Réminiscence insupportable
« Il se place à ma hauteur avec son air de prédateur et retire le sotch. Il me caresse mes lèvres puis il sort une lame de sa poche pour couper la corde de mes pieds. Ensuite, il a remonte la lame vers ma gorge et écarte mes cuisses pour toucher mon entre-jambes.
— Coucou ma petite chérie. Je vois que tu ne bouges pas, tu sais donc que les filles sont soumises.
— Que voulez-vous ?
— Ne pleure pas, cela risque de m’énerver ma chérie. Ce que je veux ? Ton père me le devais. Tu ne sais pas où il est ?
— Non…demain je fête mon anniversaire, il doit normalement me rejoindre. Qui êtes-vous ? Ne me faite pas de mal…
— Ce n’est pas dans mon programme d’être doux ma mignonne. Tu me sers à payer la dette de ton traître de père. Et je suis au regret, de t’annoncer sa mort. Oui, tu ne savais pas où il était. Mais c’est une bonne nouvelle pour moi. Regarde.
Il sors son téléphone et me montre une photo de lui avec une balle dans la tête dans sa voiture. Je pleure et refuse d’y croire. Il continue à s’amuser et me filme en m’ordonnant :
— Je vais te filmer pour ta mère ma chérie. Dis-lui que tu es en vie, que tu vas bien. Mes hommes en prendrons soins d’elle. A toi ! Sinon, je te tranche la gorge.
— Oui monsieur…
— Oui Maître !
— Oui Maître…
— Je commence à tourner.
— Coucou maman…je vais bien. Ne t’inquiète pas. J’espère qu’on se retrouve vite, je t’aime.
Il range le téléphone mais continue de me menacer et me questionner.
— C’est si mignon. Donc tu ne sais rien de la vie de ton père ?
— Oui…
— C’était juste un convoyeur de coke pour moi. Il y a deux mois, il devait transiter une importante marchandise jusqu’en Espagne, malheureusement, il s’est fait choper là-bas. En cellule, j’ai réussi à le faire sortir moyennement un pot de vin à quelques flics et en réussissant à faire passer un des gars pour le coupable. En signe de remerciement, j’ai exigé de lui quelque chose que je n’avais jamais demandé aux petits passants comme lui. Il devait tuer mon frère dans un délais qui terminait ce matin. Je n’ose jamais le faire, j’ai pourtant plaisir à tuer, mais pour mon sang jamais. C’est si tu veux une dette pour moi. Tu comprends ?
— Oui …
— Oui qui ?!
— Oui Maître…il n’a donc pas réussi ?
— Si j’ai une livraison de chair fraîche, tu te doutes bien que non. Je me rappel de ce matin, je l’ai appelé en direct, il était paniqué et je lui ai annoncé : « Le temps s’est écoulé, mon fidèle ami. Tu as échoué et je vais désormais appliquer la sentence ». Il a pris une minute pour me répondre : « Marx, laissez-moi encore un peu de temps ! Je ne veux pas mourir avant… ». Je l’ai regardé droit dans les yeux et j’ai dit « La mort est plus douce, tu ne vas même pas la sentir passé. Et ce n’est pas uniquement ça que tu dois payer. Je m’en délecte d’avance de t’annoncer, que désormais, ta jolie fille sera une des mes trophées. La plus belle de toute. J’ai déjà hâte de la baiser et de la voir entre mes hommes. Promis, j’en prendrais bien soin et ta femme sera en sécurité, mes hommes la surveilleront pour qu’elle ne fasse pas de bêtise. Merci pour ces années de services. Adieu ! ». A peine finit, qu’un de mes hommes à moto, à tirer et pris son téléphone. La rue était vide et personne ne saura jamais rien.
Il se relève pour me prendre en photo de loin. Il revient et me dit :
— La dette est à vie et ta vie est entre mes mains. Ici, tu ne peux aucunement sortir. Tu ne seras pas seule, d’autres putains batifolent dans les chambres des plaisirs en haut avec des clients. Ici sera ta chambre, je t’expliquerais d’autres règles. Contrairement aux filles, qui sont volontaires et ne resterons plus tard à la fin du contrat, s’il elle le désire uniquement que pour ma beauté, toi, tu es mon bijou. Le plus cher, le plus rare et comme c’est autant une maison close, qu’une école, tu vas devoir bien apprendre car je vais plus te surveiller. C’est clair ?
— Oui Maître…
— Parfait. Tout ce que je demande, tu t’exécutes, compris ?
— Oui Maître…je ne pourrais jamais, au moins, revoir ma mère ?
— Jamais ma chérie. Et je verrais si tu peux lui écrire. Sinon, ça va perturber ton apprentissage. Bien, je vais libérer tes mains, tu te met debout et nue !
— Maître…s’il vous plaît !
— On ne me dis pas non !
Il me frappe sur le côté gauche et me libère.
— Debout salope !
Il se remet debout et frappe mon ventre avec son pied. Enfin, il se recule et attend. J’obéis avec angoisse et sa colère grimpe quand je suis lente. Il joue avec sa lame et taille ma joue avant de me forcer à le regarder.
— J’en ai vu passer des putains comme toi ! Mais d’aussi lentes, jamais ! Je sens que je vais avoir du boulot avec toi et ça serait dommage, de te buter et te donner aux chiens. J’aimerai au moins marquer ta chatte et ton cul !
— Oui Maître.
Il me lâche satisfait et je me soumet. Je ne suis pas à l’aise avec mon corps et je sais pertinemment que je suis au piège…le viol est inévitable et j’en veux à mon père d’avoir travaillé pour ce fou ! Même si, il ne savait pas que je serais une victime…
Il jette sa lame sur le lit et me touche. Par peur, je ne bouge pas.
— Ecarte tes cuisses !
— Oui Maître…
— Ne bouge pas.
— Oui Maître…
— Merci ma mignonne. Tes seins sont ferment, tout ce que j’aime.
Il s’amuse et se place dans mon dos. Ses mains continuent sur mes seins et l’autre claque mes fesses puis quelques doigts s’avancent vers mon sexe. S’en prendre garde, il me doigte vivement et je gémis.
— Hum, petite chatte pour une putain comme toi. Tu n’as jamais couché ?
— Oui Maître…
— J’ai si hâte de la déchirer. Tu vas avoir qu’elle âge demain ?
— Dix-sept ans…Maître
— Fesses en l’air sur le lit.
— Oui Maître…
Je m’exécute et il me penche plus.
— Ne bouge toujours pas ! Bras devant, merci ma chérie. En levrette. Avant de te baptiser et te faire mienne, je vais te punir au nom de ton père.
Il ouvre la porte et la referme avec une chaine en fer rouillée quelques peu abimée dans sa main droite. Il me maintient fortement sur le matelas et me rassure d’un air malsain.
— Chut ma chérie, tout va bien se passer.
— Pitié ! Maître !
— C’est la faute de ton père, ne l’oublie pas ! Je lui ai promis de prendre soin de toi, alors ne me déçoit pas.
J’hurle pendant qu’il me frappe une dizaine de fois autant sur le dos que sur les fesses. Rapidement, il dépose la chaine à côté de la lame, me tiens toujours et je sens son sexe contre mon anus.
— C’est quoi ton petit nom ma jolie ?
— Violette Maître…
— Hum, une petite fleur sauvage qui fait frétiller ma queue. Tu sens qu’elle veut se frayer un chemin dans ton cul ?
— Oui Maître...
— Je peux toujours te demander d’accepter que je te déchire mais c’est moi qui m’accorde l’accès. Alors, Violette, bienvenue à l’école des plaisirs ! Je te ferais la visite, rencontrer les autres et inscrire ton nom de nouvelle putain sur ton jolie cou.
Il caresse ce dernier puis il empoigne l’un de mes seins avant de rentrer violemment. Il prend plaisir puis éjacule dans mon sexe. Il se retire et me retourne pour me gifler avant d’exiger :
— Suis-moi, tu ne parles pas ! Eh bien-sûr, tu racontes aux autres que tu es volontaire, compris ma chérie ?
— Oui Maître…
— Merci ma chérie. Ton père serait si fier de toi ! «
J’admire comme les autres, son courage de raconter son traumatisme après deux ans de silence.
— Il faut vite se barrer ! Je ne sais pas comment vous faites pour vivre cet enfer ! Même toi Manon !
— On ne te l’a expliqué, on ne peux pas quitter sans en payer le prix !
— J’ai bien compris Manon…
— Je ne vous ai pas tout dit les filles.
Violette lève enfin son regard et fait le tour de la table.
— On t’écoute l’encourage Alba
— J’ai peut-être la solution. Je refusais jusqu’à maintenant de voir la réalité en face…Mais si personne ne peut l’atteindre, moi je pourrais sans doute. En fait, un jour, il m’a expliqué que je pourrais être sa femme si je me montrais encore plus docile. Une femme avec un peu plus de liberté comme être dans son lit et vivre chez lui. Je viens d’y penser que je me dois d’être celle qu’il attend car une fois dehors, je pourrais contacter ma mère, mes amies et…Oui, je suppose qu’ils seront surveillés Louise ! Mais je ne pense pas pour les profs ? Enfin, il faut essayer…Cela risque de prendre du temps c’est sûr. Hors, une fois derrière les barreaux….
On reste une nouvelle fois ébahis. Elle se montre plus déterminé et c’est Manon qui temporise.
— Merci de ton courage ma belle, on va y réfléchir. Pour le moment, parlons d’autres choses, ne fatiguons pas plus notre nouvelle amie.
— Merci Manon. Oui, prenons le temps, je suis coincé comme vous et j’ai besoin de temps pour analyser tout ça. Trop d’informations d’un coup me donne mal à la tête. Peut-être que moi, aussi, je trouverais des solutions.
Le repas reprend sur une note plus positive disons. Les sœurs se sont accordées pour se dévoiler un autre jour.
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