Chapitre 8
1 Janvier 1870. Dès mon retour en France, je continua de poursuivre ma quête, qui depuis ma rencontre avec Gloria ne m'enchantais plus comme auparavant. J'avais appris à les connaître, les comprendre, et ils n'étaient pas les monstres qu'on m'avait apprit à detester.
J'avais organisé une reception pour fêter mon retour de Londre et emmener avec moi Gloria, je la presenta en tant que futur Duchesse, pour le nouveau village que m'avais offert le roi. Les invité fure conquis par sa bienfaisance et sa beautée.
J'étais égualement sous son charme, les violons ne semblaient plus emmetre aucun son quand je croisais son regard. Le champagne coulait à flot à cette époque, pour dire, je pouvais me le permettre.
Mais je ne m'attendais certainement pas a ce que le roi ne réponde à mon invitation, ce soir là. Et dès qu'il franchit le pat de la porte, tous se prosternère devant sa grace. Il me felicita d'avoir comme promise une si belle jeune femme, et je me devais de rester prudent, car si il savait la vérité, Miss Gloria aurait été en grand danger.
Elle fit une révérence au roi, qui ne semblait pas indiférent à sa beautée.
- On m'avait dis que vous étiez magnifique, mais à ce point, je suis charmé.
- Votre grace, je vous présente Miss Gloriana Van de Kamp.
Il la scruta quelque seconde, avant de me faire comprendre qu'il voulait un entretien. Ma machoire se serra. Je l'invita à rejoindre la bibliothèque, le bruit du sceptre contre le sol me faisait compté les seconde, et la sueur me coulait sur le front.
- Vous êtes malade cher ami ?
- Non, votre Majesté. J'ai sans doute dû boire un verre de trop.
- En tout cas, vous avez bon goût. Mais revenons à ce qui nous concerne.
Je devais à nouveau m'engager dans un nouveau périple. Un prêtre qui se trouvait en Corse avait capturé une créature qu'il ne pouvait lui même tuer, ce qui n'était jamais arrivé. Je devais donc repousser mon union avec Gloria, mais l'emmener avec moi la mettrait en danger, et la laisser seule en France pouvait attiré la curiosité.
Je décida donc de l'emmener avec moi. Nous nous apprétion donc à embarquer sur la frégate, quand des chevalier se présenta pour nous barrer la route.
- Monsieur le Duc, sa Majesté solicite la présence de Miss Gloriana Van de Kamp à résidé au chateau le temps que vous n'acomplissiez votre tache.
Gloriana sembla inquiète, mais repris immédiatement ses esprits. Un ordre du roi ne pouvait se refuser. Nos au revoir furent déchirant et j'esperais la retrouver seine et sauve à mon retour. Mais comment allait elle faire pour se nourrir, ou si le roi l'obligeait à une promenade en plein soleil ?!
Je lui donna quelque recommandation avant de monter à bord, et prendre le large.
3 Janvier 1870.
Une lettre de Versaille arriva de toute urgence. Glorianna était introuvable, et le roi s'en inquiétait de son absence. Le message n'en disait pas d'avantage. Et si le roi avait découvert qui elle était réellement ?!
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