— On va avant de passer aux questions mettre les choses au clair.

— Oui monsieur.

— Oui Maître. Désormais, à chaque fois que tu adresseras à moi, si tu passes l’entretien et le test, c’est Maître. Ok ?

— Oui Maître.

— Parfait. Mais il n’y a aucune raison que tu échoues.

Il s’installe à sa table et sort une pochette, des feuilles ainsi qu’un stylo.

— Bienvenu à l’école des plaisirs, je m’appelle Marx Klemm et j’ai fondé ce lieu, il y a dix ans. Un endroit entre une maison close et donc une école. Tu as vu que pour rentrer ici, c’est via les réseaux sociaux car tu te doutes bien que c’est mal vu par l’Etat bien qu’ici tout le monde est libre. Je gère pour le moment, une dizaine de poulettes entre dix-sept et vingt-six ans. Tu comprends ? Des questions ?

— Oui, pourquoi pas plus âgés ?

— J’aime les jeunettes.

— Et sans indiscrétion, elles sont toutes françaises, Maître ?

— Oui. Bref, ici, elles sont sous la supervision de moi. Les nouvelles pucelles apprennent grâce aux anciennes deux fois par jour. Entre-temps, j’exige la perfection de la fellation avant et après manger. Et des hommes viennent aussi se soulager. Le week-end, j’invite l’une de vous quelque part.

— On peut sortir en ville ? Vous m’avez dit que la durée des leçons serait de trois mois minimum Maître.

— Trois mois coupés du monde c’est vrai mais à la fin, on fait un bilan en quelque sorte pour savoir comment se sont déroulées ces séances de découvertes. Bien, toute nue.

— Maître ?

— J’exige de te voir nue ! Un entretien où tu te dois d’être à l’aise, sinon, je me demande ce que tu fous ici.

— Par curiosité Maître et je cherchais des plans Q avant de tomber sur votre page…

— Sérieusement ? L’idée d’aller montrer son cul à des jeunes prépubères ou des vieux qui ont la queue molle, me rend dingue. Ici, tu seras entourée d’hommes de mains, d’expériences ma jolie. Allez, dévoile-moi ce beau corps et sans te retourner.

— Oui Maître.

Une fois nue, j’attends debout ce qui me semble une éternité.

— Mignonne comme un cœur. Ton prénom, nom, âge et lieu de naissance.

— Zoé Nils, dix-huit et Paris Maître.

— Où tu habites désormais ?

— Grenoble Maître.

— Tes passions dans la vie hormis sucer ?

— Le dessin Maître.

— Tu as déjà dessiné des corps nus ?

— Non, Maître.

— Tu veux apprendre j’imagine ?

— Oui Maître.

— Tu travailles ou es inscrite dans une autre école ?

— Non, Maître. Enfin, j’ai quitté mon poste de serveuse qui m’aidait à payer mes futurs études…

— Tu aimes être nue ?

— Je n’ai pas l’habitude Maître.

— Je vois ça, tu as déjà couché ?

— Une fois Maître, l’an dernier.

Il note toutes les informations puis range la pochette. Il se lève pour décaler la chaise et palper mes seins.

— Avance contre la table.

— Oui Maître.

Une fois fait, il me penche brutalement, continue ses caresses en allant autant sur mes fesses que mon sexe. Je sens effectivement de l’expérience et mon humidité risque de se vite sentir.

— Hum, je sens que tu aimes ça et que tu seras parfaite. Tu veux que je continue pour sceller ton inscription ? Ou repartir pour continuer à côtoyer des hommes sans saveur ? Les femmes sont les clés de nos réussites.

Il me fait gémir en douceur tout en susurrant ses mots.

— Je veux apprendre Maître.

— Merci ma petite chérie. Une de plus dans ma collection ! C’est si excitant !

Il tape mes fesses puis j’entends la ceinture se baisser avant de ressentir son sexe contre mon anus. Il place mes cheveux sur le côté pour continuer de me murmurer d’un plaisir avide :

— L’inscription est brutal et c’est un passage obligé ma chérie. Tu as déjà goûté la sodomie ?

— Non, Maître…

— Tu vas aimer tu vas voir.

— Je ne sais pas si…

— Chut ma chérie, tu ne peux reculer. Si tu comptes t’enfuir à la fin des trois mois, je te punirais comme il se doit. Ne pleure pas, je n’aime pas ça !

Il me gifle avant de s’insérer violement. Il m’appuie durement contre la table en me laissant étouffer mes cris. C’est au-delà que ce que j’imaginais ! Pourquoi j’ai dit oui ?! Il me plaît c’est sûr mais j’ai peur tout simplement…et si je pars, c’est quoi les punitions ?

Il passe ensuite dans mon sexe pour éjaculer. Il me laisse en position en se rhabillant avant de se rassoir en fumant.

— Debout !

— Oui Maître.

— Je vais t’emmener ta nouvelle chambre ma putain. Les leçons commencent tôt.

— Et ma valise Maître ?

— On te donnera de quoi te laver les dents. Tu n’as pas besoin de t’habiller et si besoin une nuisette. Suis-moi, ne ramasse pas tes affaires, je vais les garder jusqu’à la fin de ton contrat.

Il rit et ouvre la porte. Je le suis dans le long couloir et je suis déjà perdu. Il descend à la cave, ouvre une autre porte dont les verrous ne sont pas encore fixés pour marcher le long de diverses autres portes avec déjà des noms. L’une d’elle est vide à gauche près du mur.

— Entre ma chérie, n’est pas peur.

— Oui Maître.

— Tu as un bon lit confortable, une salle d’eau rien qu’à toi et du chauffage. Entre vingt-trois heure et sept heure, je ferme chaque porte à clef et bien sûr la grande porte. Aucune de vous ne dois sortir, c’est clair ? De tout manière, des caméras sont disposer partout, oui même quand tu t’essuie le cul. Des scatophiles aiment ça.

— On est en ligne Maître ?

— Assez de question. On remonte !

— Oui Maître.

Il me montre les autres pièces utiles comme la salle de repas, les chambres de plaisirs et la salle des leçons. Puis, il me présente aux autres lors de l’une d’elle avant le repas. Il exige que je sois debout à ses côtés. Certaines filles sont battues et ont peur. Sont-elles vraiment consentantes ?