Une occasion à saisir

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— Une repas avec de drôles de dames, c’est inattendu.

— Moi aussi mec.

— Toujours bien garder.

— Pourquoi la porte se ferme. Hey ho ! On n’a rien fait !

On s’amuse de voir nos hommes comprendre notre vie. Ils se retournent et on les trouve beau. On a chacun le nôtre, à peut prés nôtre âge et on est amoureuse.

— Vous pouvez nous expliquer ?

— Hey bien mon tendre Charles, on est des putes pas comme les autres.

— Be je vois ça oui. Je pensais que… attendez, ce sont vos chambres ?

— Hélas oui.

— On vous a invité à manger pour que vous puissiez nous aidez à sortir de cette prison.

— Mais je pensais que vous rentrez chez vous ! C’est juste le lieu des plaisirs dans un lieu insolite.

— Bastien, les autres, à table.

Manon prend les rênes et dévoile librement tout. On a de la chance que le Maître nous écoutent pas. Leurs têtes est déconfites et c’est drôle à voir.

— Eu… on vous promet qu’on…

— On t’en veux pas Nick rassure Louise

— On veut juste qu’après, dehors, vous filez fissa à la police. Et qu’on libère aussi Violette.

— Violette ? C’est qui ? Demande Sébastien

— La plus ancienne d’entre nous. Deux ans… on va là aussi vous expliquer.

— Garance, je vais le faire.

— Comme tu veux Zoé.

On prend l’entrée et je prend la parole.

— Alors… les gardes ne sont finalement pas un signe que vous êtes des putes privilégiés ?

— Si pour le Maître Charles.

— C’est pourquoi on a besoin de vous. Voulez bien nous libérer ? Ainsi que notre amie ?

Manon leur fait des yeux doux et on l’imite. Les garçons se regardent et Vincent nous informe :

— On va le faire bien évidemment les filles. On ne peut pas supporter de vous voir comme ça.

— Merci mec. Mais attention, on est très surveillé. La police peut débarquer mais ça peut être violent.

— On a en conscience Zoé. On va tout faire.

— Merci.

— Une photo des chambres peut prouver à la police non ?

— Va y Benoît.

Une fois fait, on apprend à mieux se connaître. Ils repartent à nouveau médusés avec les gardes.

****

Elle dors toujours et je réfléchis en fumant. J’ai retiré la couverture pour mater avec joie, mes marques.

Elle est encore plus belle, les cheveux courts. Mais je ne peux rester ici. J’ai envie de sortir avec elle, de voyager.

Hors, je veux quand même aller voir les autres. Je décide d’écrire à mon plus fidèle ami pour prendre le relais.

De mon côté, je prépare la valise et je commence à réveiller ma belle. Je sais où je peux aller. S’éloigner quelque temps c’est mieux.

— Coucou ma petite chérie.

— Maître…

— Tu as dormis comme une masse. Il faut partir mais d’abord, tu vas reprendre des forces.

— Oui Maître… on va où ?

— Chut, obéit. Debout ma putain

Je lui claque les fesses et elle se lève trop vite. Elle vomi par terre puis va prendre sa douche. Après avoir lavé, je la rejoins à sa sortie.

— Devant le lavabo. Je vais te changer

— Oui Maître…

— Merci ma putain. Tu es si belle.

— Merci Maître…

Une fois soigné, je la retourne pour l’embrasser avec la langue tout en la doigtant.

— Tu me rend fou tu le sais ma petite salope ?

— Oui Maître… j’ai faim… et soif…

— Va manger alors. Je finis de préparer le départ.

— Oui Maître merci…

Une dernière claque avec la langue et je la libère. Elle déjeune avec appétit et reprend des forces. Il le faut, le voyage risque d’être long.

Je m’approche d’elle pour masser ses épaules et tâter l’un de ses seins. Elle écarte les cuisses par réflexe et ma queue veut s’y insérer. Je me retient de justesse.

— Bien, tu vas mieux ?

— Oui Maître…

— Super. Tu me suis ?

— Oui Maître…

— Je t’aime.

— Moi aussi Maître.

Si elle savait ce qu’elle attend. Je jubile rien que de la voir dans cette position. Un doux baiser sur son coup et je l’emmène par la main devant la camionnette.

J’ouvre la portière et elle découvre une malle ouverte. Elle me fixe en panique et encore plus quand je lui menotte les poignets dans le dos.

— Maître…. Je peux être devant avec vous ?

— Chut ma petite chérie. C’est pour ta sécurité. Monte dans la malle, elle est à ta taille.

— Maître…

— Dépêche ma putain. Fait moi confiance, c’est par amour.

Je la pousse pour qu’elle se soumette. Une fois à moitié allongée, je ligote ses pieds puis je lui ferme sa bouche par une corde.

— Hum…

— Chut ma petite chérie. Dans six heures on est arriver. On fera des pauses. Tu pisseras dans un seau, tu pourras manger. Ne t’inquiètes pas, la malle est trouée pour que tu respire.

— Hum !!

— Ne dis pas non. Je t’aime ma poupée. Je fais ça pour ton bien.

Je lui caresse les cheveux et claque la malle en ferraille. Je l’entend gémir et je lui intime avec une dernière menace.

— Si tu fais encore du bruit, je n’hésiterai pas à te sectionner autre chose ma petite chérie.

Ça fait son effet et je ferme à clé la voiture. Juste avant de partir, j’appelle John. Je m’éloigne un peu.

— Allo John ?

— Hey Marx. Ça va ?

— Tu as eu mon message ?

— Oui, j’y suis déjà sur place.

— Qu’on dit les gardes du repas ?

— Rien à signaler. Tu vas où ? Je n’ai pas bien compris avec ta putain.

— Elle est recherchait à nouveau. Je l’ai inviter en signe de remerciement de sa soumission au restaurant. On l’a visiblement reconnu. J’ai coupé ses cheveux mais je préfère partir.

— Dit moi, pourquoi elle et pas une autre ?

— Mec… je n’oserais jamais me l’avouer même si je lui dit pour mieux l’avoir mais je suis amoureux.

— Toi ? Amoureux ?

— Plus que son corps, c’est de la toucher, la torturer, la baiser… elle est une drogue pour moi. Je désire prendre plusieurs mois loin de l’école et des putains. J’ai plus envie de m’en occuper. Tu comprends ?

— Oui pas de soucis. Mais, tu reviens quand même les voir ?

— Laisse les crever, j’en ai plus rien à foutre.

— Tu veux que je les butent ?

— Non. Elles vont rester jusqu’à leur mort entre des queues. Tout ce que tu as faire, c’est me dire de temps en temps si tout va bien.

— Pas de soucis. Je peux les niquer aussi ?

— Si tu veux.

— Une à me conseiller ?

— Louise, la plus jeune. C’est une noire. Elle est facile à avoir. Comme ma Violette disons.

— Ok. Je m’en occupe. Une dernière chose, tu vas où finalement ?

— En Italie. J’ai une baraque à moi.

— Oui, la frontière est pas loin.

— Exactement. Ma putain est comme une cochonne, ligotée dans la malle. Dès que j’arrive sur place, je la fait sortir dans mon garage. C’est très bien isolé. Et puis, rappelle toi, je l’ai acheter avec un nom d’emprunt. Quelle idée stupide d’avoir mis mon vrai nom pour l’école ! Enfin, jusqu’à maintenant, je n’ai eu aucun problème.

— Tant mieux, bien, bonne route.

— Je t’écris quand je suis arrivée.

— Salut.

— Salut.

Je ferme la maison à clé et démarre en vitesse. Sur la route, après trois heures, je mange un bout puis je passe la voir. Je ferme bien les portes et je permet de voir la lumière.

— Coucou ma petite chérie. Ça va ?

— Hum….

Je lui caresse le flanc et appuie sur la douleur.

— Tu vas pouvoir reprendre des forces. Encore trois heures et on est arrivés.

Je la sors et la fait assoir par terre. Je lui descend la corde pour caresser ses lèvres et l’embrasser.

— Tu veux aller au toilette ?

— Oui Maître…

— Ok ma belle.

Je lui retire la corde du bas et l’invite sur le seau. Je lui tend une lingette puis je la force à revenir dans la malle.

— Maître… je veux me…

— Chut, obéis.

— Oui Maître…

— Rentre bien ma petite princesse.

Je la pousse de force qui a lui faire mal. Je ressert ses chevilles et lui donne à boire avec quelques gâteaux. Puis, je lui ouvre une petite bouteille d’alcool fort.

— Maître…

— Bois ! Je vais t’aider à le prendre cul sec. Ça te permettra de passer le temps.

— Oui Maître…

Je ris pendant que je la fais boire. Elle goûte pour la première fois, tousse et je la contraint à la terminer. Enfin, je lui remet la corde avec en plus du sotch.

— Hum…

— Chut ma belle. Dors bien.

Je la frappe sur le flanc puis je ferme tout. Je vide le seau dans la nature, je range un peu et reprend la route avec la radio.

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