Je fus, comme passionnée par toi, en admiration par la puissance de ton histoire et j’ai relâché ma poigne, car j’ai soudain entendu le chant de la Mort se rapprocher de toi, chant que j’ai aussitôt balayé d’un revers de la main. L’instant où j’ai connecté mon cœur au tien, j’ai lu que tu n’étais pas un simple allié. Je t’ai reposé et protégé d’une sphère magique comme si tu étais précieux. Tu m’avais redonné un peu d’espoir et j’ai pris par le cou un grand homme aux longs cheveux argentés dont la hache allait trancher la tête d’un mage noir.

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J’avais lu dans les lignes du destin que tu allais choisir, Cléfer pour te redonner l’Espoir, mais pas aujourd’hui, bien plus tôt. Toujours est-il que c’est à mon tour de t’apporter quelque chose, Destinée.

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Ainsi tu m’avais parlé ou ce fut le Don qui l’avait fait pour toi et j’ai poursuivi à votre retour quelques jours après que vous vous êtes sauvagement vengés contre un mage élémentaire au nom imprononçable. Et j’ai pris soin cette fois-ci de ne pas étouffer pour tout connaître vos vies au travers de ton âme, Craven.