Chapitre 31. – La visite nocturne d’Antoinette
### Antoinette ###
Je devenais folle de désir, Pierre nous avait raconté en détail l’agression dans la plantation et puis j’avais entendu les cris de Délia. Toute la journée je fus prise de tremblements de désir que je ne pus maitriser.
Le soir, je crus que Délia et Marie resteraient avec Pierre mais à ma grande surprise Pierre voulut rester seul.
- Non, dit-il je voudrais me reposer et garder mes distances vis-à-vis des membres du personnel.
Je me dis qu’il y aurait peut-être une chance que je puisse assouvir mon désir de sexe sans que Délia et Marie ne se mêlent au débat. Je dus patienter et lorsque tout le monde eut rejoint sa chambre, je restai encore longtemps afin d’être sure que personne ne viendrait rejoindre Pierre.
J’entrai très doucement dans la chambre où Pierre se reposait et défis mon pagne avant de m’approcher de son lit. Mes jambes couvertes de mon jus brillaient sous la faible lumière de la veilleuse, je ne pus résister à l’envie de me caresser. Mes doigts entrèrent en contact avec mon bijou après avoir écarté mes lèvres intimes, je dus maîtriser mes gémissements pendant que je me masturbais.
Pierre était couché sur le dos sans que le drap ne couvre son corps. La vue de son sexe au repos m’enhardit et j’osai le toucher et défis la peau qui couvrait le gland. Je fus surprise de la vibration de sa hampe alors que Pierre continuât à dormir. Je voulus lubrifier son bâton et pris un peu de ma crème qui coulait d’entre mes jambes. Mes doigts humides provoquèrent la réaction que j’espérais : Son sexe se redressa et je pus masser son gland qui gonfla encore plus au contact de mes doigts.
J’étais toujours debout au pied de son lit et j’eus l’intention de m’empaler sur son chibre et profiter pour me masturber sans qu’il intervienne. Son gland n’était plus qu’à quelques centimètres de mon intimité, lorsque je me sentis soulevée par des mains vigoureuses.
Pierre souffla de surprise et à sa réaction je compris qu’il ne m’avait pas reconnue.
- Non, Délia pas ce soir ! murmura-t-il.
- Pierre, c’est moi Antoinette, laisse-toi faire, j’ai envie de toi depuis hier soir. Je prendrai mon plaisir et te donnerai des caresses si tu veux.
Je parvins à agripper son pénis et le massai sans discontinuer, pour mon grand plaisir, il me laissa faire et au bout de quelques minutes son sexe avait durci et se dressait dans toute sa splendeur. Je pus m’empaler avec violence mais je ne pus éviter de crier.
Mes cris alertèrent Marie et Délia qui se précipitèrent dans la chambre. Elles étaient totalement nues, leurs tétons dressés et sans doute s’apprêtaient à passer une nuit de jouissances entre filles. Sans dire un mot, elles glissèrent leurs mains sur mon corps empaumant mes seins et je sentis même des doigts qui vinrent caresser mon bijou.
Ce fut trop fort ! J’eus un orgasme soudain qui inondât le ventre du blanc. Je crus me retirer mais ce fut sans l’accord des deux femmes.
- Continue, dit Marie.
- Non, dis-je, je n’ai pas pris de protection, je ne veux pas qu’il éjacule dans mon corps.
- Je vais arranger ça dit Délia, elle ouvrit le tiroir de la table de nuit et revêtit le sexe dressé d’une protection.
Pierre complètement réveillé se laissa manipuler et assistât en serrant mes hanches contre son ventre. Je sentis la bouche de Marie sucer mes seins et sans délai, j’eus un second orgasme. Sans doute mon vagin fut parcouru de violents spasmes et Pierre cria son plaisir.
Je sentis le condom se remplir de sa semence. Je pus me dégager. Marie défit le caoutchouc du pieu encore vibrant de Pierre. Pierre ne voulut pas me laisser partir, il me soulevât pour amener mon sexe devant sa bouche. Il aspirât mon jus avec gourmandise et introduisit sa langue entre mes lèvres intimes.
En tournant ma tête je vis que les deux femmes léchaient les restants de sperme du blanc et le massèrent pour provoquer une nouvelle éjaculation. Mais le directeur ne céda pas aussi rapidement à la montée de son désir.
Ce fut de longs moments de caresses et de soupirs, Marie cria son plaisir sous les manipulations de Délia, pendant que Pierre me fit jouir pour la troisième fois. En finale, je restai dans les bras du blanc entourée des deux femmes que me caressaient avec douceur.
Au matin, Pierre en se réveillant fit bouger le lit et de ce fait, fit sortir Délia et Marie de leur sommeil. J’étais réveillé mais je ne voulus pas lâcher l’étreinte du patron. Pierre me regarda avec son regard plein de désir.
- Antoinette, c’est toi qui as profité pour te glisser dans mon lit cette nuit ?
- Oui, je ne pouvais plus maîtriser mon désir et je voulus me masturber en utilisant ton bâton pour me calmer.
- Tu as pu réaliser ton plaisir ?
- Oui, mais je fus dérangé par Délia et Marie qui voulurent profiter de ton sommeil.
- Alors reste encore près de moi, je vais te caresser pour que tu jouisses.
Il approcha sa bouche et ses mains de mes seins. Je sentis ses dent mordiller mes tétons ce qui déclencha de puissantes vibrations, je crus bon de saisir son pénis et le serra de toutes mes forces. Sans vraiment le vouloir je dus lui faire du mail et Pierre libéra mes doigts pour diminuer la pression.
- Antoinette, laisse-toi aller, profite.
- Pierre, aujourd’hui c’est jour de repos, alors laisse moi rester près de toi. Je veux encore sentir ta verge dans mon corps, mais je ne veux pas que tu m’engrosses.
- Je te protègerai, répondit-il.
En descendant ma main vers son sexe, je sentis qu’il était à nouveau tout érigé et donc prêt à copuler.
Il prit un nouveau condom dans sa table de nuit.
- Aide-moi pour l’enfiler, demanda-t-il.
Jamais je n’avais vu la manipulation d’aussi près. Je mémorisai en détail toute l’opération. Ce n’est que lorsqu’il était couvert qu’il prit une peu de l’humidité de mon vagin sur ses doigts pour lubrifier mon intimité.
- Viens,
- Oh, Pierre c’est bon ! J’ai rêvé de cela si longtemps !
Je voulus bouger mes jambes pour profiter de la communion, mais il bloquât mon corps et c’est lui qui fit les allers-retours. Je mis mes bras autour de son cou pour caresser son visage.
Il ne fit aucune violence, je sentis le plaisir monter dans mon ventre.
- Oh, Pierre, merci je vais jouir !
- Non, Antoinette, je vais ralentir, c’est trop vite !
Il prit ma bouche et inséra sa langue entre mes dents. Je n’avais encore jamais goûté sa bouche, je devinais qu’il avait bu mon liquide dont je connaissais le goût pour avoir léché ma main lors des caresses de mon intimité. Puis Pierre repris ses mouvement et cette fois-ci il continua jusqu’à ce que je jouisse et même au-delà.
Mon vagin devait le serrer au-delà du supportable et il éjaculat en grondant. En se dégageant il voulut se défaire du préservatif mais je le devançais et récupéra le caoutchouc rempli de sa semence. Pierre examina quand même l’objet.
- Je voulus m’assurer qu’il était intact, je ne veux pas que tu sois engrossée.
- Merci, Pierre, jusqu’à présent malgré les nombreux viols des soldats, je n’ai pas eu d’enfants mais je ne voulais pas risquer un enfant de toi
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