Chapitre 6

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16 Septembre 1869, la nuit tombé, nous nous sommes abrité dans une petite ferme du village. Nous avions perdu la trace de Jasper depuis des semaines.

Durant trois jours je me sentais brûler de l'interieur. J'avais l'impression que mes intestint étaient en feu. Cela ne m'étais pas arrivé depuis longtemps, mais j'avais à nouveau des vision d'Ada. Tout semblait être lié, mes mots d'estomac n'étaient pas annodin.

Le vent souffle dans les branche d'arbre, des bruit furtifs m'interpel à l'extérieur. Je me sentai épié. J'avais l'impression d'entendre une respiration tout prêt de mon oreil. mes sens semblaient être affolé, décuplé.

Un collègue qui m'accompagnait dans cette mission sortis pour son tour de garde. Je me souviendrai toujour de cette sensation, comme un ras de marré qui c'était emparé de moi, commençant par un bourdonnement assourdissant, puis, plus rien. J'était comme transporté par mon corps sans que je ne m'en rende compte. Je me saisie de mon sabre, et la seule chose que je me suis souvenu ce soir là, et la tête de Jasper gisant à mes pieds.

Archer, qui était mon suppérieur à cette époque, était sous le choc. Il m'avait regarder comme ci je venai d'une autre planète. Et si j'aurais été à sa place je pense que j'aurai ressentit la même chose.

Il me conta ce qu'il avait vu de ces yeux, et moi même je n'y croyais pas.

D'une seconde à l'autre je m'étais retrouvé sur cette bête, ses crocs m'avaient répugné, et son odeur de cadavre pourissant nourrissait une envie de mettre fin à ce qu'il était. Et, de retour dans mon état normal j'étais comme spectateur de mes souvenirs.

Je ressentai un profond mal être dans notre groupe, qui regagnait la capitale. La mefiance s'était installé. J'imaginai ce qu'ils pouvaient pensé de moi. Une autre bête qu'il faudra sans doute se débarrassé.

Mais qui étais-je ? Un monstre, moi aussi ?

Nous avions ensuite entérré le corp et ramené la tête dans l'un de nos sac.

De retour chez nous, le roi nous reçu de suite, tard dans la nuit.

La tête de mon encien camarade était presque méconaissable, le roi nous le fit metre sous scéllé dans une salle secrète des catacombes.

Les regards de mes compagnon se croisèrent, et je sentis à nouveau un malaise gagné la pièce.

- Quelque chose ne vas pas ? interogea la roi.

Après que l'un d'entre eux balbutie en me fixant, je compris que j'était presque mort.

- Votre Majesté. Ce que vous aviez prédit est arrivé. Si nous avons réussi à capturé Jasper, c'est grace à Patrice.

- Je vois, je vois. Nous avons donc notre héros.

Un héros ? Moi qui pensais être cette chose que je pourchassait. Je ne comprenais plus rien.

- Je vois que vous semblez inquiet mon cher ami. Il en vas de sois. Mais ne vous en faite pas, je vais tout vous expliquer.

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