Un weekend inoubliable : Dimanche, retour de boite…
De retour à la maison, rapide saut en tandem sous la douche où mes mains se font plus entreprenantes, sans jamais oser franchir les limites que je m’étais fixées, mais juste assez pour sentir qu’elle est en équilibre sur la corde raide.
Je sais que mes caresses ne la laissent pas indifférente mais aussi que je garde une certaine distance histoire de lui laisser le choix du chemin à prendre.
Sortis de la douche, nous filons dans ma chambre sans nous séparer l’un de l’autre et glissons nus sous les draps. Elle vient immédiatement se blottir contre moi, sa peau est bouillante, la sensation surnaturelle, surréaliste…
« - Merci pour la soirée, je me suis vraiment amusée, les filles m’ont chouchoutée toute la soirée, et tu as vraiment de la chance de les avoir prés de toi.
- Merci, je leur ferais passer le message. Sinon, pour une première soirée en boite, t’en as pensé quoi ?
- Vraiment génial, je comprends mieux pourquoi tu y passes souvent tes soirées, que des gens inconnus, tu peux t’amuser en liberté, sans te soucier du regard des autres, y’a de l’ambiance. A refaire rapidement…
- Content que ça t’ai plu, par contre pas trop rapidement quand même, je sais pas le weekend prochain si on pourra le passer ensemble…
- Pas grave, j’ai vraiment passé une soirée au top, une super journée, et je suis vannée, Merci beaucoup Amour…
- De rien ma belle, tout ce que tu voudras… »
Je coupe la lumière et la prends dans mes bras, elle me semble si fragile, si frêle contre mon corps grand et large. Nos mains ne tardent pas à s’agiter, j’ai envie d’explorer une nouvelle fois son corps, j’ai envie de ses mains sur le mien, j’ai envie de la posséder, et j’ai envie qu’elle me possède.
Je ne tarde pas à prendre possession de ses fesses que je retrouve avec enchantement, la caresse de mes doigts remonte le long de la courbe de ses reins, qu’elle accentue dans un frémissement.
Elle bascule sur le côté, ses mains se posent sur mon torse, jouant avec mes tétons, que je découvre sensibles, nouvelle perception qui m’enivre, les miennes restent sur son postérieur, massant délicatement les deux globes charnus et musclés qui s’offrent à elles.
Sa bouche se pose dans mon cou qu’elle submerge de baisers, sa langue s’insinue sur ma peau, glisse et voyage, et je décolle vers un autre monde. Je ferme les yeux et la laisse me posséder, je suis entièrement à elle maintenant, sa langue et ses mains m’explorent de nouveau, j’ai la tête qui tourne, mais l’alcool n’a rien à voir ici, simplement le plaisir de ces nouvelle sensations.
Sa langue s’approche de mon sexe tendu, glisse sur mes cuisses, passant dans le pli de l’aine, et file à l’intérieur de ma cuisse, les sensations sont terribles, je me perds sous ses baisers.
Elle remonte joue avec mon nombril et entame une nouvelle traversée vers l’autre cuisse ses mains suivent le mouvement, se posant sur mon sexe érigé tel le donjon d’un château fort, elles entament de langoureuses caresses, alors que sa bouche se promène tendrement sur mon ventre le couvrant de doux baisers.
Mes main se posent sur sa tête, et caressent sa longue chevelure noire, essayant dans un mouvement à peine perceptible d’amener ses lèvres fines à se poser sur ma verge tendue. Elle résiste me faisant comprendre qu’elle ne le désire pas, je n’insiste pas, ne voulant pas la brusquer, ou risquer de l’interrompre.
Cela fait bien dix bonnes minutes qu’elle m’embrasse le bas du ventre et caresse mon sexe et ses alentours, dix bonnes minutes que j’ai quitté mon corps et que je voyage au pays des Bisounours, je ne contrôle plus rien, je sens la fin proche, il faut qu’elle s’arrête, mais c’est si bon, si excitant de la savoir là, dans cette position, dans cette situation.
Comme si elle lisait dans mes pensées, elle stoppe ses caresses, se redresse, mais avant de revenir au creux de mes bras, avant de me laisser la posséder, elle dépose tendrement quelques baisers le long de mon membre palpitant de désir, partant de mes testicules et remontant le long de ma hampe pour finir par un léger coup de langue sur mon gland rougi, avant d’y déposer ses lèvres quelques délicieuses secondes.
J’ai toujours la tête qui tourne, ma respiration ressemble plus au souffle d’un locomotive qu’à autre chose, mon cœur est sur le point d’exploser, lorsqu’elle revient se blottir contre moi.
Je ne peux que lancer mes lèvres à l’assaut des siennes, je ne suis pas en état de parler, et au son de sa respiration, elle non plus, ma langue retrouve la sienne avec bonheur et frénésie, ce ballet de langues, je le pense reste un des plus grand baisers de ma vie, l’excitation de cette première nuit avec elle, cette magnifique journée que nous venions de passer ensemble, son corps nu contre le mien, tout cela combiné…
Je décide maintenant de prendre les choses en main, la bascule sur le dos me place entre ses cuisses et commence à couvrir sa peau douce de millions de baisers tendres, son visage, son cou, ses épaules, aucune parcelle de sa peau ne me reste inconnue. Je découvre avec appétit ses tétons durcis par l’excitation du moment, je les goute, les déguste, les mordille et elle soupire de plaisir.
Je reste un débutant en la matière, et ma gaucherie ne fait que rendre les choses encore plus belles. Son ventre est inondé de milliers de baisers, ma langue contourne son nombril, découvre ses cuisses, vient se loger dans le pli de l’aine, son corps se tend, frissonne et elle soupire. J’approche timidement de la vallée interdite, son odeur intime m’enivre de ses arômes fruités et musqués, ma langue devient plus curieuse, frôle ses grandes lèvres, d’où je sens une humidité se dégager, je dépose un baiser sur son pubis, puis descend lentement en une pluie de caresses jusqu’à découvrir le fruit défendu.
Je déguste sans plus attendre son nectar si divin, ma langue glisse entre les bords humides de sa fente, découvrant un peu plus son intimité alors que ses soupirs se font gémissements de plaisir.
Je suis passé sans m’en apercevoir à côté d’un point extrêmement sensible de l’intimité féminine, il faut dire que je découvre ce pays merveilleux et que mes connaissances restent limitées, mais ses mains et ses doigts ont vite fait de me faire comprendre mon erreur, et c’est elle qui me guide désormais, me faisant découvrir son petit bouton. J’en découvre immédiatement l’utilité lorsque ses gémissements se font plus forts alors que ma langue titille ce petit coquillage où je m’attarde.
Son plaisir ne tarde pas à se faire entendre un peu plus bruyamment qu’avant, lorsque mes mains prennent aussi possession de ce sexe entièrement ouvert et offert, et que mon majeur entreprend une exploration plus poussée de ce pays encore inconnu soutenu par les ondulations de son bassin m’aidant à découvrir le plus profond de son être.
Au bout de seulement quelques minutes ses mains agrippent mes cheveux et me font comprendre que c’en est assez pour l’instant en me tirant violement vers l’avant.
Je me retrouve donc allongé sur son corps menu, mon sexe tendu à son maximum flirtant avec le sien inondé de plaisir et d’envie en train de l’embrasser pour retrouver un niveau d’excitation et de conscience acceptable.
« - Ben pourquoi tu m’arrêtes ? Je croyais que ça te plaisait ?
- Bien sûr gros beta, mais c’est trop… bon.
- Trop bon ? Je pense qu’à ce niveau-là, il n’y en a jamais trop non ?
- Oui, mais bon, je… pour te… enfin, je pense pas pouvoir…
- Pouvoir quoi ?
- Te rendre ça…
- Parce que tu crois que c’est donnant-donnant ? Arrête, je viens de découvrir quelque chose et ça me plait, pourquoi ne pas en profiter ?
- Doucement, c’est mieux petit à petit, gourmand.
- Comme tu le sens, c’est toi qui vois. »
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