— Tu me rend très heureux ma petite chérie. Ne me répond pas encore, continue. Ma queue est pleine et je veux me vider en toi.

Je lui caresse sa tête et je là laisse faire. Elle doit encore apprendre mais le principal est là.

— Stop !

— Oui Maître…

— Je reprends les rênes.

— Oui Maître…

Je descend plus mon caleçon et la soulève pour la retourner. Je la plaque contre le bureau, la positionne comme la désire et lui frappe ses fesses bien rondes.

— Tu sais que tu es ma privilégié ma petite chérie ?

— Oui Maître…

— Je ne sais ce que tu me caches ma salope, je vais vite le découvrir quand je me serais vidé. Je t’aime ma propriété. Tu as enfin compris tout ce que je peux t’apporter. Bien, bien rouge, je vois que ton petit cul de chienne a bien était ouvert à quelques reprises, ce n’est pas assez, je devrais te faire augmenter les sodomies, tu n’as pas beaucoup baisé ces deux dernières années. J’imagine que ça t’a manqué ?

— Oui Maître…

— Hum…moi aussi. C’est ma position favorite ! Alors considère quand te sodomisant à nouveau, je te donne une deuxième et dernière chance. Heureuse ?

— Oui Maître…

Je ris et je m’insère de plus en plus vite. Je masse ses seins et elle jouit. Je veux que ce moment dure une éternité. J’éjacule enfin dans sa chatte et reste en elle. Je lui bécote le cou pour continuer mon emprise. Je n’ai jamais voulu tomber amoureux et ça n’arrivera jamais.

— Merci pour ce bon moment ma petite chérie. Je t’aime.

— Je suis tout à vous Maître.

Je me retire et la retourne pour la faire assoir. Je caresse ses seins, son cou gravé et sa chatte humide. Je l’embrasse et elle y répond.

— Alors, dit moi, pourquoi tu es venu chercher a queue et plus celle des autres, hein ?

— J’ai réfléchit à votre proposition Maître…

— Et c’est laquelle ?

J’effleure sa joue, ses lèvres et je me perd dans ses yeux verts. Je l’embrasse une nouvelle fois pour qu’elle ne chavire pas. Elle a confiance en moi.

— Vous m’avez dit Maître, un jour, c’était l’an dernier, je crois, que je pourrais être votre femme…si je réponds à vos attentes…

— Et tu penses que tu as réussis ?

— Je suis tout à vous Maître…Je continuerais à être docile pour vous.

— Hum…oui, je le désire, de te faire ma femme. Tu te demandes pourquoi toi et pas une autre putain ?

— Oui Maître….

— Dès que je t’ai vu, enfin surtout ta chatte, il y a eu un courant électrique. Le coup de foudre et l’amour que je porte au quotidien pour toi, ne s’explique pas, ma petite chérie. Je suis comme un père pour toi. Et si je te punis c’est pour que tu montres le meilleur de toi-même ma fleur des îles. Je sais que tu vaux mieux que ce que tu as montré durant ces deux ans. Tu veux donc que je t’épouse ?

— C’est vous qui décidez Maître…

— Je te direz la date du mariage et les conditions. Tu restes quand même sous mes ordres.

— Merci Maître…

— Mais avant, continue de me rendre fière. Je te ferais rattraper tout ces temps de baise perdu par surtout des sodomies et fellations. Ok ?

— Merci Maître…

— Et je sais, garde notre union secrète, c’est clair ?

— Oui Maître…

— Merci, je l’annoncerais aux autres, le moment venu. Avant que je te libère, une dernière chose pour signer le pacte. Ecarte tes cuisses. Merci.

Je prends un ouvre-lettre et lui inscrit mes initiales sur le haut du vagin.

— Laisse sécher. Maintenant file ! Tu as finis de baiser pour aujourd’hui. Ferme la porte.

— Merci Maître…

Un dernier baiser et elle referme la porte dernière moi. Je me rassoit en caressant ma queue avant de me rhabiller et rallumer l’ordinateur.