Chapitre 07: Dégoût et humiliation
Natacha se trouvait en face de son patron qui la regardait de la tête aux pieds. La jeune femme était très tendue et voulait immédiatement quitter son bureau. Elle savait ce qui l’attendait, elle savait ce qu’il était sur le point de lui demander, elle n’avait absolument pas envie de le faire. C’était beaucoup trop pour elle. Malheureusement, malgré son envie de fuir le plus loin possible, Barnes était parfaitement consciente de ce qui était en jeu, consciente qu’elle devait s’adonner à de telles obscénités pour protéger les personnes qui comptaient le plus pour elle. Toutefois, elle se dit qu’elle pouvait peut-être retarder l’échéance, qu’en utilisant son rapport comme excuse, elle pourrait gagner quelques minutes, ce qui lui permettrait de se préparer mentalement pour ce qu’elle s’apprêtait à faire.
- Monsieur, pouvez-vous m’accorder quelques minutes. Je dois encore finir d’écrire…
- Vous finirez ça plus tard. Pour l'instant, nous avons plus important à faire, rétorqua brusquement Herman en interrompant sa secrétaire.
- Oui, monsieur.
Natacha voyait son seul espoir de gagner du temps s’envoler en un claquement de doigts. Désormais, elle n’avait nul autre choix que d’obéir. De son côté, Herman qui était confortablement assis derrière son bureau hésitait encore à lui demander quoi que ce soit. Cela n’était pas dû au fait qu’il ait été à court d’idées, mais plutôt parce qu’il en avait tellement qu’il ne savait pas laquelle choisir. Finalement, après une trentaine de secondes de réflexion, il ordonna à Barnes de verrouiller la porte de son bureau.
Le visage de la jeune femme se remplit immédiatement d’effroi à l’instant où elle reçût cet ordre. Elle savait que les évènements qui allaient suivre n’annonçaient rien de bon pour elle, sinon pourquoi lui aurait-il demandé de verrouiller l’entrée de la pièce. Ne pouvant pas faire attendre son employeur, Natacha s’exécuta timidement avant de venir se replacer au même endroit.
- Mademoiselle Barnes, dit-il en affichant un sourire narquois.
- Oui, monsieur, répondit-elle d’une voix timide.
- Déshabillez-vous.
- P…pardon ?!
- Vous m'avez parfaitement entendu. Je vous ai demandé de vous déshabiller.
Comme la fois précédente, Natacha tomba des nues en entendant la demande de cet homme. Elle, qui s’était mise en tête qu’elle aurait encore été obligée de lui faire une fellation, s’était complètement fourvoyée. Cette fois-ci, son patron ne voulait pas profiter de sa bouche, mais du reste de son corps, quelque chose qui était très précieux à ses yeux. Barnes avait envie de refuser, la porte de sortie était tout de même derrière elle. Tout ce qu’elle avait à faire était de se précipiter vers cette dernière, attraper ses affaires, et courir le plus vite possible vers sa voiture. Connaissant Herman Invictus, il ne partirait sûrement pas à sa poursuite. Toutefois, elle ne pouvait pas le faire. Beaucoup trop de choses étaient en jeu. Elle devait s’exécuter et faire ce qu’il lui avait demandé.
Néanmoins, la tache s’avéra être extrêmement dure. En effet, même si Natacha savait qu’obéir à l’ordre d’Herman était la meilleure chose à faire, son corps refusait de bouger. C’était comme s’il était doté de sa propre volonté. Malheureusement pour elle, parce qu’elle n’avait toujours pas fait ce qu’on lui avait demandé, son patron sortit légèrement de ses gonds deux minutes plus tard.
- Mademoiselle Barnes, je ne me répéterai pas. Retirez immédiatement tous vos vêtements, rétorqua-t-il doucement, mais une voix emplie d’autorité.
N’ayant pas le choix, la jeune femme força son corps à bouger et commença lentement à déboutonner sa chemise. Au même moment, une larme se mit à couler le long de son visage. En effet, les sentiments de honte, d’effroi, et de culpabilité qui l’envahissaient à cet instant lui donnaient envie de pleurer. Elle faisait de son mieux pour résister, essayant même de se créer son propre monde dans sa tête, mais la tache devenait de plus en plus à mesure que les secondes s’écoulaient.
Barnes finit par défaire tous les boutons de sa chemise et par la faire tomber sur le sol. Il fallait désormais qu’elle retire sa jupe, ce qui s’avéra être une tache encore plus éprouvante et compliquée que la précédente. Malheureusement, elle ne pouvait pas faire attendre Herman, cet homme qui observait chacun de ses mouvements avec une grande attention. Concernant l’employeur de Barnes, il appréciait énormément ce qu’il avait sous les yeux. La jeune femme possédait des formes naturelles qui lui plaisaient immensément et face à une telle créature, il sentait sa libido grimper en flèche. Il était très impatient de profiter de son corps et de la faire sienne. Cependant, Invictus devait encore prendre son mal en patience, le moment de s’amuser avec elle n’étant pas encore venu.
Se retrouvant désormais en sous-vêtements devant son patron, la jeune femme ne pouvait plus s’empêcher de pleurer. Jamais elle ne s’était sentie au bas et à la merci d’une personne autre que son fiancé. D’ailleurs, elle n’hésita pas une seule seconde à lui demander pardon pour ce qu’elle faisait et ce qu’elle s’apprêtait à faire, mais se dit également que c’était pour une bonne cause. Natacha ne pouvait pas laisser cet homme s’en prendre à ceux qu’elle aimait, elle ne le supporterait pas. De son côté, en voyant sa secrétaire dans cet état presque naturel, Herman n’avait qu’une seule envie et c’était de sauter sur elle. Il voulait la posséder totalement, jouer avec son corps tout entier, et faire d’elle son jouet. Toutefois, comme la fois précédente, il se dit que le moment n’était pas encore venu, qu’il avait avec encore quelque chose à voir.
- Mademoiselle Barnes, je vous ai demandé de retirer TOUS…vos vêtements.
Affichant toujours son sourire narquois, Herman observa sa secrétaire retirer avec beaucoup d’hésitation son soutien-gorge. À ce moment, l’homme se retrouva devant une image encore plus plaisante que la précédente. Ses seins étaient tellement magnifiques qu’il ne pouvait pas s’empêcher d’envier la personne avec qui elle était en couple.
- Encore un peu de patience, Herman. Nous y sommes presque, pensa-t-il en plaçant sa main sur son entrejambe.
Finalement, le moment qu’il avait tant attendu arriva. Sa secrétaire était sur le point de retirer le dernier vêtement qu’elle avait encore sur elle : sa petite culotte. Toutefois, au moment où elle s’apprêtait à le faire, il l’interrompit brusquement.
- Un instant, mademoiselle Barnes. Nous n’allons pas le faire de la sorte. Je veux que vous vous retourniez et que vous la retiriez délicatement. Prenez soin de bien la faire glisser jusqu’à vos pieds.
Une fois de plus, Barnes se retrouva dans l’obligation d’obéir à l’ordre qu’on venait de lui donner. Donc, pendant qu'elle pleurait toutes les larmes de son corps et qu’elle se sentait humiliée au haut point où sa volonté de résister à cet homme était inexistante, Barnes se retourna et commença à s’abaisser doucement. Plus mademoiselle Barnes se penchait en avant, plus l'homme d'affaires sentait ses pulsions sexuelles augmenter. Finalement, alors qu'elle atteignit son point le plus bas et que ses parties intimes étaient bien mises en évidence, l'homme se leva brusquement de son fauteuil et s'avança vers elle.
Natacha vit son employeur s’approcher d’elle, mais elle remarqua surtout l’érection qu’il avait à ce moment. Pour elle, ses intentions étaient claires comme de l’eau de roche. Toutefois, elle ne voulait pas s’adonner à cela. C’était une chose de faire une fellation à son patron ou même de se retrouver complètement nue devant lui, mais avoir un rapport sexuel avec lui était hors de question. Mais avait-elle vraiment le choix ? Elle ne pouvait pas fuir, elle ne pouvait pas se battre, mais surtout elle ne pouvait rien lui refuser. Trop de choses étaient en jeu à cet instant, le bonheur et la stabilité de ceux qu’elle aimait. Barnes avait beau penser ça, mais cela ne changeait rien au fait qu’elle ne voulait pas coucher avec Herman Invictus. Ce n’était pas son homme et c’était extrêmement immoral envers Michael. Il ne méritait pas cela, mais il ne méritait également pas de perdre son travail, son domicile, et toute perspective d’avenir.
Herman qui trouvait désormais derrière Natacha se mit soudainement à humer son parfum. Son odeur était si douce qu’il avait envie de la consommer sur l’instant. L’homme plaça ensuite sa main sur une de ses épaules avant de la glisser progressivement le long de son dos jusqu’à son fessier. À ce moment, Barnes ne put s’empêcher d’éprouver un immense frisson et un profond dégoût, d’autant plus qu’il s’amuser à appuyer ses fesses.
- Tellement fermes, pensa-t-il avant de lui ordonner de se retourner.
Natacha s’exécuta timidement. Mais parce que la main de cet homme était toujours posée sur elle à ce moment, cette dernière se retrouva au niveau de ses parties intimes. Aucun mot n’était suffisamment fort pour décrire tout ce que la jeune femme ressentait à cet instant. Malheureusement, pendant qu’elle n’était en proie qu’à des émotions négatives, c’était tout le contraire pour Invictus qui était très excité en plus d’éprouver un fort sentiment de supériorité.
- Regardez-moi, rétorqua-t-il en voyant qu’elle évitait le contact visuel.
Herman se mit ensuite à doigter sa secrétaire, et ce à son plus grand détriment. C’était vraiment une sensation extrêmement désagréable pour elle d’avoir son doigt à l’intérieur d’elle. Ce n’était ni excitant ni plaisant, mais humiliant et effroyable. Elle aurait alors voulu disparaître, elle aurait voulu que son esprit abandonne son corps à cet instant, au moins elle ne ressentirait rien. Malheureusement pour elle, ce genre de choses n’était vraiment pas possible qu’au cinéma. Barnes était obligé de rester immobile et de ressentir toutes les immondices que son patron allait lui faire subir.
Herman, qui avait toujours son doigt à l’intérieur de sa secrétaire, était désormais prêt à passer à l’étape suivante. Il invita donc Barnes à se diriger vers son bureau avant de lui ordonner de se pencher en avant. N’ayant clairement pas envie de faire ce qu’on venait de lui demander, la jeune femme s’avança lentement vers le bureau. Elle voulait retarder l’échéance le plus possible. Malheureusement pour elle, son patron était si pressé de se retrouver en elle qu’il remarqua immédiatement son subterfuge.
- Mademoiselle Barnes, ne jouons pas à ce jeu. Vous n’aimeriez pas le résultat, rétorqua-t-il.
Une fois de plus, Herman usait de son influence et de son pouvoir pour obtenir ce qu’il voulait, et cela fonctionnait. Sa secrétaire, bien que très hésitante, finit par faire ce qu’il lui avait demandé et se pencha en avant sur son bureau. Il se plaça ensuite derrière elle et retira son pantalon. Peu de temps après, il finit par introduire son pénis dans le vagin de Natacha dont les larmes ne cessaient de couler. Elle avait alors envie de crier, se débattre, disparaître, et mettre fin à ses jours, mais elle ne pouvait pas le faire. Elle était la merci de cet homme qui était désormais en elle et profitait d’un privilège qui était supposé n’appartenir qu’à son fiancé, un fiancé auprès duquel elle s’excusait pour ce qui se produisait.
Tandis que Natacha pleurait toutes les larmes de son corps, Herman prenait son pied, chaque mouvement lui procurant un plaisir inouï. Ça faisait longtemps qu’il n’avait pas éprouvé de telles sensations, longtemps qu’il n’avait pas dominé une femme de la sorte. Elle était à elle et il n’y avait rien qu’elle puisse faire pour changer cela. Il avait cependant un regret et c’était de ne pas avoir commencé cette petite aventure plus tôt. Cela faisait plus de trois ans qu’elle travaillait pour lui et c’était seulement récemment qu’il profitait de son corps. Il aurait dû le faire depuis le début, depuis le jour où il avait accepté sa demande de travail.
- Ce n’est pas grave. Elle est désormais à moi, pensa-t-il après.
Une vingtaine de minutes s'était écoulée et la jeune femme se faisait toujours violer par son patron qui attrapait désormais ses cheveux et jouait également avec ses seins. Ce n’était plus qu’une question de temps avant qu’il atteigne l’extase et jouisse. Il continua donc d’abuser du corps de Barnes tandis que cette dernière souffrait le martyre. Finalement, peu de temps après, Herman finit par déverser le contenu de ses couilles à l’intérieur de sa secrétaire. Après une brève pause pour récupérer son souffle, Invictus retira sa bite du vagin de Barnes avant de remonter son pantalon.
- Wôw, mademoiselle Barnes ! C'était…c’était fantastique, s'exclama-t-il en allant place dans son siège.
Tandis qu’il était assis en face de sa secrétaire en pleurs, Herman était fier de ce qu’il venait d’accomplir. Il avait fait de cette jeune femme sa propriété et comptait profiter de son corps chaque fois qu’il en aurait la possibilité. De plus, il ne pouvait également pas s’empêcher de trouver sa réaction quelque peu amusante. C’était juste la première fois qu’ils s’adonnaient tous les deux à ce genre d’acte et elle réagissait déjà de la sorte. Comment réagirait-elle donc quand il déciderait d’y aller un peu plus sérieusement ? De son côté, Natacha était complètement détruite et humiliée. Ce qui venait tout juste de se produire avait laissé une marque sur son être, une marque indélébile qui lui était désormais impossible d’effacer.
- J'aurais bien voulu réitérer cela avec vous demain soir, mademoiselle Barnes, mais comme vous devez sûrement le savoir, j'ai un important rendez-vous avec les membres du conseil d'administration. Nous reprendrons donc nos activités après-demain. Vous pouvez désormais disposer. Et n’oubliez pas de récupérer vos affaires en sortant.
Invictus n’avait aucune considération vis-à-vis de son employée et encore moins de l’état émotionnel dans lequel elle se trouvait. Maintenant qu’il avait fini de profiter de ses faveurs, sa présence de Natacha dans son bureau le dérangeait quelque peu, d’autant plus qu’elle continuait de pleurer juste en face de lui. Cependant, le fait qu’elle soit encore nue ne le laissait pas indifférent. Il avait encore envie de faire un avec elle, mais comme il l’avait dit, il avait une importante réunion le lendemain. L’homme d’affaires devait donc se préparer et ne pouvait donc plus se le permettre. Il insista donc auprès de la jeune femme qui finit par se redresser et partit récupérer ses vêtements et quitter la pièce.
A suivre !!!
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