XXI
Hugo et Théa étaient contre ma décision. Je le sais. Ils n'étaient pas du tout d'accord mais comme cétait mon choix et que je suis ultra têtue, ils ont abandonner. Hugo éssayait tout de même de me faire changer d'avis. Quelque fois il venait dormir chez moi. Comme ce soir-là , c'était hier. Il est entré dans ma chambre, maintenant il connait bien le chemin, et à refermé la porte derrière lui. Je travaillais le chapitre d'histoire sur la physique-chimie en vue d'un contrôle la semaine prochaine. ''Viens'' me dit-il en prenant ma main. Je me levais difficilement (j'avais en outre très mal au dos) et on se dirigea vers mon lit où on s'assit.
-Voila, heum, je pense qu'il est tant... enfin... Ce qui me fais le plus peur dans ta décision ce n'est pas le fait d'accoucher n'importe où, quoique. Non c'est après. S'il arrivait comme ça, dans un endroit précaire, qu'est ce que tu ferais? Je ne veux pas que tu te retrouve avec notre enfant, seule à ne pas savoir quoi faire. Tu ignores ce qu'une mère peut faire à son enfant quand il arrive comme ça.
-De quoi tu parles là Hugo? J'avait l'impréssion qu'il essayait de me dire quelque chose. Il était fébrile et hésitait. On pourrait imaginer un enfant qui a fait une énorme bétise. Il se décida.
-Je...je ne veux juste pas que tu fasses...comme...comme ma mère. Evelyne pardonne-moi. Je ne te l'ais pas dit et j'aurais du. C'est que maintenant tout deviens vrai, je ne réalisais pas...maintenant si. Je...je n'ai jamais connu ma mère. Elle....elle m'a abandonné quand je suis né dans une poubelle. On my'a trouver à moitié-mort et après un séjour à l'hopital, on m'a placer dans ma famille actuelle. Pardonne-moi mon amour, j'aurais du te le dire au tout début mais c'était trop dur. Je pouvais pas, maintenant si.
J'étais abasourdi par cette déclaration. Presque deux ans s'étaient écoulées depuis notre rencontre au bar. Jamais je n'aurai cru. Et pourtant je comprend certaine chose maintenant. Quand je lui ai annonncé ma grossesse, il a eu peur. Je le sais je l'ai vu. Pour la première fois, je le voyais appeuré. Mais en me voyant m'éffondrer, il l'a regné. Il aurait pu faire comme tant d'autres, partir en me laissant seule mais il ne l'a pas fait. Etait-ce cette peur de reproduir les mêmes erreurs que sa mère? Cette peur qui le ronge depuis si longtemps... Et je n'ai rien vu!. Rien. Je le regardais encore abasourdi.
-Mais ne t'inquiètes pas. Avant j'avais peur de l'avenir. J'avais horreur de tracer le même chemin que ma mère. Je crois... je crois que cet enfant m'a sauvé. Je vais assumer, être là à tes côtés. Aujourd'hui, je suis si heureux que tu sois la mère de cet enfant. Ce n'est surement pas le bon moment de t'avouer ça maintenant, mais au moins c'est fait. Excuse-moi, mais maintenant comprend-moi. Je veux le meilleur pour vous deux. S'il te plait reste à la maison...
J'étais toujours sans voix. Je ne pouvais rien dire. J'étais dans cet état où l'on ne sait pas s'il faut s'énerver ou lui pardonner. Il m'avait quand même menti! Deux ans sans me dire sa vrai histoire. Me cacher un truc si important! C'est impossible,. C'est comme une trahison. Cette partie manquante de son existence est si importante. Ce carnet noir... ça doit avoir un lien avec le mystère de sa naissance.... Je ne sais pas... je ne sais plus. J'ais chaud puis froid. Je ne me sent pas bien, je vois trouble comme quand...
-Evelyne??? Merde, Evelyne??? Il me retint dans ses bras pour éviter que je tombe.J'étais pas du tout bien, une extrême fatiue s'empara de mon corps. Il m'allongea dans mon lit appella Camille. Mes parents en sont jamais là quand il le faut! Camille arriva en troube dans ma chambre.
-Evelyne??? T'as fait quoi à ma soeur toi??? Tu lui a fais du mal??? Il était furieux.
-Camille calme toi. C'est pas le moment. Reste là, je vais chercher un linge mouillé. S'il te plait. Elle a besoin de toi. Il accoourat à mon chevet.
-Evelyne, s'il te plait, tu peux pas mourrir... Allez réveilles-toi... Il sanglotait. Hugo est revenu avec le linge qu'il me mis sur le front. Peu à peu, la fatigue s'estompait. Je revenais lentement à moi même. J'ouvrais un oeil, puis l'autre. Camille apparut, les yeux tout rouges. Il m'embrassa. ''J'ai cru que tu n'allais jamais te réveiller, tu m'a fai speur!'' Me glissa-t-il dans l'oreil. Hugo était aussi là. Il était tellement désolé. Il charchait mon pardon dans mon regard.
-Camille, tout va bien maintenant. Tu peux sortir quelques minutes s'il te pait? Damandai-je à mon petit frère. Il accepta et sortit en s'essuya ses larmes avec son pull. Il ferma la porte. Ctéait au tour d'Hugo de pleurer.
-Pardon... Je... je voulais pas ça. Excuse-moi Evelyne. J'étais calme, mieux. Mon esprit était plus tranquille comme si ce court tant dans les pommes m'avait requinqué.
-Viens. Je le tirait vers moi, il alongeat près de moi. Les yeux dans les yeux. Je l'embrassa. Signe que je lui pardonnais. Oui il m'avait menti, mais nous avons tous nos secrets, même les plus profonds. Il me l'a dit, tant mieu. Je le sais maintenant. Cette histoire est derrière nous. Nous pouvons avancer. Une nouvelle page se tourne. On 's'est embrassés. De toute façon je n'arriverais pas à lui faire la tête. On est resté comme ça longtemps jusqu'a ce que Camille revienne. Il a ouvert la porte, on s'embrassait. Il nous a surpris et il s'est inivté. Nous étions donc trois dans le lit. Enfin, trois et demi du coup.
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