Briser le réseau
Voilà deux mois qu’on cherche avec Quentin les membres liés à mon frère. J’ai pris son téléphone pour pas qu’on reconnaisse le cadavre et je désire mettre de l’huile sur le feux.
On enquête secrètement pour briser tout les mecs qui gangrènes les réseaux divers. Violette à peur mais veut m’aider. Elle a insisté pour jouer un rôle. J’ai finis par accepter.
— J’ai couché la petite.
— Bien, on a préparer au mur les relations.
On a investi le bureau et ce soir, on a l’impression d’y voir plus clair.
— Résumé mon cœur ?
— Quentin ?
— Bien, reprenons depuis le début. Le soir de lendemain du meurtre, le téléphone à sonné et un certain K a rappeler un rendez-vous important de livraison. Avec Marx, on est allé grâce à l’adresse récente fournis par leurs échanges. Ils n’ont peur de rien m’enfin. K semblait nerveux dans le hangar puis en colère quand deux autres sont venus faire la transaction. Il l’a exigé qu’on se venge et cherche les coupables. Seulement, les deux hommes ont su juste que Noé avait une mission personnelle.
— Les deux que tu montres s’appellent comment ?
— Je ne sais plus mais on veut atteindre les têtes. K était proche de Noé, à tel point qu’il était désigné comme successeur. Il a pris ce rôle au sérieux et après avoir exigé à ses deux hommes de chercher à ramener vivant le type, il a expliqué que rester au bas de l’échelle ne suffit plus, il veut marquer le coup et gagner des terrains.
— Et depuis ? Je n’ai pas tout suivis depuis…
— Je me suis infiltré.
— Comment ?
— Je te rappel que je connais du monde bien que lui, je n’avais pas entendu parler ni de Noé. J’étais un peu lié à un autre géant, le Boucher.
— Le Boucher ?!
— Il aimait dépecer ses victimes mais il gère plus au Mexique. Bien qu’il se venge aussi dans notre ville grâce à ses hommes. Et quand j’ai voulu revenir pour trafiquer, ça tomber bien, on m’a envoyé voir Poulpe, un proche de K. J’ai eu rendez-vous, il y a un mois avec lui. Il m’a expliqué que le pouvoir du Boucher est en passe de se terminer après plus de dix ans et que depuis quelque jours, de plus en plus de jeunes se lié au nouveau chef.
— Bon, ok. Notre but sera donc qu’ils se fasse la guerre ?
— Je veux éviter d’embraser des quartiers, le pays mon cœur. Non, je veux juste qu’on tue méthodiquement un à un, tout les gros poissons. Moi, Quentin avec ou sans des petites filous qui nous fileront des indices. Mais aussi…
— Dit lui mec.
— Me dire quoi ?
— Il faut savoir que la police comme tu t’en doutes enquêtes sur ce règlement de compte mais aussi K. D’après nos informations, il est revenu sur les lieux et il aurait déjà fait un lien.
— Tu es recherché ? Menacé ?
— Non pas pour le moment, cependant on peut être déjà surveiller. En tout cas, sache aussi que la police m’a interrogé mais relâché car aucune preuve de mon implication. J’ai dis que c’était mon frère qui cherchait à me faire tomber…enfin bref. On a une chance de…
— Ecoutez les gars, finalement, on aurait dû de pas s’impliquer et…
— Ma belle, K et la police n’aurait quand même chercher…ce que je veux que tu comprennes aussi c’est que je peux monter moi aussi en grade comme Quentin, m’infiltré et lui mentir que je n’ai rien fais. Pour qu’il arrête de se venger sur moi, Quentin, notre famille mais plus sur éliminer le rival. Une fois qu’il se sentir satisfait, j’élimine aussi et je dissous tout le réseau en balançant aux flics.
— Eu…mec ?
— Quoi ?
— Tu vas aussi finir au trou car la police te demandera sans doute pourquoi tu n’as pas de suite ….
— Je suis fatiguée par ses plans foireux. On va faire plus simple !
— Je t’écoute Violette.
— Maman ? Il y a un monstre dans la chambre …
On se retourne pour voir la porte s’entrouvrir. Elle la prend dans ses bras et notre puce se colle avec son doudou en suçant son pouce. Heureusement, elle ne voit rien et avant de partir, ma femme nous annonce :
— Je vais voir le monstre ma puce. J’ai juste une dernière chose à dire à ton papa et Quentin. L’heure du Maître à sonner, il faut le réveiller uniquement pour ce moment. Ensuite, on laissera la place à Quentin et on continuera à se la couler douce.
— Maître ?
— Oui papa continue l’école ma puce. Ne t’occupe pas des affaires des grands, vient plutôt me montrer où tu as vu le monstre. Je peux t’assurer que c’est plus toi qui lui as fait peur.
Elle referme la porte fière et on a compris. On se remet au travail pour établir un nouveau plan.
Annotations
Versions