Chapitre 32 Antoinette (2)
### Pierre ###
Ce matin à mon réveil, je constate qu’Antoinette est toujours dans mes bras. J’ai le souvenir d’une nuit torride et rien que ce rappel me fait bander. La maison s’anime et bientôt je vois la porte de la chambre qui s’ouvre doucement pour voir apparaitre le visage de Marie suivi de Délia.
- Bonjour Pierre, Je croyais que tu allais dormir seul !
- Oui, mais cette nuit, j’ai eu de la visite.
- Antoinette, réveille-toi, dit Marie, tu dois te lever pour préparer le petit-déjeuner.
La jeune fille s’étira lentement, essaya de couvrir sa nudité en vain. Ce fut Marie qui lui tendit son pagne qui trainait par terre. Elle prit le vêtement sans se presser, je vis que ses tétons étaient encore plus tendus et sans me provoquer intentionellement elle passa ses mains sur sa poitrine en me regardant fixement.
- Ce matin, je compte continuer l’inspection de la plantation, Marie et Délia, vous m’accompagnerez.
- Et moi ? demanda Antoinette.
- Tu t’habilles et tu prépareras le repas déclara Marie avec autorité.
Je sortis du lit, me rendant compte que j’étais tout nu. Je vis des regards gourmands des femmes vers mon érection. Aucune ne fit de geste ni de commentaire… Je pris mon short et un t-shirt et ne fis rien pour provoquer les filles.
En arrivant à la voiture, Marie démissionna le chauffeur pour prendre elle-même le volant, Délia s’installa d’autorité sur le siège passager, me laissant la place à l’arrière. Marie conduisit lentement, ce qui me permit d’inspecter les parcelles et constater qu’elles étaient en bon état.
Les ouvriers étaient occupés à récolter les fruits et les chargeaient dans les remorques. Puis Marie bifurqua vers les terrains à planter pour s’arrêter dans un champ complètement isolé. Se rendait-elle compte que les gestes produits en conduisant avaient défait le haut de son pagne, sans doute, mais elle ne fit rien pour cacher le galbe de son sein. Délia se retourna pour croiser mon regard et constata que mes yeux étaient rivés sur la conductrice.
Je croyais bien faire en demandant un arrêt, mais mon ordre fut sans doute mal interprété. Marie immobilisa le véhicule et en descendant se défit entièrement de son vêtement et ouvrit la porte arrière pour s’installer à mes côtés.
Quoique je compris ses intentions je demandai pour la bonne forme :
- Tu as vu quelque chose ?
- Non Pierre, mais je constate que ton short est tout tendu, je profite que nous sommes isolées pour te calmer.
Elle défit prestement ma braguette et libéra mon soldat. Délia comprit la manœuvre et nous rejoignit à l’arrière. Je fus donc assailli par quatre mains et bientôt deux bouches qui toutes voulaient me porter au paroxysme. Etait-ce mon excitation depuis un long moment, mais les cajoleries des deux femelles en rut déclenchèrent une éjaculation. Marie fut la plus rapide et recueillit mon sperme sans salir mes vêtements ou le siège. Délia se précipita pour profiter également de la distribution, ce qui entraina un sursaut d’énergie à mon érection.
- Les filles calmez-vous, bientôt nous serons découverts et toute la plantation sera au courant.
- Non Pierre, ici nous sommes tranquilles, nous pouvons voir de loin si quelqu’un s’approche. Laisse-nous profiter et donne-nous notre plaisir.
Délia prit ma main pour la placer entre ses jambes et inséra profondément mes doigts dans son vagin totalement humide. Très rapidement son corps ondula sur mes doigts et sans délai obtint une jouissance. Marie finit par me lâcher mais c’était pour plonger sa bouche sur le bijou de sa complice, je vis ainsi de tout près les caresses des deux femmes tout en recevant encore les gâteries de Délia. Ce fut trop puissant et je crachais le restant de mes bourses dans sa bouche. Je parvins à libérer ma main mais Marie demanda sa récompense et je dus lui donner un orgasme rapide en la caressant sur son clito et son anus. Les deux femmes restèrent ainsi pendant de longues minutes, gardant en main mon chibre qui vibrait encore.
- Merci Pierre dirent-elles de concert. Ce soir on remettra le couvert, mais peut-être voudras-tu qu’Antoinette participe à notre jeu ? à trois, ça sera encore plus excitant !
- Vous êtes vraiment vicieuses !
- D’accord, mais on profite de l’absence de tes épouses. Je ne crois pas qu’on puisse encore profiter de toi en leur présence dit Délia.
- Oui, Amina a permis à Délia de la remplacer, mais Marie et Antoinette ne font pas partie de l’accord.
- Alors on ne dira rien répliqua Marie, mais laisse-nous profiter encore Pierre !
Je finis par m’arracher de leur étreinte et sortit de la voiture question de remettre de l’ordre dans mes vêtement et vider ma tête des pensées lubriques. Mais c’était inutile, ma verge resta tendue, Délia sortit de la voiture également et voyant mon ventre toujours tendu fit un geste en ma direction. J’eus le temps d’arrêter sa main et à mon regard elle comprit que ce n’était pas le moment de continuer.
Néanmoins je gardai sa main et l’attira pour lui donner un baiser sur la joue. Marie vit le geste de tendresse et vint se lover contre moi après avoir remis son pagne correctement.
- Pierre, il est évident que tu n’es pas calmé, allons dans la case de passage, tu désires peut-être qu’Antoinette te détende ? c’est son corps encore nubile qui t’intéresse ?
- Arrêtez de fantasmer ! J’admets que vous m’excitez et que je bande puissamment, mais nous sommes dans la plantation et je ne répondrai pas à vos provocations tant que nous ne serons pas à l’abri dans une chambre.
- C’est noté patron dit Délia, mais tu devras accélérer l’inspection car je ne parviens pas à me concentrer sur la santé des plants, je ne vois que ta verge raidie dans ton short.
- Oui, je comprends dis-je, mais avec vos pagnes qui glissent et vos seins qui se découvrent comme par accident, je ne peux pas dominer mon corps. De toute façon le soir va bientôt tomber, autant rentrer à la villa de passage.
Je pris le volant et j’espérais nous conduire rapidement vers notre logement, mais Marie, impatiente profita d’être sur le siège passager pour glisser sa main vers mes cuisses et remonta vers ma verge pour l’agripper. Elle parvint même à descendre ma braguette et je fus quasi certain qu’elle m’aurait donné une jouissance si Délia n’eut pas stoppé son mouvement.
- Non Marie, tu triches, je suis trop loin derrière pour participer ! Tu attendras qu’on soie arrivées.
Je sentis que Marie, à contre cœur, suspendit ses caresses. Elle corrigea ma tenue ensuite je vis qu’’elle plaqua ses mains entre ses jambes. Je me demandai si elle n’allait pas se masturber par dépit. Le trajet ne fut pas assez long et c’est en sortant de la voiture que je vis la tache d’humidité à son pagne.
À peine la porte refermée, les deux femmes tombèrent le vêtement sans même voir qu’Antoinette les reluquait et n’hésita pas à faire de même. Elle bouscula les deux excitées et se précipita cers ma personne. Cette fois-ci je ne pus me défendre, les trois bouches m’agressèrent et je ne sus pas qui emporta la lutte pour avaler ma semence. Mais toutes les trois continuèrent à lécher mon sexe qui se redressa illico.
Il me sembla qu’Antoinette fut la plus vive et parvint à m’empaler sans hésitation. La copulation fut violente mais elle ne succéda pas à me faire jouir à nouveau. Finalement je soulevai l’agresseuse et porta son ventre devant ma bouche. Mes lèvres furent instantanément couvertes de cyprine que je bus avidement. Antoinette se saisit de ma tête pour la plaquer plus intensément entre ses jambes. Ma langue parvint à la pénétration entre ses lèvres intimes sans difficulté et en quelques lèches elle cria son plaisir.
Je vis par la suite, que les deux ainées suçaient à tour de rôle ses seins ce qui amena la petite servante à un autre climax de plaisir. Elle fut abandonnée contre ma bouche pendant que des deux amies se mirent en tête-bêche pour se calmer mutuellement. La vue et les cris m’excitèrent outre normalité et Antoinette pris mon chibre dressé en bouche. Mais malgré son expertise je ne pus atteindre un nouvel orgasme et elle abandonna la fellation pour se coucher contre mon flanc.
Je ne réalisai pas combien de temps nous restâmes ainsi dans ma couche mais ce fut Délia qui plaça ses lèvres sur ma bouche pour me réveiller.
- Pierre, réveille toi, tu avais promis de finir l’inspection, les ouvriers attendent dehors pour nous accompagner.
- Oui Délia, répondis-je, on se rhabille et au travail.
Antoinette me fit encore un baiser sur mon ventre et quitta ma couche à regret retournant à l’office pour préparer le repas du soir. J’eus vraiment du mal à garder mon esprit clair durant ‘inspection de l’après-midi. Mon érection me gêna durant toute la balade et Marie et sa complice me regardèrent en attendant la fin de la journée.
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