Chapitre 3
Le 5 Mars 1868, le capitaine Morpheus sucomba d'un mal inconnu. Le commandemant de "l'Atalante" revînt donc à son second, Jasper Ferguson, qui au fil des semaines devînt non seulement un confident, mais egalement un ami fidele.
Il avait été temoin de nombreuses disparition quand il travaillait sur les navires marchand. et j'ai pu apprendre que l'armé avait débarqué au USA pour résoudre ce mystère "abérrant" selon le roi de France.
Le 4 Mai 1868, À peine ai-je posé le pied sur le sol Français, qu'un garde m'attendait pour m'escorter au palais. Napoleon m'invita à souper, une forte odeur de gibier émanait de la salle. La table était remplis de mets de tout genre, des plats tipiquement Français.
J'étai inconfortable par ses questions sans aucun sens. Il m'avait raconté une histoire de bête féroce qui n'était autre que des hommes qui avait passé un pact pour avoir la vie eternel. Il m'a ensuite demandé ce que j'avais pu voir à la Nouvelle-Orleans. Mais tout ce qu'il me racontait était vide de sens. Apres notre entrevu il m'offrit un présent en guise de reconnaissance pour mon engagement pour la france.
Un roi fou, me suis-je dit. Qui avait pu inventer une histoire aussi absurde ? Mais, plus j'y pensai et plus je me rapprochai de la vision de cette femme. Son nom résonnait dans ma tête comme un échos qui me donnait la migraine. "Ada". C'était son nom. Comment je pouvai en être aussi sur, alors, qu'elle ne m'a même pas adressé la parole ?!
Les jours suivant ne fût pas de tout repos. La fatigue de mes nuits blanches se faisait ressentir sur mon travail. Il ne se passait pas une nuit ou, à peine je fermais les yeux que des images horribles envahissaient mon esprit. Des cadavres gisant dans leur sang, les yeux ouvert d'un bleu pâle, avec un signe distinctif sur leur front. Une tête de lion sur certain, qui me faisait penser à la bague que m'avait offert le roi, et sur les autre un quart de lune.
L'histoire du roi m'intriguait-elle tellement que j'avai fais une fixation ? Ce n'était pas mon genre de me faire prendre par des legendes.
Alors que les jours passaient, j'étai dépassé par les pensées perverse que j'avai pour Ada. J'en devenai presque fou. C'était comme une attirance, un appel auquel je devai absolument me rendre. À part les vision d'horreur que je voyais, celle avec Ada devenait presque reconfortante, comme une dose qui soulageait mes mauvais rêves.
Comme si ça ne suffisait pas, l'armée Française me rappela de nouveau. Je devai me rendre sur une île dans l'ocean indien. Celle-ci regorgait de plantes endémiques qui pourrait peut être être un remède contre la choléra. Les habitant nous firent decouvrir l'île entière en à peine quelque semaine, les fruit exotique était fabuleux. Jamais je n'avai vu un t'el paysage de ma vie. Des champs de canne à sucre à perte de vu, et selon ou je regardait, il y avait soit des montagne, soit la mer. Cela faisait bien longtemps que je ne m'étai pas sentit aussi bien. C'est là bas je que rencontra celle-qui deviendra ma femme, Augustine.
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