Tout pour lui

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Je ne rappelle souvent de pas grand-chose. J’ai conscience qu’il me fait boire… surtout le soir.

Un matin, je descends le retrouver sur le canapé. Il lit un magazine.

— À mes pieds ma petite chérie.

Il ne lève pas son œil de sa lecture et je me soumet.

— Pose ta question et j’y répondrais peut être.

— Merci Maître. Je voudrais savoir… depuis combien de temps je suis sortie de l’hôpital ?

Il pose son magazine à ses côtés et me fixe un long moment. Il ouvre son pantalon et son sexe sort tout seul.

— Suce !

— Oui Maître.

— Merci ma petite chérie. Ça fait deux jours quand-même et elle manque d’exercice.

Le silence devient pesant. Il attend d’éjaculer et de me caresser la tête pour me répondre.

— Ta jambe va mieux. La blessure n’est pas très profonde contrairement à ton petit de cul de chienne. Ça fait un mois.

— Merci Maître…

— Et j’ai une question ma petite chérie.

— Je vous écoute Maître…

— C’est quand que tu as tes règles ma petite salope ?!

Il était rarement en colère et c’est même la première fois qu’il m’étrangle. Il arrête rapidement et me frappe pour me faire tomber. Je touche la table basse et saigne un peu à la tête.

Il se rhabille et va ranger le magazine. Je n’ose pas bouger. Il revient fumer debout en me jetant les cendres sur moi.

— J’imagine que je dois attendre ma putain. J’ai beau te niquer tout les jours, le temps est long. J’espère que dans quelques mois, tu seras enceinte ma petite chérie.

— Oui Maître… je l’espère aussi. Elles vont bien les…

— Ne te préoccupe pas d’elles ! La priorité c’est de me donner satisfaction !

— Oui Maître…

— Hum…debout !

— Oui Maître...

— Plus vite !

Son coup de pied au flanc m’aide pas mais j’y arrive. Je lui fais face et il masse mes seins.

— On s’ennuie en ce moment, tu ne trouves pas ?

— Peut-être Maître…

— Te voir être baiser me manques. Va te doucher et manger ensuite tu m’attends devant la porte interdite.

— Oui Maître.

Il claque mes fesses et reste quand même à m’observer. J’ai peur de découvrir ce qui se cache…

Une fois devant, il ouvre et je découvre les mêmes objets de plaisir. Sauf une drôle de table avec un faux pénis. Il embrasse mon cou et masse mes épaules pour m’ordonner heureux :

— Allonge-toi sur la table.

— Oui Maître.

Une fois installée, il me sangle bien mes bras sur le côté. Une corde fait de même autour de la taille. Ensuite il place mes cuisses en hauteur, bien écarter, les serrent fermement et change le pénis par un plus gros. Il l’avance dans mon sexe.

Puis, il descend du plafond, des pinces pour mes seins. Il allume ensuite des caméras.

Fier de son résultat, il caresse mes lèvres et m’embrasse pour m’expliquer.

— Te voilà enfin sur l’objet de mes désirs ma coquine. Je l’ai fabriquer exprès pour toi quelque temps après t’avoir sodomiser.

— Maître…

— Chut ma petite chérie. N’est pas peur. On s’aime et tu es là pour me faire plaisir. N’est ce pas ?

— Oui Maître… je vous aime.

— Tu es la première et tu seras la dernière sur cette machine à baiser. J’en avait assez de te voir avec plein de queues. Tu m’appartient et cette machine remplit bien son rôle. Des fausses queues, de quoi ne pas me rendre jaloux. Tu vas pouvoir goûter à tout mes fantasmes ma petite chérie. Et quand tu dors, je pourrais regarder ces petits films. Voir ce que je peux améliorer pour moi. Tu veux donc me rendre heureux ?

— Oui Maître…

— Tout manière, si tu refuses, tu sais ce qui t’attend ?

— La mort Maître…

— Un doigt en moins ou la mort oui….Bien, on va commencer. Je gère l’intensité et toi, tu jouis.

— Oui Maître…

— Merci ma petite chérie.

Il m’embrasse une nouvelle fois et rieur il prend une télécommande pour démarrer en douceur.

Il prend une chaise pour m’admirer. Je savais que je ne suis qu’un jouet. Hors, je redoute de mes sentiments…

Je l’aime par son côté paternel mais je le haï pour tout ce qu’il me fait subir. Je ne veux pas être enceinte… je veux revoir ma mère. Je ferme les yeux en pensant à elle, à mes amis du lycée et celles de l’école.

Plus il y va fort…. Moins c’est supportable. Je sens sa présence derrière moi et il retire les pinces pour me masser et prendre le relais. Il me place ensuite un bandeau.

— C’est bien ma petite chérie. Montre moi que tu m’aimes.

— Oui Maître… ça s’arrête quand ?

— Je décide !

— Oui Maître…

Il augmente encore la puissance. J’essaye de bouger tellement ce n’est pas supportable. Il rit et je sens une lame sur le côté gauche de mon sein. Sa main me tiens par le cou et il me rassure.

— Chut ma petite chérie. Tu me fais juste plaisir. Cependant, je ne suis pas sûr que tu m’aime vraiment. Je me trompe ou pas ?

— Maître… je vous aime !

Il taille un peu et je pleure. Son souffle est prêt de mon oreille.

— Je suis pourtant celui qui me soucie de toi. Je te libère sexuellement. Je t’aime et tu me rends très heureux. Ton père n’était même pas là, avait rater sa mission et t’a offert comme dette. Tu devrais m’aimer ma coquine. Je t’offre la possibilité de me donner ce que je veux en échange de ta liberté. Tu n’as plus à être la bête de foire au milieu de queues sauvages. Tu es à moi, je te lâcherai jamais Violette. Tu m’es trop précieuse. Tu es magnifique à dix-neuf ans. Tu devrais surtout m’aimer pour te remercier aussi de te n’avoir pas flinguer. Alors, m’aime tu vraiment ?

Il plonge la lame sur le flanc et me laisse hurler.

— Oui Maître !!

— Et pourquoi ?

— Vous m’offrez la possibilité d’être ce que vous voulez ! Vous êtes toujours avec moi, vous rendre heureux est ma priorité ! Je suis prête à tout pour vous !

— Merci ma petite chérie.

Je reprend mon souffle quand il éteint la machine. Je sens le pénis repartir et il me doigte avant de bécoter et lécher mon sexe. La lame toujours enfoncé, je continue à pleurer, tellement j’ai mal.

— Si bonne ma coquine. Ta cyprine est délicieuse. J’aurais déjà dû y goûter avant.

Il me permets enfin de voir et sèche mes larmes.

— Maître…

— Oui ma petite chérie ?

— J’ai très mal… Maître…

— À oui, c’est vrai. C’est comme l’épée du roi Arthur. Je le retire et je reste quand même ton Maître.

Il s’amuse en me jouant avec, pour aller plus loin et même en ouvrant la blessure. Je cris encore et je supplie qu’il le retire.

— Tu veux vraiment ?

— Oui Maître !! S’il vous plaît !!

— J’ai quoi en échange ?

— Ce que vous voulez Maître !! Je suis prête à tout !!

— Vraiment ?

— Oui !!

— Bien, tu me laisse donc choisir pour toi ma petite chérie ?

— Oui Maître !!

— Très bien.

D’un coup sec, il prend la lame et écarte mes doigts de la main de son côté pour sectionner le pouce. Il me replace le cutter sur le flanc et joue avec le doigt.

— Merci ma petite chérie. C’est au-delà de ce que j’imaginais ! Je suis si fier de ce que j’ai accompli. Du sexe, de la torture et de l’amour. Je vais te soigner. Tu as aimé ?

— Oui Maître…

— Merci moi aussi.

Il nettoie ma plaie et me met un bandage. Puis fait de même pour le flanc en recousant et plaçant un pansement. Il me libère et me rattrape car je titube.

— Vient ma petite chérie. Je t’aime. Ça ne n’oublie jamais.

Il me câline et se montre à nouveau tendre. Il me fais assoir sur le canapé. J’ai encore très mal et il revient avec un médicament ainsi que de l’eau mais aussi du vin.

— Maître…

— Prend le médicament. Hydrate toi d’abord.

— C’est quoi Maître ?

— Obéit !

— Oui Maître…

Il me gifle doucement et je me soumet. Ensuite il ouvre avec joie la bouteille et me le tend.

— Bois tout ma petite chérie. C’est un ordre. Et le plus vite possible !

— Oui Maître…

— Merci ma puce. J’ai une cave entière pour toi et je vais la remplir au fur et à mesure pour que tu ne sois jamais à sec. Aller, bois !

Pendant que je bois, il écarte mes cuisses et me caresse. Il joue avec mes petites lèvres tout en m’aidant à continuer.

— Maître… je me sens pas bien…

— Ne t’arrête pas. Continue à me faire plaisir.

— Oui Maître…

— Merci ma petite chérie. J’aime te voir boire. Tu me rends très fière, tu sais.

— Hum…

— Chut, finit cul sec.

Il s’amuse jusqu’à la dernière goutte. Il pose la bouteille sur la table basse.

— Suis-moi dans la chambre.

— Oui Maître…

Là aussi, il m’aide à me tenir et m’allonge sur le lit de dos. Il écarte mes cuisses et je le sens placer des cordes sur mes chevilles. Il me fouette sur les fesses puis me corde finalement aussi les poignets.

— Maître…

— Chut, endors toi. Laisse toi faire. Je n’ai pas vider avec toi. Je reviens cette après-midi.

Il me place le bandeau et je m’endors. Les douleurs me réveillent quand même et je sens sa présence à nouveau quand il me fouette.

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