Clap. La rue était devenue déserte et silencieuse. Seul le vent murmurait des paroles inaudibles dans les oreilles des personnes ordinaires. Les passants restaient immobiles, figés, tendant l'oreille à cette chanson nouvelle comme si le temps s'était arrêté. Cette brise se promenait de maison en maison et errait à la recherche de quelque chose ou de quelqu'un. Elle sentait que le temps de la quiétude allait bientôt prendre fin. Le silence. La paix. Le calme. Son souffle s'arrêta lorsqu'il la vit. Elle était là devant lui. Des semaines de courant d'air étaient passées et le zéhyr l'avait enfin trouvée. C'était elle. Marion. Enroulée d'une toile blanche et d'une crinière rougeoyante. Le vent s'y engouffra et la fit danser, tournoyer.