La genèse
J’observe mes jeunes putains toujours avec fierté à mon bureau par les caméras disposer dans chaque chambre. Zoé est encore novice mais je sens son potentiel. J’en ai vu des filles passés chez moi et je ne sais pas laquelle je préfère.
En regardant dans celle de Violette, je suis surprise qu’elle se montre plus salope et ma queue est au garde à vous. Je repense à tous ces moments où je l’ai fouetté, fessé, dompté et niquer. Deux ans de pure souffrance pour elle et pure plaisir pour moi.
Dix-neuf ans, une beau corps de femme de vingt-deux ans et ce qui m’excite c’est le fait qu’elle est la seule que j’ai prise qui ne vient pas de dehors. Je veux en faire ma femme et je lui ai miroiter qu’elle pourrait voir le monde.
Elle est si naïve ! Si elle savait qu’une fois mariée, elle sera encore plus sous mes ordres. Elle pondra des gosses mâles pour fonder ma famille. Mon clan pour concurrencer celle de mon frère. Les filles seront baiser et ainsi sera la vie.
Je ferme mes yeux et sors ma queue pour me branler en pensant à mes plans. Si parfait ! Dire que je ne pensais en arriver là. Je me rappel de la création.
Il y a treize ans, on en avait marre avec mon jeune frère, de jouer les passeurs de drogues et quand on baiser des putes en Espagne, je lui ai proposé de crée le nôtre. Après avoir accepté, il fallait trouver où et comment.
J’ai chercher un coin reculer et c’est deux ans après, que je lui présente l’annonce :
« — Vente d’un ancien pensionnat …
— Tu en penses quoi ?
— C’est grand non ? Tu as bien lu la taille ? Il y a au moins dix chambres !
— Et perdu en montagne. Pas cher en plus. On visite ?
— Et si on achète, il faut bien, je pense, dire notre projet, non ?
— On a juste une grande famille. Peut-importe. J’appel ! «
L’agent immobilier n’avait vu que du feux et une fois les clés, on a fait des travaux pour accueillir nos putains. Surtout dans la cave.
« — Donc, on crée une porte sécurisée qui donne sur un long couloir avec une vingtaine de cellules ?
— Oui frangin. Chacune une salle d’eau et des caméras. Chauffage aussi.
— Bien, je vois.
— Tu valides ?
— Oui
— Bien, en attendant que tout soit comme on désire, vient dans mon bureau.
Il ne sait pas ce que j’attend de lui et je sais qu’il est toujours dévoué. Une fois installé, je prend mon temps avant de lui annoncer :
— On était d’accord pour ce projet d’école et maison close. Et dans un an, ça sera opérationnelle. Mais ils nous manquent nos produits. C’est ici, que j’ai besoin de toi.
— Je t’écoute.
— Je ne veux pas de la vieille peau. Je veux des filles de quinze à dix-huit ans. Tu as un an, à compter d’aujourd’hui, pour me faire une liste d’une cinquantaine de vierges. Noms, prénoms, photos nues de préférences. Tu pars avec trois des nôtres dans les endroits les plus pauvres, je veux des nénettes sans famille si possible. Interdiction de les baisers. Tu te débrouilles comme tu veux pour les avoirs. Puis, tu reviens avec la liste et je ferais le choix du meilleur crue. Compris ?
— Tu ne veux pas des femmes plus âgés ?
— Non ! Ensuite, dès qu’elles auront vingt-deux ans, on va les faires disparaitre. Et parmi la liste, on va en faire venir. Suis-je clair ? Tu sais, si tu veux t’en aller, tu peux mais je devrais te faire moi aussi disparaître.
— Oui mon frère.
— Parfait.
— Et…les corps…
— Les chiens, l’acide, le feu, on a diffèrent moyens de les buter.
Je lui fais peur avec mon sourire et il se lève tremblant. Avant de quitter la pièce, je lui dit :
— Tu m’aideras bien sûr. On testera le fonctionnement pendant trois ans puis je chercherais par les réseaux sociaux des volontaires pour trois mois. Mais ça, je gèrerais entièrement. Bonne chance Valentin. Rentre chez à la maison, je t’envoie ce soir, nos meilleurs hommes. »
Il a quittait la pièce et jusqu’à maintenant, il a était à la hauteur de mes attentes. Et puis, depuis deux ans, il a quitté le projet, se voyant comme un homme sale. Il se cache et je n’arrive pas à l’éliminer. Je sais pourtant qu’il ne parlera pas. Et même les filles libres sont sous contrôlent. Je devrais pas avoir peur. D’ailleurs je n’ai peur de rien. Je me réveille en attendant quelqu’un toqué et je doute que c’est ma jolie petite chérie qui est là. En effet, elle n’est plus dans la chambre.
— Entre ma mignonne, je sais que c’est toi.
Je coupe l’ordi et ma queue se durcit encore plus à la vue de sa chatte. J’ai gagné car c’est la première fois qu’elle vient à mes pieds.
— Vient me sucer et je t’écoute après ma fleur sauvage.
— Oui Maître.
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