Délectation
Pendant qu’elle dormait, j’ai vu avec ravissement que mes prisonnières sont aussi salopes de d’habitude. Elles ont compris, elles aussi au bout d’un mois, qu’elles mourrons ici dans leurs cages. Sage comme des images.
Pour fêter ça, je me shoote à la cocaïne. Tellement longtemps que je n’y ai pas goûter. Et pour en profiter, je suis remonté après le repas pour fouetter mes petites fesses tendres.
Je suis en chaleur et nu comme un vers, je prends quand même mon temps pour m’amuser. Ma petite chérie se réveille. Je dois la rassurer.
— Maître…
— Chut ma poupée. Tout va bien. Laisse toi aller et prend plaisir.
— Oui Maître…
Je pose le fouet et la tire vers moi en levrette. Ma queue contre son cul et je la fait jouir intensément. Elle vomit un peu mais je m’en occuperais plus tard.
— Tu me laisse rentrer ma petite chérie ?
— Oui Maître mais je me sens mal…
— Chut, oublie ça un instant. Et ressens tout l’amour que j’ai pour toi ma coquine.
— Oui Maître…
Je m’insère à toute vitesse en là laissant hurler. Je tire sa tête en arrière et elle vomit encore un peu.
Jamais à mon souvenir, elle n’a vécu quelque chose d’aussi intense. Je la démonte avec joie et enfin je me vide en elle. Je me retire pour doigter son anus. J’aurais dû lubrifié comme j’exige à mes clients mais pour elle, je désire lui montrer la brutalité. Elle aime la douleur, et elle est prête à souffrir pour moi.
Plus je m’introduis, plus il devient rouge. Elle supplie d’arrêter mais je n’en ai pas fini. Je lui claque les fesses et reviens pour lui mettre un gode. Je libère ses poignets pour la faire asseoir, masser ses seins et lui demander :
— Tu sais ce que tu as dans ton cul ma petite chérie ?
— Non Maître… j’ai mal…
— Chut, avec moi, la douleur n’existe pas, tu n’avais jamais eu la joie de ressentir, un gode ma petite salope. C’est désormais chose faite. Tu vas le garder jusqu’à ce soir. Compris ?
— Oui Maître...
— Merci ma petite chérie. Je vois que tu as vomis. Tu mérites une punition, je crois, non ?
— Maître… je n’ai pas fait exprès…
— Chut, tu n’as pas à discuter de mes règles.
— Maître… j’ai mal…
Je ne l’écoute pas et je reprend les cordes pour l’attacher dans cette position. Son dos tiré ainsi que ses bras écartées.
— Tu es si belle. Tu le sais ?
— Oui Maître…
— Est-ce que tu as mal ?
— Oui Maître…
— Ce n’est pas la bonne réponse.
— Maître !
Je la fouette dix fois violemment et je prend une autre lame dans l’armoire derrière moi. Je la lui passe doucement dans le dos. Je sens ses tremblements.
— Est-ce tu as mal quand je fais ça ma petite chérie ?
Elle pleure quand je l’entaille légèrement puis plus en profondeur jusqu’à sentir l’os. Le sang coule et je me délecte.
— Maître !!
— Est-ce tu as mal quand je fais ça aussi ma petite chérie ?
Je la retire pour aller profond devant sur son ventre. Le sang coule plus fort et ses hurlements m’invite à continuer.
— Non Maître !!
— Et là ?
Je passe sur sa jambe gauche.
— Non Maître !! Arrêtez Maître !! J’ai compris !
— Tu es sûr ?
Un autre sur l’autre flanc.
— Oui Maître !!
— Hum… une dernière pour en être bien sûr !
— Maître !!
Je m’amuse à passer moins profond, la lame de haut en bas et de gauche à droite entre les seins mais plus long. Je la laisse la pointe en bas, un peu plus loin et prend une photo du spectacle.
— Maître…. Pourquoi ?!
— Par envie ma petite chérie.
— J’ai…
— Tu ?
— Maître….
— Je te libère et tu m’attends allongé sur le lit. Il est souillé, c’est pas la peine de tâcher la baraque.
— Merci Maître…
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