Chapitre 30 Marie (suite 2)

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###. Pierre. ###

le massage fut intense, Marie ne put se réfreiner de masser ma verge avec vigueur pendant que mes doigts s'enfonçaient profondement entre ses cuisses. Fréquemment je vins en contact avec ses lèvres intimes.

- oh Pierre, continue ! Je sens l'approche d'une nouvelle vague de plaisir !

Pendant que je massai ses cuisses Marie glissa sa main fermement sur mon sexe durci. Je devinais que son attention se concentrait entièrement sur sa caresse. Elle sembla habitué au contact sur ses cicatrices et reprit la masturbation plus intensément.

- Pierre, viens ! Donne-moi du plaisir avec ton bâton !

- Laisse-moi le temps d'enfiler un préservatif !

Marie prit le blister, l'ouvrit délicatement et coiffa mon sexe avec expertise.

Je la pénétra avec douceur suivant du regard ses reactions sur son visage.

### Marie ###

C’est avec regret que j’abandonnai sa verge dressée, Pierre m’ayant rappelé le but principal de sa visite. Dans un dernier geste de provocation et aussi pour affronter mes démons, j’embrassai son sexe ! Pierre me regardai mi-amusé, mi-fâché, mais aucun de mes cauchemars ne ressurgit !

Pierre glissa dans ma douche, je l’eus bien rejoint mais c’eut été du gaspillage de la crème qu’il avait étalée et je remis un polo pas trop serré et un pantalon large pour ne pas irriter mes blessures. Pierre eut quand même un regard tendre et avant de quitter la chambre, je me blottis quand même dans ses bras un instant. Il me fit un baiser sur le front, me prit la main et m’entraîna vers la voiture où nous attendait mon chauffeur et le garde.

Une fois en route nous fûmes rejoints par trois autres véhicules lourdement armés. Je trouvai cette escorte peu habituelle et m’informai auprès de mon chauffeur.

– Pas d’inquiétude Madame, la sécurité nous a signalé des rodeurs, Ils ont renforcé votre protection et celle du Directeur.

Comme il avait répondu en lingala, je regardai vers Pierre qui apparemment n’avait pas saisi la réponse. Nous visitâmes les parcelles prévues pour la replantation et à chaque fois Pierre sortit sa bêche pour creuser un trou et examiner attentivement la terre qu’il avait remuée. Bien entendu au deuxième trou il se débarrassa de sa chemise trempée. Je dus vraiment faire un effort pour ne pas toucher ses pectoraux où la sueur perlait ! En même temps je sentis mon intimité qui laissa suinter un peu de cyprine. Je fis un gros effort pour examiner la pelletée de terre que Pierre avait retourné.

– C’est encourageant dis-je, le sous-sol est encore humide, nos chances de succès du replantage ne sont pas compromises.

Ce fut à la dernière parcelle que cela faillit tourner à la catastrophe. La section était assez éloignée, elle me semblait négligée par rapport aux terrains précédents. Il restait beaucoup de sous-bois, un des gardes qui nous suivait cria soudainement.

– Couchez-vous !

Aussitôt nous fûmes entourés de coups de feu et un des gardes tomba pendant que les autres ripostèrent. Pierre dans un réflexe de protection se coucha sur moi. Je ne sais comment mais je ne me sentis pas en danger et je ne fis attention qu’à sa verge tendue qui labourait mes fesses ! Je ne compris pas comment je pouvais avoir des pensées lubriques en un moment pareil. La fusillade fut brève, les quatre assaillants furent neutralisés. Pierre se releva rapidement et se pencha sur un de nos hommes qui restait couché. En m’approchant je vis que l’homme était touché à la cuisse et à l’avant bras. Pierre me rassura, ce n’étaient pas des blessures vitales. Il prit sa chemise pour comprimer la blessure à sa jambe et utilisa les manches pour lui faire un garrot. Un des gardes apporta sa trousse de secours, Pierre banda la blessure au bras.

– Il a de la chance, dans les deux cas la balle est ressortie ! Il faudra quand même le conduire au dispensaire.

– Oui, dis-je, ils ont encore l’habitude de soigner les blessures de guerre !

Le garde blessé fut hissé dans un des véhicules, Pierre resta près de lui, dans ma voiture son absence fut remplacée par un des gardes qui nous avait défendu.

– Madame, ils voulaient vous attraper vivants, les assaillants ne s’attendaient pas à une résistance, ils visaient les gardes et votre chauffeur.

– Merci, j’espère que votre collègue s’en sortira.

– Oui Madame, le Directeur semble compétant pas uniquement en agronomie mais aussi pour soigner les blessures !

Au dispensaire, après un trajet assez long, le blessé fut pris en charge par notre infirmier en chef, qui fit les soins appropriés. Il en avait vu d’autres pendant la guerre. Il vint me rassurer après avoir prodigué les soins.

– Il s’en sortira Madame, le Directeur a vraiment fait le nécessaire pour qu’il n’arrive pas exsangue ici. Monsieur, vous avez fait la guerre ?

– Non, répondit Pierre, mais dans ma carrière j’ai vu beaucoup de blessés dans les champs à cause des machines. J’ai donc un peu d’expérience !

– Merci on repassera demain, dis-je. Viens Pierre, rentrons.

Pierre était toujours torse nu, maintenant que l’incident était passé, je retrouvai d’un coup la sensation lubrique lorsque Pierre s’était couché sur moi pour me protéger.

– Marie, pour aujourd’hui, j’en ai vu assez, je vais me doucher et me changer.

– Oui, je t’attends pour débriefer.

Je m’installai dans son living, mais lorsque j’entendis l’eau couler dans la douche, j’eus une envie subite. Je m’assurai que Délia et ma nièce n’étaient pas dans la maison, puis je rentrai dans la salle de bain. Pierre ne m’entendis pas arriver et fut surpris de sentir mes mains sur son corps.

Son sexe fut immédiatement en érection alors que quelques secondes avant, il était un peu mou !

– Marie ! que viens-tu faire ici ?

– Pierre, je viens te remercier de m’avoir protégé, tu t’en es sans doute pas rendu compte mais ta verge était coincée contre mes fesses lorsque tu t’es couché sur moi pendant la fusillade.

– Je suis désolé Marie, mais c’était pour te mettre à l’abri des balles.

– Tu ne pensais pas à autre chose ? Moi, en tout cas je veux sentir ton gourdin qui me protégeait !

Sans hésiter, je pris son bâton des deux mains caressant son gland et ses bourses. Pierre écarquilla ses yeux et gémit.

– Marie, ce n’est pas raisonnable !

– Je sais, mais je veux te baiser, chose bizarre, je n’ai plus peur de toi. Regarde-moi et dis-moi que je suis encore belle !

– Oui Marie, tu es belle, je suis heureux de constater que la vue de mon sexe ne t’effraye plus.

– Non Pierre, ça doit être le choc dû à l’attaque dans le champ.

Je continuai à le masturber, Pierre voulut écarter mes mains mais je n’abdiquai pas. Pierre me souleva, il cherchait à me donner son sexe, mais se retint juste avant de copuler car il n’était pas protégé. Il me bloqua contre la paroi de la douche, il inséra ses doigts dans mon vagin, je devins folle de désir. Notre lutte pour toucher nos sexes eut raison de la tension de Pierre. Il éjacula contre mes cuisses, malgré les jets abondants, son sperme se perdit dans l’écoulement de l’eau. Je récupérai seulement quelques gouttes, que je portai à ma bouche. Mais Pierre continua à me masturber et pinça mes tétons. Je criai comme une possédée et sans son assistance je me serai écroulée dans sa douche.

Mes cris alertèrent Délia et ma nièce qui entrèrent dans la salle de bains. Délia tenta de couvrir les yeux d’Antoinette, mais ce fut trop tard ! Elle dut croire que Pierre tenta de me violer.

– Non ma chérie, criai-je, ce n’est pas ce que tu crois ! c’est moi qui …

– Antoinette et Délia ! sortez s’il vous plaît ! Laissez-nous finir !

Pierre coupa l’eau et sortit de la douche. Il ne semblait pas conscient d’être nu, il me tenait toujours entre ses bras. Les filles sortirent de la pièce, Pierre avait toujours une attirance pour ma cyprine qui coulait abondamment, je ne sus pas comment mais il me souleva pour porter mon sexe à sa bouche. Je me retins aux barres fixées dans le mur, pendant qu’il suça mon clito, il ne s’arrêta qu’après que j’eus un nouvel orgasme et me déposa sur le sol.

– Pierre comment fais-tu pour satisfaire tes femmes ? Maintenant je connais la réponse ! dis-je. Tu es une machine à sexe ! Merci.

– Je n’ai fait que te satisfaire, répondit-il, je te signale que c’est toi qui es venu me rejoindre.

Il me tendit un essuie et je sortis pour rassurer Délia et Antoinette.

– Marie, j’ai cru que tu te faisais violer ! Mais j’ai compris trop tard que tu jouissais !

– Ma puce, c’est moi qui voulus profiter de Pierre.

– Oui, dit Délia, nous sommes rentrés car les gardes nous ont prévenus de l’incident dans la plantation, Dieu merci, vous n’êtes pas blessés !

– Oui, dis-je, c’est sans doute à cause de l’adrénaline que je n’ai pas su me maitriser. Pardon si je vous ai choquées.

Ma nièce m’embrassa et me demanda tout bas :

– Tu as vaincu tes cauchemars ! J’ai entendu que tu as bien joui !

– Oui, Pierre a effacé mon aversion pour les hommes, non ! seulement pour un homme. Je ne pense pas être guérie, mais je m’améliore.

Pierre arriva ayant ceinturé l’essuie mais qui ne cachait pas la proéminence due à son sexe dressé. Délia se précipita sur lui.

– Oh ? Pierre je suis soulagée de voir que tu es intact. J’avais cru comprendre que tu étais blessé. On m’a montré les lambeaux de ta chemise plein de sang.

– Non Délia, c’est un des gardes qui a été atteint, j’ai utilisé ma chemise pour arrêter l’hémorragie.

Délia, le prit dans ses bras, l’embrassa à pleine bouche et saisit son sexe à travers le tissu. Antoinette et moi restions sidérées, ainsi Délia venait de montrer qu’elle aussi affirmait ses droits sur son patron !

Ma nièce et moi, sortirent de la maison, nous étions toutes deux encore sous l’emprise de nos émotions.

– Tata, je suis heureuse pour toi ! raconte-moi ton histoire depuis le début !

– Oh ! ce n’est pas compliqué, nous étions dans la dernière parcelle prévue pour la plantation. Pierre creusait un trou pour simuler la profondeur et examiner l’humidité du sol lorsque nous fûmes attaqués par des hommes en uniforme mais sans signes distinctifs. Un de nos gardes nous intima l’ordre de se coucher. Pierre se coucha sur moi pour me protéger. Il avait déposé sa chemise, et j’avoue qu’il était beau et sexy. En se couchant sur moi je sentis son sexe tendu contre mes fesses. Malgré la situation dramatique, je ne pensai à rien d’autre que sa verge labourant mon postérieur. Nos gardes eurent la supériorité et Pierre soigna un de nos gardes sérieusement blessé avec sa chemise. De retour à la maison, j’ai profité de sa présence sous la douche pour prendre mon plaisir.

– Et vous avez fait l’amour ?

– Presque ! il ne m’a pas pénétré ! Mais il m’a fait jouir intensément. J’avoue que c’était délicieux. J’ai réussi à donner du plaisir à Pierre avec mes mains. Le reste tu as vu et entendu !

– Que vas-tu faire maintenant ?

– Je ne sais pas ! Peut-être reprendre depuis le début et profiter de son engin bien protégé !!

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