• La liste était longue. Il s’est endormi. Je suis partie sans l’absolution. Alors on peut continuer nos bêtises.
• Greta, tu l’as hypnotisé ?
• Facile, il passe toutes ses journées et toutes ses nuit à la Cène pour la B4. Du coup j’ai demandé à Patrice, trop fatigué aussi, qui a demandé à Lou de chercher à résoudre notre problème de notice. Mais je ne sais pas si elle a bien compris parce qu’elle veut nous voir, en toute confidentialité bien-sûr.

Je me rends donc à la Cène de Sylvania où je suis censé être convoqué en tant que frère d’Énola par rapport à la B4 où elle apparaît. Dois-je y figurer aussi ?

• J’ai dû prononcer mes vœux pour garantir le secret de notre entretien. Je suis Sœur Louane maintenant, de l’Ordre des Novices, toujours.

Un son de cloche se fait entendre. Quelqu’un me prend la main, c’est Greta. Je pensais être seul avec Lou. Il se passe des choses.

• Marius, combien de coups de cloche as-tu entendu ?
• Un seul, à l’instant.
• Ça y est, c’est fini. Allez vérifier.

Et Greta m’entraîne en dehors du bureau de Lou, on sort du bâtiment pour se rendre au Palace, dans sa suite privée.

• Greta, que s’est-il passé ?
• Hypnose. Je ne savais pas que tu étais aussi réceptif. Tout s’explique. On doit terminer la procédure. Enlève tous tes vêtements.

Et on se retrouve nu à nue. Elle s’agenouille pour me stimuler avec sa bouche. Je me penche pour regarder ses belles courbes callipyges et l’effet est immédiat. Elle se met alors en position sur le lit, sur le dos, jambes écartées et je me regarde rentrer doucement en elle. Mais elle ne dit rien. Ni moi non plus. On ne ressent rien. On est déçus. On reste là, l’un dans l’autre. Je prends son visage, je regarde ses yeux et elle me dit :

• C’est donc seulement dans l’Invisible que la magie opère. Ou pas. Ou plus ?

Je me retire et je la retourne pour plonger mon visage entre ses fesses où je crache toute ma salive pour remonter ensuite m’installer très lentement dans son séant. Je l’entends gémir, elle s’accroche aux draps, sa souffrance me fait jouir et je me retire sous ses râles de soulagement et ses pleurs. Elle s’agrippe. Je reste sur elle :

• Marius, par ma soumission et ma souffrance, notre sortilège est levé.