Surprise

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Je le vois sortir encore nu et je n’ai pas compris son numéro. Il est devenu encore plus fou ! Je peux pas continuer à vivre comme ça..

Je ne sais pas si j’aurai la force de trouver un moyen d’appeler les secours… et sauver mes amies…

Je m’allonge avec douleur. Je ne sais plus quoi en penser. Obéir, boire, subir… dire que je l’aime n’est toujours pas concevable !

Enfin il revient avec son éternel sourire sadique. Il soigne avec délicatesse et rejoue sa gentillesse.

Mais m’aime t’il lui aussi réellement ? Je crois que oui… sinon il m’aura pas demandé en mariage….

— Je t’aime ma petite femme. J’ai aimé te voir résister à la douleur. Tu encore réussi un nouveau test.

— Oui Maître…

— J’ai hâte d’avoir un enfant.

— Moi aussi Maître…

— Arrête de pleurer, tu es la plus heureuse. Et la plus belle chose qui me soit arriver dans ma vie. Ma queue te remercie.

— Je vous en prie Maître…

— Aller, on va au salon.

Il m’aide et je m’assois sur le canapé. Il décide de me menotter à nouveau.

— Maître…

— Chut. Ferme là.

Les mains dans le dos ainsi que les pieds liés un peu loin par une corde , j’attends la suite. Il m’ouvre une nouvelle bouteille après m’avoir essuyer ma bouche.

— Maître… pas encore…

— Chut, soumet toi ma petite chérie. Je te l’ai dit. J’aime te voir boire. Ça me rend très fier et puis tu es magnifique.

Il remet mes mèches derrière mes oreilles.

— Tu es ravissante ma petite fleur sauvage. Et puis, tu veux encore être punis ?

— Non Maître…

— Alors ouvre ta bouche et laisse toi faire. Je vais te le répéter tant qu’il le faut.

— Oui Maître…

— Merci ma belle.

Il me penche la tête pour mieux d’ingurgiter. Il fait des pauses pour m’embrasser et il reprend.

— Parfait ! Il est quatorze heures. Tu vas encore dormir un peu. Tiens avale.

— Oui Maître…

— Merci.

Il me donne plusieurs fois de l’eau après un médicament. Il me détache les pieds et je n’ai plus l’énergie de dire quoi que ce soit.

Il pose une cuisse sur ses jambes et me doigte. Je commence à me rendormir. Il continue.

— J’ai une surprise pour toi.

— Maître…

— Et oui, ce soir on sort ! Je t’avais dis que tu ne sortira jamais. Cependant, depuis un mois, tu es plus que soumise et tu mérites une récompense ma petite chérie. On va voir si tu es capable de me tenir fidélité.

— Je ne… je suis tout à vous mon mari…enfin Maître…

— Hum… ce soir il y a plus Maître. On devra s’embrasser, être un vrai petit couple. N’est-ce pas ma chérie ? Tu en ai capable ?

— Oui Maître…

— Super. Maintenant dors !

— Oui Maître….

Il m’aide à fermer mes yeux et me doigte encore un peu. Je me réveille quelques heures plus tard, sur le côté. Je le cherche et il fume sur le fauteuil en face en costard.

— Il est l’heure ma petite femme. Vingt heure déjà. Tu vas te doucher, je vais changer tes pansements et je te dirais quoi mettre.

— Oui Maître.

— Lève toi !

Il se moque de moi quand j’y arrive à peine. Puis il me libère et je me lave avec plaisir. À la salle d’eau, je m’hydrate plusieurs fois et inspecte les blessures. Je pleure quand il arrive pour claquer mes fesses et retirer sec, le gode. Je l’avais oublié celui là…

— Tu es magnifique ma princesse.

— Merci Maître…

— J’aurais aimé que tu gardes le gode ce soir ça t’aurais mis en valeur. Une prochaine fois.

Il embrasse mon cou tout en caressant mes épaules. Je frémis et il me retourne pour continuer. On s’embrasse puis il sèche mes joues avant de me dire.

— Je t’ai préparer ta tenue. Mais d’abord, passons à la pharmacie.

— Oui Maître.

Il me soigne ici puis je vais dans la chambre dont les draps on était lavé pour trouver une robe en satin noire ainsi que des escarpins. Je m’habille et je trouve cela étrange de ne pas être nue.

Par contre, marcher avec ses chaussures, j’en ai pas l’habitude. Moi qui aimait les vielles baskets.

— C’est vrai que nue, tu es belle. Tu l’ai tout autant ce soir, habillée.

— Merci Maître. Et le maquillage ?

— Je t’aime au naturel ma fleur des îles. Maintenant, je suis Marx.

— Oui Marx.

— Je compte sur toi pour te montrer digne de cette sortie. Tu es mon épouse, la future mère de mon projet. Tes obligations sont à respecter.

— Oui Marx.

— Tu me tutoie désormais dehors. Si cela est une réussite, on sortira plus souvent. Même avec les enfants.

— Oui, fais moi confiance.

— Tu l’as comme toi pour moi.

— Et mon doigt ?

— Les gens s’en fichent. Et s’ ils demandent, tu leur dis quoi ?

— Une blessure quand je cuisinais.

— Parfait. En route. Après toi.

Je m’avance jusqu’à la voiture. Heureusement, les chaussures ne sont pas si haute. Je m’attache et il met une musique d’ambiance. Je me regarde dans le miroir de la voiture mais je ne suis pas trop abîmée. On roule au moins une demi-heure sans passer par l’école.

Enfin, il se gare dans la ville la plus proche et il m’ouvre la portière.

— Après vous ma chère et tendre épouse.

— Merci mon amour.

On s’embrasse et je joue le jeu. Il me rend dingue ! Non, je dois l’admettre une bonne fois pour toute… je suis amoureuse !

Une fois installée dans un restaurant, je me sens mal à l’aise. Personne fait attention à nos différences d’âges mais ce qui m’inquiète, c’est quand deux ans, je sais plus me comporter en société.

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