Vite fait bien fait

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— Merci Marx, je prends le relais.

— Je reste là si besoin.

— Venez, on va s’installer dans mon bureau.

Les deux me suivent un peu angoisser. Je ne sais comment jouer mon rôle, ni pourquoi je désire tant m’y mettre. Par revanche ? Oui mais aussi par désire de m’amuser avec les limites de lois. J’ai besoin de sentir ce feu vibrer sinon je m’ennuie. Heureusement, ma fille est là ainsi que ma mère bien que c’est une vie banale.

— Asseyez-vous, on va commencer les présentations. J’imagine que vous avez des tas de questions.

— Oui Madame commence celle de gauche qui semble la plus jeune.

— Ton nom ?

— Kelya Nandu et voici ma cousine Paulia Nandu.

— Mon mari m’a dit que vous avez dix-huit et vingt ans c’est ça ?

— Oui Madame répond la plus âgée.

— Bien, je vais vous expliquez ce pourquoi vous êtes ici. Il existe certes des lieux pour utiliser son corps disons mais on vous apprends rarement à vous aimer, prendre soin de vous et des autres. A l’école du corps, vous allez être vous-mêmes, vous gagnerez votre vie avec un bon salaire…

— Attendez, je pensais que c’était une école ? C’est vrai qu’on cherche à gagner de l’argent facilement mais je n’ai pas compris, comment on gagner de l’argent…

D’un coup d’œil, Marx referme discrètement la porte et cache son arme. Il m’intime de dire la vérité comme il l’a fait lui. Quentin est à ses côtés.

— Votre corps jeunes filles. Ici, vous allez vous prostitués pendant la durée qu’on désire. On vous montrera vos chambres. Pas de famille ?

— Nos parents…

— Pas d’attaches ?

— Ils vivent loin et on c’est éloigné pour essayer de gagner nos vies. On s’écrit.

— Vous aurez droit à des lettres. Une fois une bonne confiance établis, vous aurez le loisir de revenir ou pas. Vous parlez, on vous trouvera pour vous éliminer. Un cas extrême mais nécessaire. Donc, ici, des passes pour un an. Des cours de sexe, massage et vous apprendrez à devenir une parfaite soumise avec votre mari, au lit mais aussi à la maison. Des questions ?

— On…on va réfléchir c’est gentil…

Paulia se lève suivis de sa sœur, vites empoigner par les hommes.

— J’ai oublier de vous dire que vous êtes les premières élèves. De parfaites cobayes et vous donnerez entière satisfaction. J’étais l’une d’elle de l’ancienne école de mon mari. Soumettez vous juste pour quatre mille sept cent deux ariary soit environ mille euro par mois. Vous avez le tout confort malgré l’interdiction de sortir de l’école durant cette année. L’argent vous sera remis à la fin. Vous pouvez toujours refuser mais une balle et c’est fini. Les gars ?

— On peut conclure le contrat ?

— Vous êtes d’accord les filles ? Et c’est oui Maitresse et Maître.

— Oui Maitresse on ne veut pas mourir….

— Kelya vous serez bien chez nous.

D’un accord, je leur permet de les baptiser. Elle me rappel moi… et voir mon homme si brutal m’existe, oui j’ai changé. Une fois terminer, elles me suivent de force, nues toujours gardés par une porte de mon bureau qui descend dans une grand couloir qui donne sur huit chambres conforts ainsi que cinq salles dont une spéciale.

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