Le plan est en marche

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Elle est magnifique à rester ébahi en découvrant mon chez moi. Elle pense qu’elle sera libre mais le piège se referme. Arriver dans ma chambre, je lui demande :

— Retire ta nuisette, allonge toi, ta chatte à ma portée.

— Oui Maître.

Une fois soumise, je me place à ses côtés et la caresse jusqu’à la faire gémir en douceur sadique.

— Bien ma petite chérie. On est pas encore marié mais on va l’être. Ce soir même. J’ai décidé d’accélérer les choses. Un prêtre viendra valider notre union après le dîner. Heureuse ?

— Oui Maître….

— Moi aussi. Bien, regarde moi.

J’arrête et reprend mes douceurs sur ces petites lèvres. Elle me regarde avec ce mélange d’admiration et de peur.

— Tu veux savoir ce qui t’attend désormais ?

— Oui Maître…

— C’est ton nouveau chez toi. Tu pourras gambader librement ici mais je t’enferme. Il y a une pièce que tu n’as pas vu et elle est strictement interdite.

— Oui Maître.

— Des caméras te surveille. Attention, ici pas de réseau. Pas de télévision. Seulement des livres et n’oublie de te masturber deux fois par jours ici ou sur le canapé. Ma queue sera plus qu’avide de te retrouver ma mignonne. De mon côté, je surveille les autres.

— Oui Maître…

— Je désire ensuite que tu me donnes des enfants. Dès aujourd’hui, tu arrêtes la pilule.

— Oui Maître…

— Merci ma petite chérie. Maintenant, il serait temps qu’on apprenne comme je t’ai expliqué en arrivant, à se connaître. Tu es d’accord ?

— Oui Marx. Enfin Maître.

— Bien rattrapé ma coquine. Je reste ton Maître.

Je l’embrasse en massant ses seins et elle y répond.

— Je pourrais donc être mère ? Maître ?

— Une pondeuse mais qui doit se soumettre comme toujours à mes règles. Si tu oses désobéir, la sentence sera plus lourde que de simples coups ma petite chérie. Tu veux tout savoir ?

— Oui Maître… je ne vous désobéirais pas. Je vous aime.

— Je t’aime aussi. Alors, c’est simple, je n’ai pas de limite pour le nombre de gosses. Je désire fonder mon clan pour concurrencer celle de mon frère. Je sais rien de ses projets mais par principe, je suis l’aîné, je me dois de le battre. Je prendrais nos fils pour leurs faire partager mon savoir. Nos filles, seront des putes. De quinze à dix-huit, elles apprendront et une fois expérimentés , elles resteront quand même dans l’affaire familiale. Tu comprends ?

— Oui Maître… et si…

— Si tu oses, je prendrais plaisir à te sectionner un doigt.

— Je…

— Tu ? Tu n’as pas ton mot à dire de tout manière. Toi ainsi que nos enfants, m’appartiennent. Suis-je clair ?

— Oui Maître…

— Merci de ta confiance ma petite chérie. Je t’aime. On va manger.

Elle m’attend comme demandé et je lui sert du vin. On mange en silence puis j’exige qu’elle boit, pour la noyer de questions sur sa vie, ses passions… et elle y répond facilement. Ce qui me permet de mieux la manipuler.

— Tu as encore soif ?

— Non Maître… j’ai mal à la tête.

— Hum… mais non. Tu as encore envie de vin. Va sur le canapé.

— Oui Maître…

Elle se lève difficilement et je m’amuse en allant ouvrir une deuxième rien que pour elle. Si faible…

Une fois assise, je lui tend la bouteille.

— Bois encore un peu !

— Maître…

— Dépêche !

— Oui Maître…

— Merci.

Ma main posé sur sa cuisse, elle obéit et je la pousse encore un peu avant de me dévoiler. Je sais qu’elle va oublier demain…

— Merci. Bien, je vais te dire quelque trucs sur moi.

— Je vous écoute Maître.

— Tu connais mon prénom. J’ai cinquante ans pile le jour de notre mariage. J’ai un frère, trois ans de moins. Nos parents sont morts quand j’ai eu vingt ans. Je baigner déjà dans du petit trafic et j’ai pris mon frère sous mon aile. On a fondé ensemble l’école, il a quitté le projet pour une raison qui lui ai propre. Et j’ai quand même envie de le flinguer. Cependant, hors de question que je me salis mes mains. Je le haï maintenant. Tu le tuerais pour moi ?

— Oui Maître…

— Bois.

— Oui Maître..

— Je veux la moitié de la bouteille quand je reviens. Ça a sonné. Le mariage va commencer.

Je jubile pour ouvrir à mon ami de longue date. En tenu officiel, je vois aussi son impatience.

— Elle est là j’imagine ?

— Ho oui Benoît ! J’ai hâte de signer les papiers. Ça va être officiel.

— Tu l’as préparé en robe ? Je pensais que tu refusais…

On rit ensemble et il me suit. Il déroge souvent aux règles de l’église. Je sais que sa queue la désire aussi.

— Elle est à moi, ok ?

— Bien sûr mon pote. Heureux que tu es trouvé ce que tu cherchais.

— Elle est parfaite. Violette ?

— Oui Maître ?

— Debout et montre la bouteille.

Elle titube et se maintient à la chaise. J’inspecte la bouteille.

— Parfait. Tu la finiras après la simple célébration. Reste debout, on en a pas pour longtemps.

— Oui Maître… et la robe ? Je ne comprends pas…

— Tu n’as pas à comprendre. Obéis comme tu le fais très bien ma petite chérie. Benoît ? À toi !

Je la tiens par la taille et mon ami commence. Elle a du mal à répéter et je la frappe au ventre pour qu’elle recommence. Une fois terminé, on a les bagues et je lui demande.

— À genoux et suce nous !

— Oui Maître…

— Merci pour ce privilège. Je pensais que…

— Tu restes mon pote et je te remercie. Profite juste. Ça sera la première et dernière fois. Ma mignonne ? Commence par le prêtre.

— Oui Maître…

On rit encore et elle se soumet à merveille. On éjacule ensuite dans sa bouche et je la frappe pour la faire tomber. Elle ne réagit pas et je ramène mon ami.

En revenant, je la soulève pour la déposer dans notre chambre. Je fume assis en face d’elle avant de la rejoindre nu.

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