyé ici.
Je ne fais que tourner en rond, faire des nuits blanche et parfois me rendre en ville pour accompagner un de mes supérieur dans un immense domaine. Celui-ci, bien gardé. J'attendai toujour dehors.
Je m'éttais demandé de qui pouvait bien vivre ici ? Cette demeure ou tout était parfaitement en ordre, les gardes ne bougaient pas d'un pouce, les arbres toujours bien taillé, et les rideaux étrangement toujours tiré.
La seule fois ou j'en ai vu un d'ouvert, une jeune femme se tenait debout à la fenêtre. Ses cheveux noir et son regard sévère m'avait fait froid dans le dos. Mais, je n'avais tout de même jamais vu une femme aussi belle.
Son image m'était resté en mémoire et je ne pouvais m'en défaire. Je pouvais même imaginé l'odeur qu'avait ses cheveux.
Puis, tout à changé, les rendez-vous se tenaient à présent très tôt, à l'aube, sans doute était ce parce que l'été était entré. L'hiver avait été rude, et j'étai soulagé de sentir à nouveau la chaleur sur mon corps blanchit par le froid.
3 fevrier 1868, mon premier jour de permission depuis que me trouve à la Nouvelle-Orlean.
La ville qui était agité et bruillante plus tôt, se retrouve depourvu de toute vie. Seul un groupe de personne se trouve sous un lampadaire face au regiment. Les regards se dirigent tous vers moi, et une sensation de mal être m'envahit.
Une silouhette s'était approché, et, je me souvient avoir tenu fierement une pose sûr et decontracté pour ne pas montrer ma peure.
Je reconnu ensuite, la femme au rideaux. Bien plus belle que dans mes souvenirs, et au traît bien dessiné. Ses yeux en forme d'amande dégageaient cette même froideur qu'ils avaient queqlue mois auparavant. Si je m'étai enfui ce soir là tout auraient été différant.
Elle était, envoutante. Ses lèvres se posa sur les mienne et je ne pû rien y faire. La douceur de celle-ci et la délicatesse de son baisé m'avait litteralement subjuguer. Son odasse collait parfaitement avec se que j'imaginait de sa personalité.
Elle me tira par la main pour que je la suive, mais avant de me perdre dans la nuit noir, un officier nous ordonna de nous arrêter. Ma punition était bien trop lourde pour avoir simplement suivis une joli fille dans la penombre. J'ai été renvoyé en france sur le champs.
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