Chapitre 7
Les gouttes qui tombent font echo dans cette immense grotte garnit de pétroglyphes. Une histoire déffile à chaque pat que je fais.
Et au fil que je m'avance, l'histoire que l'on me conte me semble irréel.
Autrefois, naquit un roi d'une grande sagesse. Ce dernier était attristé de voir les paysans mourrir l'un après l'autre vidé de leurs sang. Il se mit alors à genoux et pria Dieu de l'aider. Il reçu alors une bague, celle-ci possédait un pouvoir immense, celui de commander les démons. Mais le pouvoir attire le pouvoir. Le roi Salomon en devînt avide. Il mena les guerres les plus sanglante qui n'est jamais existé en ce monde.
Pour le punir, Dieu le jetta une malediction. Le jour il devra éviter le soleil, et la nuit il devra se nourrir de sang de demon pour pouvoir survivre.
Cette bague traversera le temps pour retrouver, celui qui fût son maître jadis.
Bien que je n'avais aucun souvenir de ma vie passé, il n'en était pas moins que j'était la réincarnation de ce roi. Il m'était maintenant impossible de redevenir celui que j'étais. Je passa ma vie à trouver comment rompre ce maléfice.
26 octobre 1869.
J'étais maintenant un chevalier de l'ordre. Le roi me fît ensuite Duc et me changea de nom. Je devenais le Duc de saint-Jean. Viellir était devenu pour moi un privilège que je n'avais pas droit. Je devaît donc passer pour mort.
Moi qui avais à peine commencé à vivre, je devais maintenant mourir. La seule pensée de ma femme qui m'attendais à l'autre bout du monde m'attrista, mais je n'avais pas le choix.
Mes nuits étaient devenu de plus en plus couchermardesque, et les sentiments que j'avais étaient décuplé. La solitude me pesait, car personne ne pouvait me comprendre en ce monde.
Le 25 Decembre 1869, après une longue chasse au vampire, je me retrouva à Londre. Les nuits à peine éclairé par les lampadaires, j'étais sous l'emprise de l'alcool. Pendant que je titubais entre le trottoire et la route, une charmante jeune femme se proposa de me racompagner à l'auberge ou je logais.
Ses Longs cheveux roux m'enpechais de voir son visage, mais, je pouvais sentir quelle était l'une d'entre eux. Je n'avais ni l'envie, ni la force de la provoquer. Et bien que je me laissa faire elle ne tanta rien.
Gloria, c'était son nom. Ses yeux vert presque envoutant me rappelaient ceux de ma femme et cela me confortait. Elle était douce et chaleureuse, qu'elle en devient sans tarder une amie, puis une amante. Moi qui avait étais programmer pour tuer les vampires, je n'ai pu me resoudre à ôter la vie à Gloriana. Sa seule présence me reconfortais dans ma solitude, et bien qu'elle aussi savais mon role envers son espèce elle ne m'en teint pas rigueur.
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