Chapitre V
Je perçois aussi l'activité sous sa peau. Un volcan bouillonnant prêt à jaillir, ensevelissant tout sur son passage. J'ai peur mais paradoxalement sans avoir peur. Fanette est une vulcanologue qui me guide vers son dangereux cratère, me fait comprendre par gestes comment me comporter. De son autre main, elle déploie mes doigts et les place sur ses grandes lèvres...
_ Caresse-moi, me souffle-t'elle, déjà haletante.
Je ne me fais pas prier... Nom de nom, elle est déjà toute mouillée. Je glisse mon majeur sur sa large ouverture charnue... Quelle souplesse dans cette chair gonflée... Et quels mystères... Un amas souple et chaud s'offre à mes phalanges, comme un fruit défendu. Excité, j'accentue la force de mes mouvements.
Fanette se met à trembler encore plus, et gémit. Comme elle je me mets à suffoquer, j'ai envie de la tirer... Soudain, je me mets à râler. Sa main vient d'empoigner ma bite.
_ OOOHH !!!! FANETTE C'EST BON !!!!! hurlais-je, au bord de l'extase.
En guise de réponse, elle m'offre un sourire à travers son visage convulsé, ultime preuve d'amour avant que nous sombrions tous les deux. Et sans prévenir, elle se couche sur le dos, avant de me lança cette phrase-choc dont je me souviendrai toute ma vie :
_ MMMHHHH !!!!!!!!!!!!!! BAISE-MOI !
Feulante comme une tigresse, elle tend sa main gauche. Sans le réaliser, je la saisis. Elle m'entraîne vers elle. Je m'agenouille avant de m'allonger bientôt sur son corps, et de nous embrasser passionnément. Nos lèvres s'aspirent longuement, jusqu'à ce que le bout de nos langues se mettent à danser. Nos souffles chauds se mélangent à des sons rauques...
C'est la folie, nos organes génitaux ne pourront plus tenir bien longtemps... C'est alors que j'entends un long murmure. Fanette vient de me souffler une longue phrase dans l'oreille, incompréhensible car déformée par la fièvre érotique. Tout juste en perçois-je la fin :
_ " ( ... ) vas-y, tire-moi ( ... ) t'es le meilleur.
Sans hésiter, je guide mon instrument vers la vulve, et je frotte du gland le prépuce quelques instants, avant de la pénétrer. De long sanglots s'arrachent de sa gorge, et j'aime tellement ça que je continue. Mais mon pénis commence à me titiller, je risque d'éjaculer d'un moment à l'autre. Alors enfin, je m'enfonce en elle.
Mon pénis glisse dans cette chatte mouillée, qui se resserre autour de mon gland. Je ne peux aller plus loin. Ses contractions sont si douces et intenses à la fois, que j'en râle de bonheur. Je me sens à la fois prisonnier, mais protégé dans cette féminité qui me veut tant de bien. Aussitôt, ma bouche exprime le confort offert.
_ AAAHHHH !!!!!!!!!!!!!
C'était merveilleux, Fanette est sous moi, tremblante comme une feuille. Sa poitrine gonflée, tétons pointés contre mon torse, fait comme deux coussins d'amour me réchauffant le coeur. Nos caresses enfiévrées nous stimulent encore plus, et bientôt, ma queue peut rentrer davantage. Je m'engouffre alors en elle, et je jouis pour la première fois de ma vie.
Comment ai-je crié ? Je ne m'en souviens plus moi-même. J'ai seulement poursuivi les va-et-vient dans ses entrailles, la faisant soupirer et hurler comme jamais je ne la crûs capable. M'essoufflant avec elle dans cette délicieuse fuite en avant, j'accélère, comme pour rendre tout retour impossible. Je suis agenouillé et je lui tiens les jambes, nos cuisses et nos ventres claquent, ses cris redoublent...
_ AH-AH-AH... FA-NE-E-ETTE... JE-VEUX-TE-BAI-S-S-ERRRR !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Ces paroles sortent de ma bouche sans je puisse les contrôler, et l'extase s'amplifiant me fait délirer. Je vole, je suis au paradis, plus rien ne peut m'atteindre. De mon tréfonds, je perçois seulement les décharges irriguant mon corps, et celles de Fanette enrobant ma bite. Je suis proche de sortir de mon corps, plus que quelques instants... Une poignée de secondes... Et puis soudain...
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