Epilogue (2) : Max, sa femme et ses progénitures

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D’une aveugle lueur de sombres perspectives de jadis, Max percevait des visages ruisselant de perception de nuages, vents, de brouillards fins et d’éclaircies de rigolades, dans l’immédiat confus et soucieux de recevoir un grand Amour, lui, le désintéressement de la mort initiant, le besoin de leurs souplesses affectives s’en faisant ressentir.

Gysneil percevait qu’elle devait assurer l’urgence affleurée de son soutien et en douce crépuscule d’un jour nouveau elle venait accueillir le renouveau bienséant de son mari et disait : « Bienvenue parmi nous ! C’était spectaculaire et même effrayant de te voir avec si peu de moyens de défenses et de dialogues autre que la platitude vacance lieu de mort que tu nous a habitué pendant quelques semaines, chéri mais heureusement, les médecins ont su te sauver ! »

Max, songeur, commençait de nouveau à faire ressurgir la logique sous tendant son raisonnement et disait tel un sommeil de soulagement en lui : « C’était éprouvant, tout cette confusion et cette immense faiblesse de me rendre compte que j’étais un agneau pour le loup mais j’ai ressenti un amour transcendantal qu’il convient de mettre sous l’effet de mon état de conscience ramollie de ces facultés. Mais cette amour, je l’ai portée avec moi de l’inconscient dans lequel je devine aujourd’hui l’invraisemblable probabilité de finir avec la vie, à la réalité avec toi et mes enfants. Merci !»

Sandra s’approchait d’un pas volontaire et assuré de faire plaisir à son père. Elle faisait un simulacre de le mettre sur lui et lui disait : « Regarde, papa, je t’ai cousu un t-shirt avec comme slogan mon père, toi, mon héros. Sandra »

Max reprenait : « Je suis émotionné de ton geste, Viens près de moi, trop faible pour apercevoir le futur proche éloigné de toi, ma fille chérie, viens que je t’embrasse ! »

Euriphate, à son tour, cherchait une douceur paternelle dont l’absence de Max avait ressurgi sur son comportement, plus triste et mélancolique : « Papa, je ne veux plus que tu prennes des risques. Reste tout le temps avec nous et surfe sur ton deuxième métier, musicien, moins périlleux et plus festif »

Max répondait d’un ton hautain et affectueux : « J’y penserais, mon fils, J’y penserais très fort et j’y penserais quand je serai face à mes responsabilités. Je ne l’oublierai pas !

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